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02/12/2013

LA VIE EST UN COMBAT PETITE PAUSE A L’HÔPITAL PSY « L'ARRÊTER D'UN FRONT-KICK DANS SON GROS BIDE »

 

LA VIE EST UN COMBAT
PETITE PAUSE A L’HÔPITAL PSY

(3’21’’)
« L'ARRÊTER D'UN FRONT-KICK DANS SON GROS BIDE »


Interné en hôpital psychiatrique, notre héros retrouve un vieux copain de galère. Rocker et bolchevique, Thierry Pelletier a un cœur gros comme ça et la plume qui va avec pour raconter la zone, la France et les bons moments de la vie. Nouvelles et chroniques inédites à retrouver tous les quinze jours.


Enregistrement : 16 mai 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Texte & voix : Thierry Pelletier

14/10/2013

INTARISSABLE SOURCE

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INTARISSABLE SOURCE

 

Où situer l’intarissable source de ses pensées?

 

Il déploie toute la richesse de son univers fleuri de mots

Dans la rude élégance d'une écriture

Portée par un constant désir de justesse.

 

Il s'exprime aussi à mot découvert,

Au cœur d'une pensée qui pense large,

Et balise en phrases très concentrées

Les fragmentations toujours possibles

Qui exultent de réminiscences.

 

Cependant, c'est en labourant d'une plume aussi sensible qu'alerte,

Qu'il récolte la poésie, terreau de son épanouissement,

Afin qu'à nos yeux éblouis, elle s'offre enfin à nous.

 

P. MILIQUE

07/09/2013

LE TEMPS DE L’ÉCRIT DURE

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LE TEMPS DE L’ÉCRIT DURE

 

Il faut savoir prendre son temps!

Le crayon est un formidable outil pour gratter l’instant, un outil au charme à la fois désuet et ensorcelant. Il découpe des strates dans l’épaisseur du temps et y dépose à chaque fois une lumière différente.

C’est une onde émotionnelle intense lorsque sur la page vagabonde la plume.

Quand les mots coulent ainsi de la plume avec aisance, il suffit de se laisser porter par le murmure souterrain d’une conscience indispensable à corriger l’ingratitude oublieuse de la mémoire, pour accoster à ces moments-là d’extrême densité.

Et dans une symphonie de mots simples ou complexes, en tout cas envoûtants, dire l’immensité des toujours et des jamais pareils. Dire des histoires sombres et lumineuses et d’autres magnifiques et douloureuses.

Tout n’est pas si rudimentaire cependant.

Parfois l’écriture est hâtive, trop, ce qui la rend maladroite et approximative. Elle peut, à utiliser les mots sans discernement, à exagérer les calembours calamiteux et les métaphores acrobatiques, à célébrer sans cesse d’insupportables trouvailles narcissiques, délivrer des textes aussi navrants qu’inconsistants. Et avoir, enfin, le plus grand mal à dissimuler la médiocrité de l’ensemble.

(A SUIVRE....)

 

P. MILIQUE