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19/03/2017

RÉFLEXIONS NOCTURNES

au magma présent de l'écriture,

 

RÉFLEXIONS NOCTURNES


Il est bien de se tenir prudent et en alerte
Sur les bords friables du paradis suggéré.

Faire preuve d'une plus grande lucidité s'impose
Que le manque de vision éclaire de cruelle réalité.

C'est bien là le minimum qu'il convient d'observer
Pour s'offrir le luxe de rester en vie encore un peu.

Il n'est aucune objection à me faire une telle promesse
Qui se chargerait d'une quelconque forme de déception.
Telle est l'âpreté solitaire de mes délibérations nocturnes.


P. MILIQUE

26/02/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 18/02/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

18/02/2014

05/11/2013

POINT DE BÉTAIL: UN MARCHE AUX BESTIAUX EN NORMANDIE «DEUX CENT DIX, DEUX CENT VINGT»

 

POINT DE BÉTAIL
UN MARCHE AUX BESTIAUX EN NORMANDIE

(8’06’’)
«DEUX CENT DIX, DEUX CENT VINGT»


Chaque mardi un marché aux bestiaux se tient à Soligny-la-Trappe dans l'Orne (61). Avec vaches, moutons et brebis vendus aux enchères. Un marché dit "au cadran" dédié aux petits éleveurs. Ingénieure du son pour le cinéma documentaire, Isabelle de Mullenheim peint un méticuleux tableau sonore, une ode à la voix des hommes et des bêtes.


Enregistrement : 14 mai 13
MIse en ondes & mix : Charlie Marcelet
Réalisation : Isabelle de Mullenheim

05/09/2013

SI NOUS VIVIONS EN 1913: LE BACCALAUREAT

 

SI NOUS VIVIONS EN 1913

LE BACCALAURÉAT


La France il y a 100 ans…avec l’historien Antoine PROST. Aujourd’hui, le Baccalauréat : en 1913, il était réservé à une élite…

 

Antoine PROST préside la mission du centenaire de la première guerre mondiale, dont France Inter est partenaire.


Le baccalauréat © Fotolia - 2013


Le baccalauréat ne faisait pas la une des quotidiens. Un peu moins de 8 000 mille lycéens l’ont obtenu cette année là.  Il n’existait ni BAC professionnel, ni BAC techno et l’examen était en outre beaucoup plus dilué dans le temps. Il y avait 2 sessions, l’une en juillet, l’autre en octobre…

05/05/2013

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : "APPRENONS A RECONNAÎTRE UN COMMUNISTE"

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE  

"APPRENONS A RECONNAÎTRE UN COMMUNISTE"

 

12 déc. 1982 

01min 36s


Grâce à la radioscopie on peut voir que le communiste n'a pas d'âme ni de coeur.

 

 

  • Emission
  • La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Agence, Paris : France 3
  • Générique
  • réalisateur
    Fournier, Jean Louis
  • interprète
    Desproges, Pierre

17/02/2013

JEAN-LOUIS TRINTIGNANT SUR SCENE POUR PREVERT, DESNOS ST BORIS VIAN

 

JEAN-LOUIS TRINTIGNANT

SUR SCENE POUR

PREVERT,

DESNOS ET BORIS VIAN

" JE VOUDRAIS PAS CREVER..."


Il est sur scène, le monstre, l'acteur.. à 81 ans il a 20 ans en disant les textes de ces poètes qui ont bercé ses 20 ans à la Libération.

15/02/2013

LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY

 

 

LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY

Choses vues 

04/04/1968 - 51min01s

 

La comtesse de PANGE, née en 1888 a vécu à la Belle époque dans un monde de délectation disparu dans le bouleversement de la première guerre mondiale. Robert GALLEY, né en1921, est un ancien résistant, compagnon de la Libération, ingénieur, qui, lui, vit dans un monde d'action et d'accomplissement. S'ils appartiennent à des siècles différents, la comtesse de PANGE et Robert GALLEY ont en commun le détachement, la grâce, et le sentiment que la vie prend sa signification par le regard qu'on porte sur elle. Entretiens successifs avec ces deux personnalités : la comtesse de PANGE qui se penche sur son passé sans tristesse, puis Robert GALLEY qui évoque son avenir. Les propos sont illustrés par des photographies et des images d'archives, des documents iconographiques et des extraits de reportages.- Rencontre avec la comtesse Jean de PANGE, née Pauline de Broglie, le 6 février 1888 dans une maison rue de la Boétie. Son père a été associé à la naissance de la 3ème République, ses frères furent prix Nobel et académicien. Elle raconte le Paris de son enfance avec ses voitures à cheval, ses parcs et ses pavés. Elle remarque que la noblesse n'avait aucune conscience de la misère des domestiques et des nourrices. Elle évoque la condition féminine en déplorant l'absence d'éducation des jeunes filles; donne des exemples du train de vie de sa famille, parle du faste des diners, des fêtes de Chaumont, des bals ... Elle se souvient des personnalités qu'elle a fréquentées : Paul DEROULEDE, Maurice BARRES, Marcel PROUST, la comtesse GREFFULHE, Hubert LYAUTEY. Enfin, elle rappelle l'influence des articles dans les journaux du début su siècle et dit ne pas regretter cette " (belle) époque pleine de morgue". - Rencontre avec Robert GALLEY qui revient sur les étapes importantes de sa carrière. Il explique son engagement dans la France Libre à 19 ans en tant que 2ème classe en 1940, ses études après la fin de la guerre à l'école Centrale, et ses débuts dans la carrière d'ingénieur de production et d'ingénieur d'études. Il raconte la construction d'une raffinerie à Petitjean au Maroc, la mise en oeuvre de l'usine de plutonium de Marcoule en 1955 destinée à la fabrication de la bombe atomique. Il se remémore son implication dès 1958 dans la conception et la construction de l'usine de Pierrelatte, puis ses responsabilités étatiques dans le domaine de l'informatique. Il souligne la nécessité de se réaliser dans un métier passionnant et la vertu de l'opiniâtreté, avoue sa passion pour les sciences naturelles. Ses propos sont entrecoupés par le témoignage de Jean VOLVEY qui fut son lieutenant pendant la guerre.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Rivière, Frédéric

 

Stephane, Roger ; Darbois, Roland

 

Jacob, Patrick

 

Galley, Robert ; Volvey, Jean ; Pange, Pauline de