Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/06/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL " LE MODELE "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"


"LE MODELE"

Lu par Catherine SAUVAL


(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

 Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 

 

 

 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

31/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL : " AVANT TOUT CELA C'ETAIT L'HIVER "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"

 

" AVANT TOUT CELA C'ETAIT L'HIVER "

Lu par Nicolas LORMEAU


suivi de

NE PAS TOUCHER

Lu par Adeline D’HERMY


(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 


 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

30/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "LE JARDIN QUI PLEURE... "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"


"LE JARDIN QUI PLEURE... "
Lu par Benjamin LAVERNHE


 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.


On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

Réalisation : Michel Sidoroff

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

29/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL

"MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917"

"LA VIE EST MA SOEUR, ET VOICI QU'ELLE EXPLOSE... "

Lu par Louis ARENE

 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.


On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

Réalisation : Michel Sidoroff

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

28/05/2013

BORIS PASTERNAK RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917" "À PROPOS DE CES VERS "

 

BORIS PASTERNAK

RECUEIL "MA SOEUR LA VIE - L'ETE 1917" 

"À PROPOS DE CES VERS "

Lu par Benjamin LAVERNHE

 

Tiré du recueil Ma sœur la vie, L'été 1917

 

(Traduction par Michel Aucouturier et Hélène Henry, Bibliothèque de la Pléiade, 1990)

 

 

On se rappelle de Boris Pasternak, et son livre « Le docteur Jivago ».

 

On s’en souvient surtout grâce au film américain de David Lean, en 1965, avec Omar Sharif et Julie Christie. Ce que l’on sait moins c’est que ce roman fut interdit de publication en U.R.S.S., mais qu’il parut en France en 1958, grâce à l’éditeur italien Giangiacomo Feltrinelli, à qui Pasternak avait confié son manuscrit.

 

Ce fut la naissance de la dissidence littéraire. 

 

Boris Pasternak reçoit le prix Nobel, et cela devient une « affaire » dans la Russie soviétique. 

 

On l’oblige à refuser le prix, on le couvre de calomnies, on le persécute, lui et sa famille. Il est déchu de ses droits de citoyen. 

 

Il meurt le 30 mai 1960 chez lui, à Peredelkino, le village des écrivains, à l’âge de soixante-dix ans. (Lire « Le dossier de l’affaire Pasternak » préfacé par Jacqueline de Proyart, collection Témoins/Galllimard).

 

Le docteur Jivago ne sera publié en U.R.S.S, qu’en 1988.

 

 

On connaît moins la poésie de Boris Pasternak : il fut un grand poète lyrique.

 

Certains de ses poèmes trouveront leurs échos dans « le docteur Jivago » dont l’action se situe dans le moment de la guerre civile.

 

Le recueil « Ma sœur la vie », fut écrit pendant l’été 1917.

 

Été de la révolution, et révélation poétique pour Pasternak.

 

Dans une lettre posthume à Rainer Maria Rilke, mort en 1926, il écrit :

 

« Je n’ai sans doute pas su vous parler comme il fallait de ces jours éternellement premiers de toutes les révolutions où les Desmoulins bondissent sur la table et enflamment les passants par un toast à l’air qui les entoure. J’en ai été le témoin. (…) J’ai vu l’été sur la terre, paraissant ne pas se reconnaître lui-même, naturel et antéhistorique, comme dans une révélation. J’ai laissé un livre sur lui. J’y ai exprimé tout ce que l’on pouvait apprendre sur la révolution de plus inouï et de plus insaisissable. »

 

Déjà en 1922, dans une lettre au poète symboliste Valeri Brioussov  parlant d’une entrevue avec Trotski, où celui-ci jugeait sa poésie comme « individualiste » et appartenant au « passé bourgeois » Pasternak écrit :

 

« J’aurai dû lui dire que Ma sœur était révolutionnaire dans le meilleur sens du terme.

 

Que le stade de la révolution le plus cher au cœur et à la poésie, que le matin de la révolution et son explosion, lorsqu’elle ramène l’homme à la nature de l’homme et qu’elle regarde l’Etat avec les yeux du droit naturel (les Déclarations des droits américaine et française), s’expriment dans ce livre par son esprit même. »

 

 

 

Poèmes choisis par Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry

 

Réalisation : Michel Sidoroff

 

Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

19/05/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "VOTEZ POUR MOI"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"VOTEZ POUR MOI"
Paroles et musique : la Parisienne Libérée


C’est pas marrant d’être sur le sofa
Juste à côté d’un candidat
A l’heure des vœux dans un salon
C’est fou comme le temps paraît long

 

[citation H. Morin]
« Nous vivons une période de forte instabilité où la France à chaque instant se demande si elle ne va pas basculer dans les plus grandes difficultés, où demain peut être encore plus difficile qu’aujourd’hui »

 

[citation N. Sarkozy]
« Vous pouvez être sûrs que j’assumerai jusqu’au bout et en totalité les lourdes responsabilités que vous m’avez confiées et que je n’aurai de cesse d’agir au nom de l’intérêt général »

 

Vous ne l’aimez pas, il vous le rend bien
En attendant c’est lui le souverain
Et il compte bien en profiter
Jusqu’à l’extrême extrémité

 

[citation M. Le Pen]
« Là où je suis en France des circonstances un peu particulières m’obligent à m’adresser à vous sans image »

 

[citation J.-M. Le Pen]
« Je viens vous présenter mes vœux de bonne et heureuse année 2012 »

 

Je vous souhaite à tous de bonnes lunettes
Et une présidence plus honnête
Je vous souhaite d’aimer votre pays
Autant que ceux qui l’ont choisi

 

[citation E. Joly]
« En 2012 vous pouvez changer de vision. En 2012 avec votre bulletin de vote vous pouvez changer la France »

 

Dans un décor à son image
Le grand favori des sondages
Arborant une cravate bleue
Nous gratifie de ses bons vœux

[citation F. Hollande]
« Je comprends les inquiétudes, j’entends les colères, je perçois les défiances, je vois les doutes, mais je connais aussi les attentes »

 

Si comme tu le dis c’est mon tour
De faire un vœu, il sera court :
J’aimerais vraiment, cher candidat
Avoir le même bureau que toi

 

Je veux pas vous miner le moral
Mais les choses vont de plus en plus mal
Si je vous souhaite la bonne année
Ce n’est qu’une façon de parler

 

[citation F. Bayrou]
« Le chômage, le pouvoir d’achat, le déficit, la dette, les difficultés de chacun, il m’a semblé que c’était trop sombre et trop noir, et je propose qu’on zappe cette première partie »

 

C’est bien beau de souhaiter la santé
Il faut encore pouvoir se soigner
Maintenant c’est tout le pays
Qui a besoin d’une thérapie

[citation C. Lepage]
« La santé, elle est nécessaire pour un individu, comme elle est nécessaire pour un pays. Mes voeux vont tout l’abord a ce que nous les français allions mieux »

 

Pour donner à cette élection
Sa nécessaire élévation
Je souhaite à tous les électeurs
Une présidence à la hauteur

 

[citation D. de Villepin]
« Du courage, nous en aurons besoin pour que la France soit à la hauteur de sa mission dans le monde »

Je vais vous le redire en quelques mots
Et sans tourner autour du pot
En 2012 faites le bon choix
En 2012 votez pour moi !

19/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "La lutte des crasses "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U



Je reprends la formule consacrée.
Toute l’histoire des hommes, jusqu’ici…
Pas jusque là… j’ai bien dit : jusqu’ici…
A été une lutte sans merci entre oppresseurs et opprimés…
C’est la fameuse lutte des classes : Je te bute ou tu me butes
Le but étant de ne pas se faire buter
Et autant que faire se peut : faire partie de ceux qui butent et non de ceux qui débutent
Et se font toujours buter
Il y a de quoi déprimer de voir toujours les mêmes oppresseurs opprimer les mêmes opprimés
Les mêmes qui priment et oppriment et répriment…
Les oppresseurs qui n’ont pas d’autre but que d’opprimer…
Et les opprimés qui sont opprimés parce que qu’ils n’ont pas d’autre but dans la vie
que de ne pas se faire buter.
On peut l’exprimer autrement … cette fatalité…
Avec un terme plus approprié à l’actualité : le ravissement… du verbe ravir…
Verbe ambigu… parce qu’en ce moment, nous ne sommes pas ravis…
C’est le moins qu’on puisse dire.
Non, nous ne sommes pas ravis d’apprendre qu’il y avait ( yahvé… retenez l’homophonie)
Qu’il y avait un français parmi les ravisseurs.
Un Français qui s’en prend aux intérêts français… Ça peut encore se discuter… mais un français qui n’a d’autre intérêt que de livrer la France aux influences des étrangers… Ça ne passe pas du tout.
À moins de considérer que la nation, la patrie, la famille sont des maux qui ne veulent plus rien dire…
C’est du Kafka, nous n’avons plus à faire qu’à des identités illusoires ou dérisoires.
Plus aucun signe fiable d’appartenance… À chacun selon ses convenances
Un passeport pour chaque mission et pour chaque commission.
C’est la forme d’un fond de commerce : échange et mélange de marchandises et de matières grises.
Tout s’achète et tout se vend : c’est la devise… C’est ravissant!
Cette opposition entre ravisseurs et déprimés…
Qui ne sont jamais ravis d’être entre les mains de leurs ravisseurs mais qui ne peuvent malheureusement pas faire autrement.
Que de subir lamentablement l’avis de leurs ravisseurs.
Et ça nous en apprend pas mal sur la lutte des classes…
Sur cette lutte qui n’en est pas une…
Puisque les opprimés ne font souvent que subir l’oppression… sans pouvoir réagir…
Sous peine de se faire mourir
Lutte des crasses : le capitalisme est à ce titre identifiable à une regrettable prise d’otages…
Où les ravisseurs mêmes morts restent les seuls vainqueurs.
Parce qu’ils ont bravé la mort…
Mais surtout, parce qu’ils nous ont rappelé une petite leçon de choses:
Que nous sommes lâches ou héros de naissance. Et que les sorts sont scellés d’avance.
Salut, la France !

10/01/2013

DEMARRAGE ARTE

 

 

DEMARRAGE ARTE

19/20 

30/05/1992 - 01min48s

 

L'écran se lève ce soir sur Arte, une chaîne de télévision franco allemande qui va émettre sur le réseau cablé des deux pays avec pour principale difficulté celle de surmonter le bilinguisme.Reportage à Strasbourg sur les répétitions et les derniers préparatifs.- Interview de Peter Wiem, rédacteur en chef, il parle de la différence entre la recherche d'information en France et en Allemagne.

 

Production

 

France Régions 3 Strasbourg

Générique

 

Lefevre, Christine

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Je ne t'abandonnerai jamais ! "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Un bout de terre
Un manuel de grammaire
Un frère, que vous ne pouvez pas abandonner
Et puis… une couleur dont je serais toujours fière
La couleur de mon pays… ce petit morceau de tissu
Qui s’agite dans mon cœur… avec lequel je me drape
Le drapeau… le flambeau… le seul… le vrai… le beau
C’est celui de mon pays… de ma mère patrie
Terre et mer de mes ancêtres… signes et symboles
De tout mon être… patrie chérie… jamais… je ne t’ai trahie…
Et je ne te trahirai jamais…

À terre je te relèverai… contre ventes et marées, je te soutiendrai…
Je saignerai pour t’empêcher de saigner
Je pleurerai pour que tu retiennes tes larmes,
Je me damnerai pour effacer tes péchés…
Je me prostituerai pour préserver ton intégrité..
Je me prosternerai pour que tu ne plies jamais…
Patrie, même avec les pieds dans le merdier
Je continuerai de chanter tes louanges…

Je crierai ton nom… France… je te demande pardon. Deux fois pardon !
Pour mes erreurs, mes errances
Les enfants qui te quittent ne sont pas tes enfants
Les raisons qui t’irritent ne sont pas des raisons
Nous avons failli… mais tu ne peux pas faillir
Nous avons fui… mais tu ne peux pas fuir…
Nous avons trahi… mais tu ne peux pas trahir…..
Parce que tu es, et même si nul ne le sait… notre plus belle raison de vivre et de mourir.
Laisse-moi te dire : je t’aime… France… berceau de mes joies et de mes insouciances.
Ne rougis pas même s’ils cherchent à te faire rougir…

Bleu sera toujours ton ciel
Blanche ton histoire toujours à écrire
Et rouge, le sang qui coulera toujours dans tes veines…
Mais la tangue sera toujours celle de mes premiers mots sur terre
Papa, maman, m’ont toujours dit que j’étais ton rayon lumineux
Tes enfants ont beau te renier
Tu ne renieras jamais tes enfants…
tu leur as déjà pardonné…
Parce qu’ils ne faisaient rien d’autre qu’exprimer : leur souffrance.

20/10/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "14 NOVEMBRE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


 

DIEGO…Approche… est-ce que tu as retiré tout l’argent que tu avais sur ton compte ?
Yalla… qu’est-ce que tu attends … le 14 novembre, c’est demain… c’est demain, je te dis!
JUAN… où tu étais ? Je te cherchais… je sais ce qui te chagrine, mon frère, tu te dis que cette grève générale illimitée va te coûter cher, très cher… parce que ton entreprise est privée… privée de quoi… tu ne t’es jamais posé la question, hombre!
Je vais te le dire … privée de matière grise … comme toute entreprise aujourd’hui.
LUIS… Ne me fais pas pleurer… lorsque je te vois sourire… ça me donne envie de mourir…

L’Espagne agonise…
Non! Nos dirigeants n’ont plus droit au chapitre… plus question de représentants… plus personne ne représentera le peuple.
Le peuple va mettre fin à toute représentation…
Il va enfin se faire entendre…
Pour commencer, il doit s’entendre avec lui-même et forger de nouvelles ententes
Grève générale illimitée…illimitée comme notre pauvre liberté
Pour que le peuple se parle enfin
Qu’il ouvre ses yeux au lieu de se boucher les oreilles
Non le peuple n’a plus faim, ni soif, ni sommeil ! Il en a ras le bol !
Il se réveille… et retrouve tout son orgueil
Pas pour quelques euros de plus ou quelques euros de moins
Il en est loin…
C’est cette vie qui ne lui fait plus envie
Cet avenir qui ne lui revient plus
Ces pouvoirs qui ne peuvent plus rien pour lui
Non, le peuple ne descend pas dans la rue
Il est à la rue…
Et c’est là qu’il va s’exploser comme une bombe ou y creuser enfin sa tombe!
Le 14 novembre… parce que l’honneur…mes frères, mes sœurs… votre sens de l’honneur est plus important que votre propre vie.

TRADUCTION de LUIS GARCIA

… DIEGO enfoque … es que ha quitado todo el dinero que tenía en su cuenta?
Yalla … ¿A qué esperas … 14 de noviembre es mañana … es mañana, te digo!
JUAN … ¿dónde estabas? Estoy buscando … Yo sé lo que te molesta, mi hermano, usted dice que la huelga general va a costar, querida … porque su negocio es privado … ¿Qué privada … usted no pidió, hombre!
Te voy a contar … materia gris privada … Como cualquier negocio hoy en día.
LUIS … No me hagas llorar … Cuando te veo sonreír … me dan ganas de morir ..
España se está muriendo …
¡No! Nuestros líderes no tienen derecho a capítulo … es una cuestión de los representantes de … nadie va a representar al pueblo.
La gente se detendrá cualquier representación …
Por último, se escuchará …
En primer lugar, debe ponerse de acuerdo consigo mismo y forjar nuevos acuerdos
Huelga general ilimitada … como nuestra libertad pobres
Para la gente por fin habla
Él abre los ojos en lugar de orejas
No la gente no tiene más hambre, ni sed, ni sueño! Estaba cabreado!
Se despierta … y recupera su orgullo
No es para unos pocos euros más o menos unos pocos euros
Es mucho …
Es esta la vida que le hace sentirse como
El futuro que se merece más
Estos poderes pueden hacer nada por él
No, la gente no va por la calle
Es la calle …
Y aquí es donde se va a explotar como una bomba o finalmente cavar su tumba!
14 de noviembre … porque el honor … mis hermanos y hermanas … su sentido del honor es más importante que su propia vida.

27/09/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "SANS GLOIRE"

"SANS GLOIRE"

 

Le journal lyrique de Personne :
Touche pas à ma Révolution !
Che Guevara,
Printemps arabe,
Révolution, Religion,
Liberté ou dignité

13/06/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "POLITUDE 2 "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

Superbe et talentueuse...

A l'écriture riche et précise.

Il est important de ne pas passer à côté!

Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

http://www.lejournaldepersonne.com/

Ou sur sa chaine Youtube:

http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U