19/02/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 07/02/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
07/02/2014
12:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, philippe meyer, intriguer, instagram, prothèse mammaire, confrère, rumeur, nabila, démentir, calendrier, affioler, décourager, rude, anatomie, plastique, bourbier, diffusion, antenne, viral, neiger, moselle, abondance, préfet, département, autobus, transport en commun, fangeux, chômage, décision, console de jeux, population, scolarité, arrêté préfectoral, légitime, inquiétude, rappeler à ses devoirs, gazouillis, requête, interdiction, transporteur, carosse, mélodraatique, se tuer, impassibilé, apostrophe, radinerie, invective, lope, menace, nique ta mère
30/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: GUY DE MAUPASSANT A ROBERT PINCHON
LA BOÎTE A LETTRES
GUY DE MAUPASSANT A ROBERT PINCHON
BIBLIOTHÉCAIRE, JOURNALISTE, CRITIQUE DRAMATIQUE,
ET
AMI INTIME DE MAUPASSANT.
01:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
29/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE AUX CITOYENS DE LA LOIRE INTERIEURE
LA BOÎTE A LETTRES
JEAN-MARIE SOTIN DE LA CONDIERE
AUX
CITOYENS DE LA LOIRE INTÉRIEURE
01:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
28/08/2013
LA BOÎTE A LETTRES: STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
LA BOÎTE A LETTRES
STENDHAL A MADEMOISELLE SOPHIE D'UVAUCEL
(© Musée des Lettres et Manuscrits)
Mademoiselle Sophie d'Uvaucel, chez
M. le Baron Cuvier, an Jardin du Roy, à Paris.
Rome, 28 Avril [1831].
Mademoiselle,
Votre lettre me fait le plus grand plaisir. Je reviens de Saint-Pierre où il y avait une fête. Ma paresse me l'a fait manquer. J'ai trouvé le pavé de marbre de l'église jonché de fleurs et de feuilles de laurier. Ces feuilles un peu meurtries répandaient l'odeur la plus suave, point trop forte, ce qui convient à mes nerfs de jolie femme. Mon âme était bien disposée. Votre lettre a paru comme un jour doux destiné à frapper des yeux délicats. Dans mes jours de patriotisme ardent, elle m'eût indigné. Je méprise sincèrement, et sans haine, la plupart des gens que vous estimez. Pour se mêler d'affaires publiques, il faut de l'expérience. Peut-être M. Dejean, ou tout autre jeune homme nommé préfet par M. Guizot, sera-t-il un homme habile en 1840. Mais rappelez-vous que l'œil du public voit nettement et clairement au bout de six mois ce qui se passe dans le cœur de tout homme qui reçoit plus de 20.000 francs du budget et le rôle de Pénélope est dangereux. Mais parlons de fadaises. Vous avez vu quelques très jeunes gens faire de grandes fortunes. Soyez convaincue que quelles que soient les phrases et les apparences, pendant deux ou trois mois de leur vie, ils ont été comme Julien. De 1806 à 1813, j'ai été à peu près aide de camp de M. le comte Daru. Il était très puissant à Berlin en 1806, 7, 8, à Vienne en 1809. J'étais dans une sorte de faveur à Saint-Cloud en 1811. Je vous assure que personne n'a fait une grande fortune sans être Julien. La forme de notre civilisation exclut les grands mouvements, tout ce qui ressemble à la passion.
De là, le rôle pitoyable des femmes. La société actuelle ne les emploie que comme intrigantes. Voyez MMmes Récamier, Pastoret, Rumfort. Il faut pour avancer être doux, humble, faire vingt visites en bas de soie par semaine. Un jour que le protecteur s'ennuiera, un jour de pluie à Saint-Cloud, au mois d'octobre, un trait de bassesse bien placé vous vaudra une préfecture. Je méprise les charges. Julien n'est pas si futé qu'il vous le paraît.
Le jeune homme de dix-huit ans est niais à Paris. Il songe toujours au modèle à imiter. Et quelques-fois il y a quatre règles contradictoires sur la façon dont il faut tirer son mouchoir de sa poche chez une duchesse. Cette perplexité au moment où il s'agit de choisir entre des règles contradictoires, aidée par les trois changements de tenue par 24 heures, qui ont lieu à Paris est cause de la niaiserie. Nos jeunes paysans du Dauphiné savent très bien suivre leur intérêt. J'aime à discuter sur le cœur humain, chose difficile avec les Françaises, qui presque toujours mentent pour se conformer à la règle 1451 qui régit leur conduite ou à la règle 8.600. Votre lettre est infiniment plus sincère qu'aucune que vous m'ayez écrite. Elle ne blâme pas assez le roman en question. Vous avez adouci. Il fallait m'écrire le premier jour. II y avait à Venise un homme qui, pour aimer sa femme, avait besoin qu'elle lui donnât des soumets. Je suis cet homme. Rien ne m'ennuie comme le compliment. Si j'en avais 10.000 comme cela, pense-je, on me ferait baron et académicien. Mais que faire d'un fagot ou deux? Cela ne suffit pas pour chauffer le four. Soyez donc, je vous en supplie, Mademoiselle, ultra-sincère avec moi plus le soufflet sera fort, plus je sentirai la vie.
Mme Az[ur] me croit l'original de Julien parce que pour être nommé Inspecteur du Mobilier, le général Duroc qui m'aimait (par parenthèse à cause de ma sincérité) voyant fils de noble chevalier Beyle dans mon extrait de baptême, me donna le De Beyle dans le projet de décret qui fut signé le 11 août 1810. Alors commença pour moi l'époque du plus grand bonheur. Pour en revenir, la lettre de Mme Az[ur] qui m'accable des plus grands mépris, a fait toute ma joie pendant un voyage que j'ai fait à Capo d'Istria et j'y songe encore après un mois. Si j'avais voulu faire le Julien dans le salon de M. Aubernon, chez M. Pastoret que je ne suis jamais allé voir au Luxembourg,' chez M. de Lafayette, etc., etc., je serais tout au moins préfet de Guéret. Mais je serais destitué, car certainement j'aurais administré comme M. Pons de l'Hérault, préfet du Jura. Gardez cette ligne pour vous. Elle me porterait dommage dans ma retraite. De 15.000 je suis tombé à 10.000.
Si je tombais plus bas, il n'y aurait pas moyen de vivre avec la dignité nécessaire. Ici, je veux dire au midi des Apennins, le public n'est dupe d'aucune affectation. Vous avez beau vous étaler avec une noble négligence sur quatre chaises à la promenade, la canaille ne vous estime qu'au prorata de la dépense que vous faites. Nous avons pour ennemis les libéraux depuis Bologne1, les ultras depuis 1789. Le rôle d'un agent français est difficile, très difficile. Il faudrait en avoir moins et les mieux payer. Autrement je me renfermerai dans une nullité complète comme mon prédécesseur, qui s'est mis cependant à danser dans l'unique café de ma ville en apprenant la nouvelle des ordonnances du 25 juillet 2. J'ai passé cinq jours à Florence sans trouver le temps de monter à la Galerie ou d'aller au Palais Pitti. J'ai cherché la vérité, j'ai écrit quatre dépêches à mon ministre. Celle qui décrit ce qui a failli se passer à Florence vous amuserait.
Comme vous êtres Française, il faut ici placer une petite batterie contre le ridicule, donc. vous amuserait, non certes à cause du talent du narrateur, mais par le caractère plaisant des acteurs. Ma dépêche étant sincère aura déplu. Je me le disais en l'écrivant.
Mais par le plus grand des hasards, il peut se trouver un homme de mérite, un Mérimée, dans les bureaux, et je serais bien aise qu'il se dise « Celui-là n'est pas si niais que les autres. » A seize ans, mon père m'a donné 150 fr. par mois pour venir me faire recevoir à l'École Polytechnique. Or cela se passait en 1799. Les nigauds à demi-hypocrites que vous estimez vous mènent tout droit à la Grande Colère du Père Duchêne. Le tigre se réveillera pour repousser l'étranger qui nous méprise et nous donnera tant de soufflets qu'il faudra finir par où il fallait commencer. L'opération n'eût pas duré plus de six mois. Dans l'état actuel du malade, elle durera trois ans. Je vous offre refuge dans une forêt à trois lieues de mon endroit. Ceci est sérieux. Faute de bonne foi, vous êtes flambés. Comprenez-vous l'admirable finesse de mon langage ? Rien de mieux établi que notre correspondance. Rien ne se perd. Daignez donc m'écrire plus souvent. Mes respects à M. et à Mme C[uvier] et à Mme Martial. Dites à tous les niais que je suis devenu très grave, très profond, très digne du docto corpore où je suis. Au fond quelques phrases plus ou moins piquantes me coûtent 5.000 fr. C'était tout le superflu, chose si nécessaire. Ce malheur doit m'ôter la colère et l'envie des sots. Au reste j'ai pitié d'eux ils vont avoir une belle venette d'ici à quelques mois. Voulez-vous le remède ?
Recipe: Sincérité et bonne foi.
01:43 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, stendhal, sophie d'uvaucel, lettre, plaisir, revenir, saint-pierr, fête, paraesse, acte manqué, trouver, pavé, marbre, église, joncher, fleur, feuille, laurier, meurtrir, répandre, odeur, suave, fort, convenir, nerfs, jolie, femme, ^m, doux, dstinée, frapper, délicatesse, patriotisme, ardent, indigné, mépris, sincère, haine, estimer, se mêler, affaire, publique, expérienc, expérimenter, préfet, haile, rappeler, net, clair, budget
11/07/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "LE FOL AEROPORT DE NOTRE DAMES DES LANDES"
LA PARISIENNE LIBEREE
"LE FOL AEROPORT DE NOTRE DAMES DES LANDES"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
[citation F. Hollande]
Le projet ambitieux dans les années soixante
D’un Concorde radieux, d’une industrie qui chante
Le projet innovant des années soixante-dix
Il faut dorénavant que chacun atterrisse
Le projet oublié des années quatre-vingt
Le pétrole a flambé tout ça ne sert plus à rien
Le vingtième siècle est mort, plus personne ne demande
Le fol Aéroport de Notre Dame des Landes
Quand soudain par magie, le monstre est ranimé
Le Grand Hub a surgi prêt à tout bétonner
Adieu les salamandres, le bocage va fermer
Ya du terrain à prendre et de l’argent à gagner,
Le kérosène est cher, promis ce sera le dernier
Mais comme pour l’EPR, pas question de renoncer
On sait bien qu’on a tort mais il faut qu’on défende
Le fol Aéroport de Notre Dame des Landes
[Citation P. Lapouze]
Ya juste quelques centaines de caïds surarmés
Ya juste un hélico et un petit peu de fumée
Deux lignes de camions blancs, une ronde de camions bleus
Et partout dans les champs des vaches qui ne font pas meuh (bis)
L’a fallu enterrer quelques tritons crêtés
Mais pour monsieur le prefet tout s’est très bien passé
Une action héroïque en milieu difficile
Des noms énigmatiques, une poésie hostile :
Le Liminbout, le Tertre, le Sabot, la Vache rit
La Saulce, les Planchettes, Bel air, le Pré failly,
L’Isolette, la Gaîté, le Phare, la Chèvrerie,
La Bellich’, les Rosiers, la Cabane, la Sècherie…
Ya juste quelques centaines de caïds surarmés
Ya juste un hélico et un petit peu de fumée
Deux lignes de camions blancs, une ronde de camions bleus
Et partout dans les champs des vaches qui ne font pas meuh (bis)
C’est une concertation d’un genre déconcertant
Et pour la transition, ça transit bizarrement
Oignons contre lacrymos, chacun son style de bottes
Jusqu’au dernier poireau, jusqu’à l’ultime carotte
Tout est mondialisé cependant jusqu’ici
Y’a pas de curé nantais en vente au duty free
Non tout n’est pas perdu, c’est pas dit qu’on se rende
Au fol Aéroport de Notre Dame des Landes
Ya juste quelques centaines de caïds surarmés
Ya juste un hélico et un petit peu de fumée
Deux lignes de camions blancs, une ronde de camions bleus
Et partout dans les champs des vaches qui ne font pas meuh (bis)
05:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, folie, aéroport de notre dame des landes, françois hollande, projet ambitieux, concorde, radieux, industrie, chanter, projet innovant, dorénavant, aterrir, projet oublié, pétrole, flamée des prix, mort, magistral, monstre, ranimer, mort aux cons, surgir, bétonner, salamandre, bocage, terrain à vendre, argent à gagner, kérozène, cher, promettre, dernier, renoncer, avoir tort, défendre, p.laouze, caïd, suranné, surarmé, hélicoptère, fumée, camion, rondelle, champs, vache, triton, crêté, préfet, acte héroïque, milieu difficile, énigmatique, hostile
25/05/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : " TOC, TOC, TOC, VOILA LES MEDOCS!"
LA PARISIENNE LIBEREE
" TOC, TOC, TOC, VOILA LES MEDOCS!"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée
[citation N. Sarkozy]
C’est déjà pas très rigolo
D’être schizophrène ou parano
On se dit rarement depuis tout petit
« Moi quand je serai grand je serai suivi ! »
C’est déjà assez compliqué
De trouver quelque part où loger
Sans qu’un agent persécuteur
Puisse se présenter à toute heure
Et vous dire :
Toc toc toc, voilà les médocs !
Ça fait comme un électrochoc
Attention, voilà l’injection !
On ne vous demande pas la permission
Le médecin-juge-préfet
Est là pour vous soigner
Il viendra vous chercher
Jusque dans la chambre à coucher
Parce qu’un évadé de l’HP
S’est retrouvé médiatisé
Il faudrait murer tous les patients
Sous peine de péril imminent
Les fauteurs de trouble public
Iront en prison psychiatrique
Et si ça coûte cher au Trésor
Il n’y a qu’à les enfermer dehors
Et leur dire:
Toc toc toc, voilà les médocs !
Ça fait comme un électrochoc
Attention, voilà l’injection !
On ne vous demande pas la permission
Le médecin-juge-préfet
Est là pour vous soigner
Il viendra vous chercher
Jusque dans la chambre à coucher
Un gestionnaire quand ça vous trace
Ça voit le soignant comme une menace
Tandis qu’il y a bien assez d’argent
Pour faire des chambres d’isolement
Un gestionnaire quand ça bricole
Ça vous fabrique des protocoles
Où le parano passe en audience
Grâce à de la visioconférence
Toc toc toc, voilà les médocs !
Ça fait comme un électrochoc
Attention, voilà l’injection !
On ne vous demande pas la permission
Le médecin-juge-préfet
Est là pour vous soigner
Il viendra vous chercher
Jusque dans la chambre à coucher
Quand vient la nuit sécuritaire
On économise la lumière
En enlevant la citoyenneté
A ceux qui ont démérité
Résonne alors, au coin de la rue
L’appel à exclure les exclus
L’insupportable ritournelle
Du fou dangereux criminel
Toc toc toc, voilà les médocs !
Ça fait comme un électrochoc
Attention, voilà l’injection !
On ne vous demande pas la permission
Le médecin-juge-préfet
Est là pour vous soigner
Il viendra vous chercher
Jusque dans la chambre à coucher
14:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la parisienne libérée, patrick milique, niolas sarkozy, médocs, psychiatrie, balayer l'incertitude, vol d'oiseau, le toucher, nadia, angelot, médecin, juge, préfet, manger, corridor, philosophie, mâtiné, criminel, éléctrochoc, visioconférence, gestionnaire, murer, péril, fauteur de trouble, trouble public, musique africaine, injection, permission, schizophrène, paranoïa, chambre d'isolement
10/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 10
TRENTE-CING ANS APRES...
D'UNE SIDERANTE ACTUALITE
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN
EPISODE 10
14/10/1977 - 05min22s
Dixième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... La guerre dure depuis deux jours et l'Amérique est toujours en tête surtout grâce au travail des espions. Robin CRUSO décrie leur travail. Il déplore aussi que l'obstacle à la victoire provient de la volonté des français de perdre. Les sondages d'opinion l'avaient mis en évidence. L'importance des sondages d'opinion dans cette société automobile.
Générique
21:35 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, principauté, actionnaire, espion, participation, description, travailleur
09/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 9
TRENTE-CING ANS APRES...
D'UNE SIDERANTE ACTUALITE
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN
EPISODE 9
13/10/1977 - 05min09s
Neuvième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... La guerre a débuté depuis 20 minutes. Robin CRUSO décrit les principales actions des puissances en présence. Les automobilistes peuvent parier sur les vainqueurs grâce au PMI.
Générique
22:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, principauté, actionnaire, force en présence, puissance de feu, parier sur le vainqueur, pmi
08/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 8
TRENTE-CING ANS APRES...
D'UNE SIDERANTE ACTUALITE
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN
EPISODE 8
- 12/10/1977 - 05min49s
Huitième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... Robin CRUSO arrive sur le champ de bataille et prend sa place sur le terrain, sorte de jeu d'échec. Il explique les règles de cette guerre que les grands officiers mènent depuis leurs bureaux. Chaque automobile pour combattre et représente une ville, s'il perd, la ville est détruite au napalm. La télévision retransmet la guerre.
Générique
21:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, nouvelle mesure, mesure drastique, métal en fusion, champ de bataille, jeu d'échec, officier
07/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 6
TRENTE-CING ANS APRES...
D'UNE SIDERANTE ACTUALITE
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN
EPISODE 6
10/10/1977 - 05min18s
Sixième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... La nuit est tombée mais Robin ne peut s'arrêter sous peine de mort, la voiture devant lui se trouve précipitée dans une fosse où se trouve du métal en fusion. Cette voiture était conduit par un enfant de huit ans. C'est l'occasion pour Robinson de parler de l'éducation des enfants...On oriente ensuite Robinson vers le tunnel de nettoyage...mais nettoie-t-on uniquement les automobiles dans ce tunnel ou assiste-t-on à de nouvelles méthodes de destruction massive?
Générique
21:56 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, nouvelle mesure, mesure drastique, métal en fusion, éducation nationale, conseillé d'orientation, tunnel
05/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 5
TRENTE-CINQ ANS APRES...
D'UNE SIDERANTE ACTUALITE
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 5
07/10/1977 - 05min45s
Cinquième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... Robin CRUSO est mainteant au niveau du Palais de Justice, l'occasion pour lui de consulter son compte bancaire. Désormais face à l'importance des amendes, les salaires sont directement versés au Palais de Justice... Rassuré sur son compte Robinson décide de regarder la télévision, le poste est placé à l'arrière du véhicule précédent...Robinson parle ensuite des distributeurs de pilules contenant des connaissances, c'est par ce moyen qu'on s'instruisait ou ressentait des sensations diverses.
Générique
21:22 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, nouvelle mesure, mesure drastique, éliminer, en surnombre, arriver, surpopulation
04/12/2012
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 4
L'APOCALYPSE EST POUR DEMAIN: EPISODE 4
06/10/1977 - 06min25s
Quatrième épisode des aventures de Robin CRUSO, le feuilleton apocalyptique de Jean YANNE qui défraya la chronique lors de sa diffusion sur France Inter d'octobre à décembre 1977. L'aventure commence dans un monde où les hommes ne sont plus que des automobilistes rivés à leur volant par la force des choses et la multiplication des voitures, au sein d'un perpétuel et gigantesque embouteillage. Aller à son travail ou rentrer chez soi peut prendre plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Les dirigeants des peuples n'ont plus pour seule préoccupation que la réduction du taux (sans cesse croissant) des automobiles par tous les moyens, parfois les plus radicaux et cruels... Robin CRUSO roule depuis trois jours, il doit absolument s'approvisionner en oxygène. C'est alors qu'une voiture à côté de lui essaye de le pousser à l'eau...Il s'agit d'un confessionnal prioritaire, Robinson explique son rôle, mais aussi celui des contractuelles habilitées à éliminer les automobilistes récalcitrants.
Générique
19:42 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, apocalypse, sidérant, actualité, épisode, avanture, robinso crusoë, feuilleton, apocalyptique, jean yanne, défrayer la chronique, diffusion, france inter, octobre, décembre, commencer, monde, homme, automobilisme, river, volant, par la force des choses, multiplication, voiture, sein, perpétuel, gigantesque, embouteillage, aller à son travail, rentrer chez soi, prendre plusieurs jours, plusieurs semaines, les dirigeants des peuples, seule préoccupation, réduction du taux, croissance, par tous les moyens, vieil homme, mourir, permission, gagner une place, radio, préfet, annonce, nouvelle mesure, mesure drastique, éliminer, en surnombre, arriver, surpopulation