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08/02/2017

ENCHAÎNEMENT LEXICAL ET TENDANCIEUX.... IDYLLE

Cet Enchaînement Lexical a été composé en révérencieuse référence à cet inégalable Poète qu'est Eric Ducelier. Un maitre!

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(Comme il s'agit – cela ne vous aura pas échappé – d'un enchaînement lexical, il conviendra de remonter le fil des archives pour consulter les précédentes lettres de l'alphabet nous ayant conduits, non sans une ostentatoire désinvolture, jusque là...)

 

IDYLLE

 

Histoire tout à fait captivante qui, malgré son contenu le plus souvent considéré comme anodin, n'en semble pas moins exacerbée aux vagues d'un charme fou.

Qu'elle soit affection tendre et naïve, qu'elle soit intense autant que déconcertante, ou bien encore relation ineffable d'imprévisible, elle s'affirme quand même tel un véritable petit poème pastoral au doux intitulé: idylle.

C’est d'autant plus frappant quand celle-ci en est à chanter l'aurore de l'amour dans la découverte exquise de l'être unique, voluptueux et sensuel.
C'est ainsi que dans l'apaisé d'une douce accalmie, ou dans le silence d'une tempête traduisant le visible, l'idylle se voile en général d'un romantisme pudique doublé d'une rêverie urgente et spontanée qui la rend tout à fait enchanteresse aux cœurs innocents et notablement réceptifs proposés par de tendres  jouvenceaux.

(A suivre)

 

JOUVENCEAU

 

P. MILIQUE

 

11/02/2016

FÉLIN POUR ELLE 8

 

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

FÉLIN POUR ELLE

8

Oui: le silence! Il n'y a rien d'étonnant à cela tant, je le sais, elle a toujours préféré le retrait et la pudeur aux vantardises et autres exhibitions obscènes. Mais le seul, ça n'a pas beaucoup de sens. C'est vrai qu'elle touche au cœur, parce qu'elle éprouve l'intense besoin de communiquer ses émotions. En fait, elle parle en se taisant.
Alors elle tranche dans le vif le carcan des structures en mettant en avant son amour des mots. Elle écrit. Car l'acte d'écrire est une des seules façons de s'exprimer en se taisant. L'écriture est cette voix aphone issue d'une âme qu'un seul regard parfois empêche d'asphyxier. C'est ainsi que tu as le privilège de la lire dans l'exposé douloureux mais sincère de ses quêtes inabouties.


Je comprends Eliott, je comprends.


Il faut dire aussi que, même sans vouloir s'engager dans une logique de catastrophe, force est de constater que la réalité ouvre à des situations aussi étranges que paradoxales. En perpétuelle transformation, elle est capable de stupéfiantes métamorphoses. Tout cela nourrit l'évidente incertitude proposée par l'inévitable rencontre avec toute une série d'obstacles. C'est une situation difficile peu compatible en apparence et, pire encore, ouvertement antagoniste parfois.
Alors, de traumatismes incessants en brutales oppositions, les conséquences engendrées ne peuvent être que destructrices. Ce parcours chaotique laisse, cela arrive, d'indélébiles stigmates.
Mais j'ai pour elle une irrésistible envie d'espérance, plus forte encore que tout autre sentiment: que l'intensité du réel présent lui soit génératrice de l'exacte énergie du demain. Tu sais, la beauté a pour caractéristique essentielle de savoir jaillir soudain du fugace. Je sais que Nancy sera à l'endroit juste au moment précis.

(A SUIVRE)

 

P. MILIQUE

09/01/2016

IL EST DES JOURS

au magma présent de l'écriture,

 

IL EST DES JOURS

Il est des jours chagrins
Où la vie dégrade la vie,
Où l'amour perd la face.

Il est des jours où ta main
Cherche la mienne égarée
Dans l'ombre crépusculaire.

Il est certains grands soirs
Où elles se rapprochent,
Se tortillent, s’enlacent,
Et se bouleversent enfin
Dans un dernier sursaut
De pudeur ou de peur.

Il est des nuits qui me font rire,
Elles devraient me faire gémir.
Et mes yeux en ces moments
Se raccrochent, suppliants,
A l'étoile infinie des tiens.
Il est des heures enténébrées
Qui n'en finissent pas d'exister
Tandis que des vagues bleutées
Déferlent sur ton corps dénudé,
Avec mon âme à fleur de cœur.

Il est des jours telles des vies mon amour,
Qui ne devraient jamais fermer les yeux.

P. MILIQUE

31/07/2014

REMERCIEMENTS 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

REMERCIEMENTS

2

 

Je vous remercie de m’avoir irrigué de vos talentueux conseils de vie,

De vos mots qui pleurent leurs larmes complices, sans fausse pudeur.

J’entends encore votre voix aller et venir dans mon inconscient

Jusqu’à exploser mes antiques peurs de leur possible supposé.

Certains disent qu'ils ne peuvent rien inverser du cours des choses!

Je prétends moi qu’ils le peuvent s’ils sont utilisés à meilleur escient.

 

J’ai passé de glauques et douloureux moments, vous le savez.

Merci d’avoir été là comme s’il était juste ordinaire de l’être!

Merci de l’avoir été en ces instants âcres que vous saviez vitaux.

Merci d’avoir assumé à vous seule certains de mes mois incertains.

(FIN)

 

P. MILIQUE

11/04/2014

JE ME REPROCHE 33

REPROCHE.jpg

 

JE ME REPROCHE

33

 

Je me reproche

D'accumuler sans pudeur aucune

Une foultitude de blagues,

De persiflages, de pirouettes,

D'allitérations et de néologismes,

Sans bien sûr omettre

Les métaphores extravagantes

Et les calembours indignes.

07/04/2014

LA CHAIR ÉCORCHÉE

au magma présent de l'écriture,

 

LA CHAIR ÉCORCHÉE

 

 

Le compte à rebours a commencé, mortellement épuisant.

 

L'individu n'est pas injuste parce qu'il a décidé de l'être,

Simplement il le devient parce qu'il a besoin de l'être.

 

Alors, il retrouve le chemin acéré de sa mémoire:

Ce n'est pas un endroit de chimères et de fantasmes

Où l'intime serait dépouillé de toute singularité,

Plutôt un couloir de somnambules séparés par d'intolérables distances

Au cœur même d'un espace occupé par des éclats de banal.

 

Il lui faut agir de manière quasi organique

Avec de petits espace-temps saturés de quotidien

Et tourner autour de l'émotion avec pudeur.

 

Il s'agit là d'un engagement qu'il perçoit vital

Et le place rudement face à des responsabilités.

Elles lui sont signifiées d'un regard stupéfait par le genre humain

Qui ravive l'encore exacerbé d'un fléau d'inquiétude.

 

Désormais le temps n'est plus rempli que de remords

A ne plus voir la chair écorchée pour atténuer ses tourments

Comme autant d'abris pour les marges extérieures.

 

P. MILIQUE

09/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 27/01/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

 

27/01/2014

05/02/2014

MANU GALURE: "DANSE DU VIEUX"

 

ET JE DANSE, ET JE DANSE....

 

MANU GALURE

"DANSE DU VIEUX"
EXTRAIT DU SPECTACLE

"VACARME"
ENREGISTRE A L'ESPACE PAUL ELUARD

 

CUGNAUX (31)

LE 30 MARS 2012



Manu Galure : chant - piano 

Ugo Guari : Batterie électro-acoustique

Pierre Bauzerand : claviers
Son live : Adrien Del Rio
Lumières : Brice Bouviala

Réalisation - Captation vidéo : Ikonik Production
Montage : Eric Cavanhac
Captation audio : Alfonso Bravo
Production : Eclats Spectacle


www.eclatsspectacle.com

04/02/2014

BERTRAND BELIN "C'EST FINI" FESTIVAL DÉTOURS DE CHANT THÉÂTRE SORANO TOULOUSE

(Captation Personnelle)

 

 

BERTRAND BELIN 

 

 

"C'EST FINI"   

 


FESTIVAL  DÉTOURS DE CHANT
THÉÂTRE  SORANO

 

 

TOULOUSE

 

 

LE 28 JANVIER 2014

BERTRAND BELIN: GUITARE, CHANT
TATIANA MLADENOVITCH: BATTERIE ET CHANT
THIBAULT FRISONI: GUITARE
OLIVIER DAVIAUD: CLAVIER
JEAN-YVES LAZACH: BASSE

 

 

Quelle somptueuse soirée!....

 

 

Abrité d'un paravent de pudeur, il esquisse un entrelacs de possibles dont l'atmosphère, nimbée d'évidence, définit le rythme.

 

Et voilà que ses mots habillent l'âme de brumes ensorceleuses, tandis que la subtile musicalité distillée nous exonère des décibels infernaux.

 

 

Bertrand BELIN est un poète. Et ce poète-là traque l'indéchiffrable avec la patience habitée d'un orpailleur d'existence.

 

 

Grand Merci à Lui!

 

 

Grand Merci aux deux Philippe!

 

 

Et Grand Merci à vous, Gens du "Festival Détours de Chant"!

 

03/02/2014

BERTRAND BELIN "C'EST FINI" FESTIVAL DÉTOURS DE CHANT THÉÂTRE SORANO TOULOUSE

(Captation Personnelle)

 

BERTRAND BELIN
FESTIVAL  DÉTOURS DE CHANT
THÉÂTRE  SORANO

TOULOUSE

LE 28 JANVIER 2014



BERTRAND BELIN: GUITARE, CHANT
TATIANA MLADENOVITCH: BATTERIE ET CHANT
THIBAULT FRISONI: GUITARE
OLIVIER DAVIAUD: CLAVIER
JEAN-YVES LAZACH: BASSE

Quelle somptueuse soirée!...

Abrité d'un paravent de pudeur, il esquisse un entrelacs de possibles dont l'atmosphère, nimbée d'évidence, définit le rythme.

Et voilà que ses mots habillent l'âme de brumes ensorceleuses, tandis que la subtile musicalité distillée nous exonère des décibels infernaux.

Bertrand BELIN est un poète. Et ce poète-là traque l'indéchiffrable avec la patience habitée d'un orpailleur d'existence.

Grand Merci à Lui!

Grand Merci aux deux Philippe!

Et Grand Merci à vous, Gens du "Festival Détours de Chant"!

31/01/2014

BERTRAND BELIN "UN DELUGE" FESTIVAL DÉTOURS DE CHANT THÉÂTRE SORANO TOULOUSE LE 28 JANVIER 2014

(Captation Personnelle)

 

 

BERTRAND BELIN 

 

"UN DELUGE"   


FESTIVAL  DÉTOURS DE CHANT
THÉÂTRE  SORANO

 

TOULOUSE

 

LE 28 JANVIER 2014

 



BERTRAND BELIN: GUITARE, CHANT
TATIANA MLADENOVITCH: BATTERIE ET CHANT
THIBAULT FRISONI: GUITARE
OLIVIER DAVIAUD: CLAVIER
JEAN-YVES LAZACH: BASSE

 

 

 

Quelle somptueuse soirée!....

 

Abrité d'un paravent de pudeur, il esquisse un entrelacs de possibles dont l'atmosphère, nimbée d'évidence, définit le rythme.

 

Et voilà que ses mots habillent l'âme de brumes ensorceleuses, tandis que la subtile musicalité distillée nous exonère des décibels infernaux.

 

 

Bertrand BELIN est un poète. Et ce poète-là traque l'indéchiffrable avec la patience habitée d'un orpailleur d'existence.

 

 

Grand Merci à Lui!

 

Grand Merci aux deux Philippe!

 

Et Grand Merci à vous, Gens du "Festival Détours de Chant"!

 

30/01/2014

BERTRAND BELIN "POUR UN OUI POUR UN NON" FESTIVAL DÉTOURS DE CHANT THÉÂTRE SORANO TOULOUSE


(Captation Personnelle)

 

BERTRAND BELIN 

"POUR UN OUI POUR UN NON" 
FESTIVAL  DÉTOURS DE CHANT
THÉÂTRE  SORANO

TOULOUSE

LE 28 JANVIER 2014



BERTRAND BELIN: GUITARE, CHANT
TATIANA MLADENOVITCH: BATTERIE ET CHANT
THIBAULT FRISONI: GUITARE
OLIVIER DAVIAUD: CLAVIER
JEAN-YVES LAZACH: BASSE

 

 

Quelle somptueuse soirée!....

 

 

 

Abrité d'un paravent de pudeur, il esquisse un entrelacs de possibles dont l'atmosphère, nimbée d'évidence, définit le rythme.

 

Et voilà que ses mots habillent l'âme de brumes ensorceleuses, tandis que la subtile musicalité distillée nous exonère des décibels infernaux.

 

Bertrand BELIN est un poète. Et ce poète-là traque l'indéchiffrable avec la patience habitée d'un orpailleur d'existence.

 

Grand Merci à Lui!

 

grand Merci aux deux Philippe!

 

Et Grand Merci à vous, Gens du "Festival Détours de Chant"!