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04/09/2016

RÉCEPTIVITÉ MAXIMALE 1

HORIzON EMBRASé.jpg

 

RÉCEPTIVITÉ MAXIMALE

1



Plutôt que présente, elle est actrice de cette rencontre-là,
Et il lui apparaît évident que c'est son exquise personnalité
Qui s'est rapidement révélée en est la principale instigatrice.
Sans cela il n'aurait été, au meilleur, qu'un figurant inutile.
C'est ce qu'elle est au monde dans son entièreté quotidienne
Qui a su apprivoiser de son miel l'ours qu'il lui plaisait d’être.
Cette fois n'est pas coutume, il a su en référer à son intuition.

Il y a tant de personnes que fondamentalement il n'est pas.
Il a en peu de temps détecté en elle un chant harmonieux,
Singularité éloignée des rebutantes cacophonies habituelles.
Belles unicités qui l'on projeté en état de réceptivité maximale.
Elle offre d'elle une image embellie de ces multiples petits riens
Qui enchantent, apaisent et enrichissent la saveur de l'existence.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

27/06/2014

ÉCRITURE POST-NUCLÉAIRE

au magma présent de l'écriture,

 

ÉCRITURE POST-NUCLÉAIRE

 

Les duplicités capitalistes avaient généré,

Dans un espace prétendument confiné et surprotégé,

Une réalité absurde et cruelle.

 

Enveloppé d’un nuage de mort toxique,

L’homme figurant involontaire,

D’une séquence de cinéma apocalyptique

Progresse d’une démarche mécanique et heurtée,

Marmonnant une litanie sans fin de mots incompréhensibles,

Le regard fixe éteint par tant d’horreurs prévisibles.

 

J’écris désormais davantage pour vérifier mes cauchemars

Que pour transcrire l’inanité obligée d’improbables rêves.

 

P. MILIQUE

10/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "SA CONCORDE EST EN CARTON"

 

LA PARISIENNE LIBEREE

"SA CONCORDE EST EN CARTON"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée

 

C’est déjà pas terrible de prononcer un discours de président-candidat avec l’Assemblée Nationale en toile de fond, mais si en plus c’est vraiment une toile…

 

On sait déjà tout de lui
De son œuvre et de sa vie
Sur sa psychologie
On a déjà tout dit
Et comme ça fait dix ans que ça dure
On ne peut plus voir sa figure
Ni en photo, ni en peinture
Ça devient vraiment très dur…
Il est temps de conclure.

 

C’est un président-santon
Dans sa crèche de Noël
Sa concorde est en carton
Son assemblée, en pastel
C’est un vieux manège tournant
Dans un décor de série B
Devant 30 000 figurants
Comme des petits pains multipliés !

 

[citation N. Sarkozy - 15.04.12]
« La vocation de la France c’est de parler pour ceux
qui ne peuvent pas parler, c’est d’être aux côtés des peuples
qui veulent être libres et notamment d’être aux côtés
des chrétiens d’orient quand ils sont persécutés »

 

On l’aura vu faire son jogging
A pied à cheval ou en voiture
Dans tous les magazines
Sur toutes les couvertures
Pour apporter dans le monde entier
La bonne parole aux mécréants
Le monde s’en est moqué
Bien évidemment…
Le monde est bien patient.

 

C’est un président-santon
Dans sa crèche de Noël
Sa concorde est en carton
Son assemblée, en pastel
C’est un vieux manège tournant
Dans un décor de série B
Devant 30 000 figurants
Comme des petits pains multipliés !

 

[citation N. Sarkozy - 15.04.12]
« Nous n’avons pas le droit ici, place de la Concorde,
de laisser dilapider l’héritage de la France Éternelle »

 

Il va falloir faire une cure
De désintoxication
Ranger la miniature
Et ses gesticulations
En parler c’était le promouvoir
Ne rien dire c’était encore pire
Et s’il est entré dans l’histoire
Il va falloir l’en faire sortir.

 

C’est un président-santon
Dans sa crèche de Noël
Sa concorde est en carton
Son assemblée, en pastel
C’est un vieux manège tournant
Dans un décor de série B
Devant 30 000 figurants
Comme des petits pains multipliés !


CITATIONS
Discours de N. Sarkozy à la Concorde – 15.04.12

17/12/2012

ÉCRITURE POST-NUCLEAIRE

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ÉCRITURE POST-NUCLEAIRE

 

 

Les duplicités capitalistes avaient générés,

Dans un espace prétendument confiné et surprotégé,

Une réalité aussi absurde que cruelle.

 

Enveloppé d’un nuage de mort toxique,

L’homme, figurant neutre et involontaire

D’une étrange séquence de cinéma apocalyptique

Progresse d’une démarche mécanique et heurtée,

Marmonnant une litanie sans fin de mots nébuleux,

Le regard fixe éteint par tant d’horreurs prévisibles.

 

J’écris désormais davantage pour vérifier mes cauchemars

Que pour transcrire l’inanité obligée d’improbables rêves.

 

P. MILIQUE