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30/05/2017

PASSE-PASSE CONCEPTUEL 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

PASSE-PASSE CONCEPTUEL

2

 

Une fois déstructurées, et sous les assauts ravageurs de la réalité, les convictions les plus absolues lentement se dissolvent. Et nous restons cois devant l'inexistence flagrante de métamorphoses.
Car enfin, quelque chose vient-il soudainement de changer? Non! Le ciel n'a toujours pas viré au rose, tout comme l'horizon gîte toujours à perte de vue tandis que le soleil, opiniâtre, s'obstine à se lever chaque jour. Du coup, c'est beaucoup moins drôle qu'espéré.

Au moins l'illusion autorise-t-elle à quelques frasques du meilleur aloi: les étoiles, confuses, se désagrèges, comètes filantes dans le cosmos enthousiaste, les feuillages luxuriants chantent à tue-tête, les bruits du soir s’élèvent, soudainement inspirés, en subtiles symphonies, sans oublier les poètes devenus, éberlués, les princes de la cité.
C'est dire si l'illusion est une belle et bonne chose, indéniable d'utilité publique.

(A SUIVRE)

 

P. MILIQUE

06/09/2013

FAIRE OU NE PAS FAIRE Thomas BOIVIN « CES MECS-LA, TU VAS LEUR PARLER »

 

FAIRE OU NE PAS FAIRE
Thomas BOIVIN

A LA RUE
« CES MECS-LA, TU VAS LEUR PARLER »

(2mn 03)


Thomas BOIVIN est photographe salarié dans un cabaret parisien. Son travail consiste à faire le portrait des spectateurs au cours de la soirée. La journée, il se promène et photographie dans la rue. Petite leçon d'éthique du reportage. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.

Enregistrements : avril 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte

19/07/2013

IMANY EN CONCERT Première Partie De BEN L'ONCLE SOUL AU BIKINI TOULOUSE

(Captation personnelle)

 

IMANY

EN CONCERT

Première Partie De

BEN  L'ONCLE  SOUL 

  AU BIKINI

TOULOUSE

  28  10  2010

 

Comment ne pas être durablement sous le charme d'une telle voix?

Envoutant!

27/06/2013

IMANY en concert Première partie de BEN L'ONCLE SOUL AU Bikini

 

IMANY

EN CONCERT

Première Partie De

BEN  L'ONCLE  SOUL 

  AU BIKINI

TOULOUSE

  28  10  2010

 

Comment ne pas être durablement sous le charme d'une telle voix?

Envoutant!

27/05/2013

PAUL CELAN : "FIGURE DOUBLE" "LOINTAINS" "GREFFE SUR L'OEIL"

 

PAUL CELAN

"FIGURE DOUBLE"

Lu par Alain LENGLET

"LOINTAINS"

Lu par Julie SICARD

"GREFFE SUR L'OEIL"

Lu par Stéphane VARUPENNE

Poèmes extraits du recueil De Seuil en seuil (éditions Poésie Gallimard, traduction : Jean-Pierre Lefebvre)


Paul Celan est né le 23 novembre 1920. Ce poète et traducteur roumain de langue allemande, juif de Galicie, est un des plus grands poètes allemands du XXe siècle. Il a composé une oeuvre riche et complexe, orchestrée autour de la sonorité d'une langue qu'il maltraite, et ciselée dans la conscience d'écrire après l'extermination des juifs d'Europe. Il est mort en 1970 à Paris.

Un choix composé dans son recueil De Seuil en Seuil, paru en 1955 en Allemagne, et dans la traduction française de Jean-Pierre Lefebvre en 1998 parue chez Poésie Gallimard.


Prise de son : Pierre Minne

Montage : Sylvain Dangoise

Assistante à la réalisation : Delphine Lemer

Réalisation : Myron Meerson

 

16/05/2013

YVES JAMAIT (CAPTATION PERSONNELLE) "LA CUMPARSITA"

 

YVES JAMAIT

(CAPTATION PERSONNELLE)

"LA CUMPARSITA"

EN "ENFANT DE LEO"

FESTIVAL.... ALORS CHANTE!

SALLE EURYTHMIE 

MONTAUBAN

LE 7 MAI 2013

13/05/2013

ARTHUR RIMBAUD, « ROMAN » (1870)

 

ARTHUR RIMBAUD

« ROMAN » (1870)

Lu par Félicien Juttner

 

Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue » 

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »

12/05/2013

ARTHUR RIMBAUD, « LES EFFARES» (1870)

 

ARTHUR RIMBAUD

« LES EFFARES»

(1870) 

Lu par Adeline d'HERMY

 

 

Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue » 

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »

23/07/2012

Barbara STANWYCK: parle de son dernier film "Moonlighter"...

 

Barbara STANWYCK

Parle de son dernier film "Moonlighter", un western...

Plein feu sur les spectacles du monde 

10min20s


 

Interview par la journaliste Gara PEL (?) de Barbara STANWYCK, elle parle de son dernier film "Moonlighter", un western. Elle aime les scènes dangereuses, de ses prochains films, de ses derniers rôles, dont celui dans "Titanic". A 4'00 : Elle raconte le début de sa carrière au théâtre et au cinéma. Le trac. Elle admire la danseuse Isadora DUNCAN. Elle aimerait tourner en Europe. Son opinion sur le cinéma français, réaliste et pas factice. Elle aime la France et Paris. Surtout le violon de son cabaret préféré. A 7'30 : Les raisons de sa réussite. Dieu a été généreux. La vie ne reste jamais immobile. A 8'40 : Elle aime beaucoup tous les nouveaux procédés (comme le Cinérama). Ce qui compte, ce sont les bons scénarios. Ses auteurs favoris.


Générique

Wilmet, René
Stanwyck, Barbara