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15/07/2017

TES MOTS SONT DES ÉTOILES 3

STYLO PLUME.jpg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

TES MOTS SONT DES ÉTOILES

3

 

Parce que l'écriture est humaine, elle est alternance de mélancolie et de gaieté.

Cela lui arrive de prendre la forme désabusée d'une jubilation chagrine où tout est saturnien et frissonnant.

La voilà toute en nuances crépusculaires, plus acidulée que vraiment acide cependant, pour préciser les jours rongés de solitude dans laquelle se consume l'urgence de vivre.

 

Dans ces moments-là, il ne reste que les mots pour se défendre n'est-il pas?

Des mots cernés d'ombres ou vrillés d'angoisse.

Des mots froissés.

Des mots chaleureux ou hostiles.

Des mots noirs, noirs boue, noirs nuits.

Des mots qui, inexorablement, collent à la peau.

 

Par bonheur, à force de les travailler avec grande minutie ces mots, ils nous aident à suivre notre étoile jusque dans les chemins de traverse pour ensuite revenir sur nos pas dans la morosité du temps. Cette fine stratégie utilisée parviendra peut-être à velouter de miel la virulence excessive du propos.

A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

16/03/2017

MAIS AVEC QUEL DÉGOUT

au magma présent de l'écriture,

 

MAIS AVEC QUEL DÉGOUT



C'est un univers tout à fait incohérent,
Une atmosphère lourde et difficilement descriptible.
Dans celui-ci, comme derrière tout masque authentique,
S'exprime sans retenue l'intransigeante part de doute
Et les égarements dangereux inhérents à toute pensée.

Il possède, par devers lui, quantité de forces insoupçonnables.
Des forces susceptibles de dynamiter les certitudes cumulées.
Il arrive de percevoir parfois quelques stridences de douleurs
Sur son visage brûlant secoué d'irrépressibles tremblements.

On le comprends dès lors niché au cœur d'un désastre général.
De lui peut surgir, à tout moment, d'inopinés éclats de violence
Dans l'agitation terrifiante d'éléments devenus incontrôlables,
De lourds nuages noirâtres pleurent une épaisse pluie de sang
Tandis que de terrorisantes comètes zèbrent sa conscience,
Éclairant son tréfonds d'une blafarde lueur de fin du monde.

Là, il trouvera la force de renaître à la vie, mais avec quel dégoût!


P. MILIQUE

12/03/2015

LA BEAUTÉ 1

au magma présent de l'écriture,

 

LA  BEAUTÉ

1

 

La beauté physique ne relève pas de l'idéal mais du hasard.

D'ailleurs, si elle avait un tant soit peu de sens, elle indisposerait moins.

Car comme la vérité, la beauté effare.

 

La perfection des pommettes d'une frêle jeune fille aux yeux incroyables, presque violets, ou la finesse et l'ovale visage d'une femme aux traits lumineux venus de l'enfance, ce sourire inconnu qui survient comme un soleil fugitif, ou bien encore cet autre minois venu d'ailleurs et infiniment sensuel.

Il a les lèvres gourmandes de quelqu'un qui sait la douceur sans fin d'embrasser, et aussi cette émanation de l'intime qui modifie sans cesse son regard turquoise.

Ces visages si différents, diffus et insaisissables, ne sont pas les seules planètes à magnifie la galaxie du beau.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

18/12/2014

FLUIDE

au magma présent de l'écriture,

 

FLUIDE

Les pensées affluent,
Les sens s'aiguisent
Tandis qu'un fil de vie,
Longue et secrète hémorragie,
Défie et embrase les attentes.

Rien d'autre que profondément humain
Chacun est en mesure de le percevoir.


P. MILIQUE

04/03/2014

DANS L'IMPARFAIT D'UNE VIE

INSPIRATION.jpg 

 

DANS L'IMPARFAIT D'UNE VIE

 

Malgré les doutes, les difficultés et les souffrances,

Les espaces volubiles du dialogue intime

Attisent ses vers et dénouent le quotidien.

 

Dispersion aléatoire et décalages perceptibles

Parquent le vif des mots au centre d'une expérience

Où l'immanence et l'altérité se mêlent.

 

Allant de l'harmonie à la grande dissolution,

Les marges formelles de l'imaginaire s'estompent

Dans l'oscillation certaine qui va du chant à sa perte.

 

A la recherche de phrases au mouvement inédit,

Les mots d'aboutissement se font mélodieuse poésie

Sous l'impulsion inspirée d'un bord à bord de beauté

Où le présent satisfait touche à l'immémorial.

 

Porteur d'une lumière ondoyante et nouvelle,

Le feu jaillit, diffus, sorte de flèche d'aura

Rassemblant en grappe les mots rêvés en douceur,

Dans l'imparfait d'une vie conjuguée aux élans de l'amour.

 

P. MILIQUE

08/12/2013

PLAY WITH WATER: LE SON DES RIVIÈRES JAPONAISES « SPLASH »

 

PLAY WITH WATER
LE SON DES RIVIÈRES JAPONAISES

(5’40’’)
« SPLASH »


Un collage de sons des rivières japonaises réalisés par l'émission "Oto no Fukei" sur la radio publique NHK. Oto no Fukei ("le paysage sonore") propose chaque soir une carte postale sonore d'environ 5 minutes presque sans commentaire. Ses responsables ont invité ARTE Radio à participer à son émission spéciale sur le thème des rivières diffusée en juillet 2013. Après la carte postale de Mehdi Ahoudig "Paris sur Seine", voici un collage des sons recueillis par l'équipe de "Oto no Fukei".

 

Enregistrements : mai-juin 13
Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet
Réalisation : NHK 'Oto no Fukei' production team

23/11/2013

UN DÉCHIRANT SOLEIL NOIR

BlackSun[1].jpeg.jpg

 

UN DÉCHIRANT SOLEIL NOIR

Lorsqu’il ne reste plus rien pour colmater
Les brèches de l’existence et compenser le désert de jours,
S’impose alors comme unique alternative
La fréquentation ambiguë des couches épaisses de la nuit.

Dans ces nuits de désespérance
La mélancolie est là, insidieuse,
Prompte à ouvrir en grand les bras
De ses larges zones dépressives,
A l’intérieur desquelles existe le sentiment diffus
D’une terrible méprise qui,
Au cœur de cauchemars mouvants,
Nous laisse vacillants au bord du gouffre.

C’est une situation extrême
Qui nous rend incapable d’ordonner notre pensée,
De retrouver l’improbable sérénité.
Avec l’affreuse sensation d’un cœur qui rétrécit,
Et s’assèche d’une vie qui crève en silence
Dans l’oubli d’un perpétuel naufrage.
Emmurés dans la solitude et le chagrin,
On se perd dans des brumes de détresse
Jusqu’à souhaiter être suffisamment lâche
Pour plonger de manière délibérée dans le néant,
Afin de nous immerger dans les affres du vide
Et y rencontrer le calme mérité d’un apaisement sensoriel.
Enfin !

L’abîme, dans certaines conditions,
Est peut-être un réel moment d’hypnose.
C’est en tout cas un déchirant soleil noir,
Un pur fragment d’angoisse.

De tels abysses de tristesse peuvent-ils vraiment exister ?
Oui !
Mais c’est inacceptable…



P. MILIQUE

   
 

04/11/2013

Velvet Underground - Concert | Fondation Cartier, 1990 (Lou Reed, John Cale, M. Tucker, S. Morrison)

 

VELVET UNDERGROUND

CONCERT

FONDATION CARTIER 1990

(Lou REED, John CALE, M. TUCKER, S. MORRISON)

 

En hommage à Lou Reed, la Fondation Cartier diffuse pour la première fois ce concert historique du Velvet Underground.

« Le concert n'a jamais été prévu pour être la reformation du Velvet Underground, mais lorsqu'on a invité Lou Reed, dans le cadre de l'exposition Andy Warhol en 1990, toutes les personnes qui sont venues à Jouy-en-Josas l'espéraient. Ce concert s'est tenu l'après-midi du 15 juin et un autre groupe était prévu, mais au dernier moment Lou Reed et John cale sont montés sur scène pour jouer Songs for Drella. Ensuite, lorsque Sterling Morrison et Maureen Tucker les ont rejoint pour commencer Heroin... C'était à tomber. J'ai toujours pensé que c'est l'atmosphère créée par la Fondation Cartier qui a permis cette reformation, parce que nous étions sincères, et surtout pas des professionnels du show-business. Ce qui s'est passé ce jour-là a été un très grand plaisir, un honneur. »
Marie-Claude Beaud, directrice de la Fondation Cartier pour l'art contemporain de 1984 à 1994.
Propos recueillis à la Fondation Cartier, Paris, le 29 octobre 2013

01/10/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI AVAIT UN GILLES DE LA TOURETTE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI AVAIT UN GILLES DE LA TOURETTE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

30/09/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT PEUR POUR SA P.I.P"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT PEUR POUR SA P.I.P"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

29/09/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

28/09/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: " L'AMIE DE LA FEMME QUI ÉTAIT BATTUE "

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

" L'AMIE DE LA FEMME QUI ÉTAIT BATTUE "

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal