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22/12/2012

COOL QUE TU SOIS INSTABLE: "Les relations sexuelles qu'arrivent pas à prendre forme"

 

COOL QUE TU SOIS INSTABLE


Solitude et déco intérieure (5)
« Les relations sexuelles qu'arrivent pas à prendre forme »

(3’27’’)

 


Un feuilleton original de Jean-Charles Massera conçu pour les nouveaux modes d'écoute (podcast, smartphone, écouteurs). Chaque semaine vous recevez un appel, en voiture, à table, au boulot. J'te dérange ? Non non. C'est votre ami ou votre amoureuse qui vous parle : d'argent, de désir, d'une écharpe du PSG... Une voix qui renouvelle la fiction radio. 5. Solitude et déco intérieure (avec Christophe Rault)


Enregistrements : 6 juin 12
Interprète : Christophe Rault
Assistante réalisation : Sara Monimart
Texte : Jean-Charles Massera
Réalisation : Arnaud Forest & Jean-Charles Massera

07/12/2012

LE SURVÊT' J'EN PEUX PLUS LA: Couple et Dégoût (3)

LE SURVÊT' J'EN PEUX PLUS LA:

Couple et Dégoût (3)

(5’29’’)

"C'est pas une spécialité allemande, non plus" 


Un feuilleton original de Jean-Charles Massera conçu pour les nouveaux modes d'écoute (podcast, smartphone, écouteurs). Chaque semaine vous recevez un appel, en voiture, à table, au boulot. Jte dérange ? Non non. C'est votre ami ou votre amoureuse qui vous parle : d'argent, de désir, d'une écharpe du PSG... Une voix qui renouvelle la fiction radio. 3. Couple et dégoût (avec Élisabeth Hölzle)


Enregistrements : 6 juin 12
Interprète : Élisabeth Hölzle
Assistante réalisation : Sara Monimart
Texte : Jean-Charles Massera
Réalisation : Arnaud Forest & Jean-Charles Massera

02/12/2012

LE RESTAU QUI FAISAIT CHALET (2) "La vie sans goût c'est maintenant"

LE RESTAU QUI FAISAIT CHALET

La vie sans goût c'est maintenant

   (4’22’’)


« Ta réalité tu la sens pas »


Un feuilleton original de Jean-Charles Massera conçu pour les nouveaux modes d'écoute (podcast, smartphone, écouteurs). Chaque semaine vous recevez un appel, en voiture, à table, au boulot. Jte dérange ? Non non. C'est votre ami, votre amoureuse ou votre mari qui vous parle : de couple, de statut social, d'une écharpe du PSG... Une voix contemporaine qui renouvelle la fiction radio. 2. La vie sans goût c'est maintenant (avec Pascal Sangla)


Enregistrements : 4 juin 12
Interprète : Pascal Sangla
Assistante réalisation : Sara Monimart
Texte : Jean-Charles Massera
Réalisation : Arnaud Forest & Jean-Charles Massera

30/10/2012

CHARLY 18

PHOTO CHARLY.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

CHARLY

18


Seulement voilà, quoi que j'y fasse, je n'y parviens pas. Mon écriture est trop volatile, trop approximative pour que je puisse la contraindre à mes souhaits. Elle n'est, au travers de ce qui devrait être un grand ruissellement de l'imaginaire, qu'apparition incontrôlée de noirs sujets et d'obscures méditations sans fin qui ne m'entraînent le plus souvent que dans d'invraisemblables tourbillons psychédéliques traduits, comme tu le sais, en crises d'errance existentielle longue durée.

 

Prisonnier, à mon corps défendant, de ce temps renouvelé d'impitoyable isolement, je n'ai d'autre option que de crier ma vérité alors que je ne possède même pas la première once de l'implacable et poétique précision indispensable au maniement des mots.

Ainsi naît le suintement de ridicule qui accompagne chacune de mes tentative de mise en mots. Quelle horreur qu'une sensibilité humiliée!

A ce moment-là s'installe fréquemment l’impérative nécessité du silence. Donc, je hurle dans le grand silence exigé. Avec cette certitude advenue peu à peu au fil du temps: la vie, il faut prendre garde de ne pas l'étouffer. C'est ce que faisons le plus souvent.

Et c'est une transcendantale connerie.

(A Suivre...)

 

12/06/2012

VAINE ABSTRACTION

INDUSTRIE.jpeg

 

VAINE ABSTRACTION

 

 

Il faut vraiment habiter l'étrangeté de l'obtus

 

Pour ne pas vouloir admettre

 

Que l'Homme ne peut vivre sans la nature.

 

La montagne est une grande ressource

 

Et les forêts un incomparable bien-être.

 

 

Lorsque les éclats de soleil se tapissent

 

Dans l'ombre dense et fraîche

 

Qui renouvelle sa vie d'un indispensable oxygène

 

En initiant l'amplitude de sa respiration,

 

L'homme ne peut faire abstraction du lieu dans lequel il vit.

 

 

Il s'éprouve alors comme un végétal auquel on coupe les racines

 

Lorsqu'il perçoit l'immonde, dans les hideux décombres

 

De la grande ville définitivement productrice de poisons,

 

Où tout ne sera plus jamais que violence industrielle

 

A l'insensé cruel du déchirement et de l'inéluctable.

 

 

P. MILIQUE