27/04/2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 24.04.2013
CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
24.04.2013
18:58 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, philiipe meyer, refrain, gouvernement, tréfonds, union nationale, leuron, diffuser, exhortation, partisan, entreprise, tissu industriel, acheter, végéter, coup de tête, dieu, renouveller, produit, objecter, projeter, indiscrétion, messagerie, singulariser, humour, variation, adolescence, habitude, prescripteur, importer, village d'astérix, patriotique, résistance, conception, finition, atelier, slip made in france, mise sur le marché
23/04/2013
LUDOVIC JANVIER: "RESPIRER MIS A PART... RESPIRER MIS A PART", "SUR QUEL MOI DANSER"
LUDOVIC JANVIER
"RESPIRER MIS A PART... RESPIRER MIS A PART"
"SUR QUEL MOI DANSER"
Respirer mis à part… respirer mis à part
Poème de Ludovic JANVIER
Lu par Antoine FORMICA
Extrait de Une poignée de monde, Gallimard, 2006
Suivi de
Sur quel moi danser, extrait
Poème de Ludovic JANVIER
Lu par Grégory GADEBOIS
Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987
Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.
C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.
À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :
Respirer mis à part
le plus clair de ta vie
passe à chercher les mots
qui diront comme ils peuvent
le plus clair de ta vie
respirer mis à part
Poèmes choisis par Sophie NAULEAU
Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN
Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE
Réalisation: Marguerite GATEAU
23:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, au magma present de l'ecriture, ludovic janvier, tentative, samuel beckett, clément hervieu(léger, gallimard, la mer à boir, ascendance, haïtien, envie d'écrire, ancien, remonter, adolescence, parcours, public, nouveau roman, parole exigeante, traduction, watt, préface, écrivain, baigneuse, monstre, conduite accompagnée, hervé pierre, nationalisr, emprunter, protectionnisme, sévérité, aire son choix, réformer, militer, nostalgique, s'affranchir, contrainte, socialisme, frapper, relancer, dévaluer, rigueur, mythe, gouverner, administrer, prélèvement obligatoire, collectivité territoriale, augmenter, sarkozy, abattre, abaisser
22/04/2013
LUDOVIC JANVIER: "NEGRO SPIRITUEL"
LUDOVIC JANVIER
"NEGRO SPIRITUEL"
Lu par Hervé PIERRE
Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987.
Lu par Clément HERVIEU-LEGER
Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987
Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.
C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.
À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :
Respirer mis à part
le plus clair de ta vie
passe à chercher les mots
qui diront comme ils peuvent
le plus clair de ta vie
respirer mis à part
Poèmes choisis par Sophie NAULEAU
Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN
Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE
Réalisation: Marguerite GATEAU
23:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, ludovic janvier, tentative, samuel beckett, clément hervieu(léger, gallimard, la mer à boir, ascendance, haïtien, envie d'écrire, ancien, remonter, adolescence, parcours, public, nouveau roman, parole exigeante, traduction, watt, préface, écrivain, baigneuse, monstre, conduite accompagnée, hervé pierre, nationalisr, emprunter, protectionnisme, sévérité, aire son choix, réformer, militer, nostalgique, s'affranchir, contrainte, socialisme, frapper, relancer, dévaluer, rigueur, mythe, gouverner, administrer, prélèvement obligatoire, collectivité territoriale, augmenter
21/04/2013
LUDOVIC JANVIER: "TENTATIVE"
LUDOVIC JANVIER
"TENTATIVE"
Lu par Clément HERVIEU-LEGER
Extrait de La mer à boire
Gallimard, 1987
Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.
C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.
À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :
Respirer mis à part
le plus clair de ta vie
passe à chercher les mots
qui diront comme ils peuvent
le plus clair de ta vie
respirer mis à part
Poèmes choisis par Sophie NAULEAU
Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN
Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE
Réalisation: Marguerite GATEAU
23:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, ludovic janvier, tentative, samuel beckett, clément hervieu(léger, gallimard, la mer à boir, ascendance, haïtien, envie d'écrire, ancien, remonter, adolescence, parcours, public, nouveau roman, parole exigeante, traduction, watt, préface, écrivain, baigneuse, monstre, conduite accompagnée
11/02/2013
LES LIVRES DE MA VIE : SIMONE SIGNORET
LES LIVRES DE MA VIE
SIMONE SIGNORET
Bibliothèque de poche
12/10/1966 - 19min11s
Interviewée par Michel POLAC, Simone SIGNORET, chez elle, parle des livres et des écrivains qui ont compté dans sa vie. Elle se rappelle que l'histoire de l'éléphant HOUNDJI-POUNDJI (?) l'a marquée, durant l'enfance, puis "Zig et Puce", les Contes d'ANDERSEN, "Le livre de la jungle", "Delly" ("à l'âge bête", dit-elle), le "Grand Meaulnes", durant sa jeunesse, et "Poussières" de Rosamond LEHMANN, à l'adolescence. Les livres qui ont été un choc pour elle, et ont conditionné sa vie : "Les Thibault" de Roger MARTIN DU GARD et "La Condition humaine" d'André MALRAUX. Elle a découvert ensuite la littérature américaine, puis Emile ZOLA. Il y a deux ans, elle a lu "A la recherche du temps perdu" de Marcel PROUST.Des photos de Simone SIGNORET ponctuent l'entretien. A l'issue de l'interview, Michel POLAC présente deux ouvrages, cités par Simone SIGNORET : "Les Thibault" de Roger MARTIN DU GARD et "La Condition humaine" de MALRAUX (illustration par des photos et des dessins, notamment des photos des écrivains Roger MARTIN DU GARD et André MALRAUX).
Production
Générique
18:22 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, simone signoret, les livres de ma vie, bibliothèque de poche, interview, michel polac, à domicile, parler des livres, écrivains, ce qui compte dans la vie, se rappeler l"histoire, éléphant, houndjipoundji, marquer au fer rouge, durant l'enfance, zig et puce, les contes d'andersen, le livre de la jungle, delly, l'âge bête, le grand meaulnes, durant ma jeunesse, poussière, rosamond lehmann, adolescence, nébulosité, choquer, conditionner la vie, les thibault, roger martin du gard, la condition humaine, andré malraux, découvrir, littérature américaine, émile zola, à la recherche du temps perdu, marcel proust, photographier, ponctuation, entretien, ouvrager, notifier, yannick bellon
INSCRITS A L'INTIME
INSCRITS A L'INTIME
Inscrits à l'intime d'une adolescence hallucinée et,
S'évaporant dans l'écoute extatique d'improbables émois sentimentaux,
Apparaissent certains bouleversements mineurs
Qui provoquent, révolution infinitésimale,
Une signification suffisamment menaçante et déroutante
Pour réinventer une conversation incompétente et marginalisée.
P. MILIQUE
09:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, inscription, intimité, adolescence, halluciner, évaporation, évaporer, écoute, écouter, extatique, improbable, émoi, sentimental, apparaître, bouleversement, bouleverser, mineur, provoquer, révolutionner, infinitésimal, signification, suffisance, menaçant, déroutant, réinventer, conversation, compétence, marginaliser
08/11/2012
LES FRANCAIS ET LE LIVRE: "Serge GAINSBOURG SE SOUVIENT DE SES PREMIERES LECTURES"
Serge GAINSBOURG SE SOUVIENT DE SES PREMIERES LECTURES
Bibliothèque de poche
01/10/1968 - 07min41s
Interviewé par Michel POLAC, Serge GAINSBOURG, chez lui, évoque ses goûts littéraires en citant quelques livres qui l'ont marqué. Il se rappelle ses premiers souvenirs de lecture, "Les contes" de GRIMM, PERRAULT et ANDERSEN, "L'île au trésor" de STEVENSON, puis, à l'adolescence, il découvre la poésie libertine de CATULLE, la philosophie de SCHOPENHAUER, et, quelques années plus tard, les livres de la collection Série Noire, "La reine des pommes" de Chester HIMES, les livres de Peter CHENEY. Il explique pourquoi il considère "Adolphe" de Benjamin CONSTANT comme le livre idéal, qui ne l'a jamais quitté.
Production
Générique
01:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, franchise, lecture, serge gainsbourg, se souvrnir, première lecture, bibliothèque de poche, interviw, michel polac, évocation, goùut littéraire, citation, marquetterie, se rappeler, premier souvenir, grimm, perrault, andersen, l'île au trésor, contesse, stevenson, adolescence, découvrir, poésie libertine, catulle, philosophie, schopenhauer, annuité, collection série noire, la reine des pommes, chester himes, peter cheney, explication, considération, adolphe, benjamin constant, livre idéal, jamais quitté, yannick bellon
22/09/2012
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE
Un soir d'adolescence désespérée qui se dissout dans un inévitable chaos.
L'impact émotionnel le propulse aux limites extrêmes de la détresse. Le moment de la rupture, la rupture même, lui est douloureusement insupportable et il aspire à se venger de la terre entière. Cataclysme. Destruction totale. La leur. Ou la sienne. C'est pareil. Une façon comme une autre d'exprimer sa révolte.
La mort ! Une idée inexorable. Une sorte de logique fatale induite par des tensions négatives beaucoup trop intenses. Dans un état de confusion totale et comme asphyxié par l'angoisse qui sourd de partout en lui. A bout de souffrances psychologiques, il retourne contre lui le potentiel d'une violence qu'il ne se connaissait pas. L'ultime et animale violence d'un désespoir humain.
Par bonheur, cela n'a pas été suffisant !
Alors il doit reprendre sa route.
Et on le retrouve abattu par l'infinie tristesse et traumatisé par l'exploration éreintante et incessante des territoires jusque-là obscurs et inconnus de sa nuit intérieure.
Tout son jeune univers a subitement basculé. Ses certitudes ont vacillé. Désormais, il doit affronter le vide moral, le manque de perspectives, l'omniprésence de l'inacceptable, l'horreur répulsive des faits avérés. Il se sent tellement abandonné, tellement vulnérable face à cete réalité impossible à modifier. La blessure est profonde. Terriblement profonde. Trop peut-être !
Parce que l'absence de l'absente lui est insoutenable et que cela le dessèche encore et encore.
Parviendra-t-il un jour à sublimer son chagrin ?
Le voilà, lui que j'ai aidé à grandir, devenu lui aussi un écorché de la vie.
Il sait désormais que certaines circonstances peuvent anéantir la beauté des êtres et faire saigner le bleu de n'importe quel ciel.
Mais, existe-t-il une autre alternative sur cette terre que d'accepter l'éphémère ?
P. MILIQUE
09:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, acceptation, éphémère, adolescence, désespérance, se dissoudre, inévitable chaos, impact émotionnel, propulser aux limites extrêmes, détresse, le moment de la rupture, douloureux, insupportable, aspirer à se venger, cataclysme, destruction totale, exprimer sa révolte, la mort, idée inexorable, logique fatale, induire des tensions négatives, intensité, état de confusion totale, asphyxié par l'angoisse, sourdre, souffrance psychologique, retourner contre lui, potentiel de violence, ultime cviolence, animal, désespoir humain, reprendre la route, tristesse infinie, traumatisme, exploration, éreintant, incessant, territoire, obscur, inconnu, nuit intérieure, jeune univers, le jour où tout à basculer, certitudes vacillantes, affonter le vide, vide moral, manque de perspectives, omniprésence, inacceptable, horreur répulsive