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15/06/2016

ÉCLABOUSSURES

au magma présent de l'écriture,

 

ÉCLABOUSSURES



Elle hurle en silence son mal-être du moment.
Pas a l'endroit correct, et pas au bon moment,
Elle l'affirme et souffre bien sûr de la situation.

Si elle savait comme il aimerait alléger son tourment
Pour la désencombrer de ces réminiscences floues
Qui se bousculent et se chevauchent au cœur d'une zone
De vie trop sommaire qui, amoindrissant sa perception,
Sa sensibilité à vif et son regard évasif, et la confrontent
Sans ménagement à l'inattention de tout éclairage vital.

Il cherche pour la soulager des mots qui se refusent à lui.
Peut-être y parviendra-t-il en écrivant à l'encre d'amour.
Il refuse qu'elle s'éprouve triste, il ne veut pas qu'elle pleure,
Qu'elle se retrouve les paupières froissées de trop de larmes.
Il veut effacer sa peine et faire sourire des roses à ses lèvres.

Elle est évidente comme le soleil, et rayonnante comme lui.
Elle est cette inespérée, résurgence cosmique et ruisselante
Qui éclabousse tout l'alentour de son éblouissante lumière
Et génère cet élan féerique qui les projette au-devant d'eux.

P. MILIQUE

24/08/2014

FLÂNER SOUS LE BLEU DU CIEL 4

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

FLÂNER SOUS LE BLEU DU CIEL

4

 

La matière ne manque pas, la lucidité et son discernement corrosif non plus.

Il y a comme une nécessité vitale à ne plus se préoccuper de la folie des hommes,

Cette folie de chaque instant qui, au demeurant, n'en est de toute évidence pas une.

Il s'agit bien au contraire de beaux moments parfaitement sains et jubilatoires.

Il faut avoir une pleine et entière conscience de la réalité de cet état de fait.

 

L'image est si belle! L'homme, fier face à l’ineffable, flâne sous le bleu du ciel.

Il se montre, une fois n'est pas coutume, attentif aux êtres et à leurs passions.

Il multiplie les connections avec la vie, et à ses heures qui éclaboussent l'horizon.

 

Et, à mettre l'Autre en lumière, il retrouve des facultés qu'il pensait perdues.

Cet Autre essentiel et infini qui sature de sa présence chaque copeau de son existence.

(FIN)

 

P. MILIQUE

27/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913 : NOUS AURIONS PEUT-ÊTRE VISITE L'USINE RENAULT

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913 

NOUS AURIONS PEUT-ÊTRE VISITE L'USINE RENAULT

 

Voiture Renault 1900 - musée de la voiture Compiegne ©

Wikimedia commons - 2013 / P.poschadel


Poursuite de notre remontée en 1913, un an avant la seconde guerre monde. Aujourd'hui, visite de l'usine Renault de Boulogne-Billancourt. Elle ressemblait plutôt à une multitude d'ateliers, employait 4000 ouvriers, et produisait 1300 voitures par an...

26/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS MANGERIONS SURTOUT DU PAIN

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS MANGERIONS SURTOUT DU PAIN

 

 

pain © Wikimedia commons - 2013 / Copyright © 2005 David Monniaux


Retour un siècle en arrière, comme chaque jour. Antoine PROST nous parle ce matin du pain, qui constituait en 1913 la base de notre alimentation.

25/08/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

NOUS VIVRIONS A LA CAMPAGNE

 

Retour un siècle en arrière. Même s'il n'y avait pas que des paysans à la campagne, en 1913, il y avait entre 7 et 8 millions d'agriculteurs qui vivaient en zone rurale. Leurs conditions de vie étaient très variables.

Paysans et chaumière en Ardèche cévenole © wikimedia commons - 2013

24/03/2013

JEAN COCTEAU : « Hommage à Pouchkine »

 

JEAN COCTEAU 

« Hommage à Pouchkine »

Lu par Christian Gonon

 

Poème extrait de Clair-Obscur (Editions du Rocher)

Choix de Baptiste Guiton

 

Prise de son, montage, mixage : Olivier Dupré, Aveline Carmoi

Assistante à la Réalisation : Marie Plaçais

Réalisation : Marguerite Gateau

24/05/2012

JE M'ACCUSE 17

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse

De ne pas prendre

Les décisions indispensables

Qui m'éviteraient la plupart

De ces vagues de désespoir

Qui m'éclaboussent avec une désolante régularité.