Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/11/2016

SUR LES AILES DU RÊVE 7

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

SUR LES AILES DU RÊVE

7

 

Et puis surtout, ne soyons pas dupes du spectacle proposé.

Contentons-nous de noter combien les apparences sont de bien aguicheuses incarnations d'un possible auquel il est compliqué de trouver sens et raison d'être.

Il n'empêche, l'envers du décor n'est au final qu'un décor de plus, un marchepied pervers offert au spectacle de la société pour s'afficher en société du spectacle.

Rien de plus.

Mais c'est déjà beaucoup.

 

On le voit, les apparences sont des fenêtres à contempler avec la plus grande circonspection, avec une méfiance triste aussi tant elles ne s'ouvrent souvent que sur des ciels vides plombés d'insoutenables gris.

Elles sont là, oui.

Pour nous raconter parfois.

Pour parler de nous toujours.

(FIN)

 

P. MILIQUE

27/04/2016

CALAMITE DÉGRADANTE 1

au magma présent de l'écriture,

 

CALAMITE DÉGRADANTE

1



C'est un sinistre décor qui renforce l'oppressante et lugubre impression de bout du monde.

Cela date d'une époque révolue qui voulait que les mariages n'aient nul besoin d'amour.
De ce temps où les histoires, même les plus anciennes, les plus profondément ensevelies, finissaient toujours par refaire surface.

C'est une histoire de folie familiale, de destin écrit depuis toujours, de famille disloquée et de lâcheté collective.
Période fangeuse qui, aujourd'hui encore, hante l'esprit des plus anciens dans ce qu'elle remue de plus glauques et de plus dérangeants souvenirs.

Personne n'a jamais su oublier la violence des malheurs qui l'ont frappé.
De ce fait, lorsque la rumeur a pris naissance, nul ne s'éprouve suffisamment surpris pour entreprendre de la contester aussi peu soit-il.
D’ailleurs, contestable elle ne l'est pas.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

18/03/2016

MAIS COMMENT VIVRE? 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

MAIS COMMENT VIVRE?

4

 

Offrande d'un décor insolite d'où surgissent d'étonnants tempéraments.
Cela se sait: chaque phrase écrites implique d'infinies recherches.
Il faut évaluer, soupeser, choisir patiemment le bien-fondé et la place de chaque verbe, adjectif ou adverbe.
Rapport quasi physique, velléitaire et parfois brutal avec les mots.
Écrire comme d'autres boivent, en un corps à corps épuisant et rugueux.
C'est indissociable de l'écriture cette lutte à n'en plus finir.
C'est aussi le prix à payer pour accoster à ce territoire qui qui ne s'apprivoise qu'avec difficulté.

Dès lors le spleen, le vague à l'âme, l'ennui, l'accablement...
L'écrivain meurt au cours de la parturition du texte.
Il disparaît, n'ayant d'un coup plus rien à dire, asséché.
Luisance en attente.

Pourquoi vivre sans lire?
Pourquoi vivre sans écrire?

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

02/02/2014

AU PAYS DU BONHEUR 2

BULLE DE REVE.jpg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...



AU PAYS DU BONHEUR

2

 

Tu dois désormais planter un décor définitif et inattendu

Au cœur d’un univers qui ne ressemblera à aucun autre.

Ainsi resteras-tu disponible à la fière intuition du monde

Que tu habiteras autrement en répondant à ses sollicitations.

Tu exploreras tous les possibles nourris de folles sensations

Et donneras émotion charnelle aux instants intenses saisis

Dans l’universel contenu dans le rire originel d’un enfant.

La vie sera encore donc, parfois invitation à une fête joyeuse,

Euphorisante comme une bulle de rêve dans un ciel juvénile.

 

Il arrive ainsi que  le sublime se niche dans la grisaille quotidienne,

Mais le chemin emprunté mène inéluctablement au pays du bonheur.

Sache poursuivre le tien avec en compagnie de ton compagnon d’osmose.

Celui-là saura te faire vivre en amour à l’embrasé de ce pays-là, exclusif,

Où deux voix solitaires se reconnaissent d’emblée en un iconoclaste écho.

(FIN)

 

P. MILIQUE

12/01/2014

LED ZEPPELIN: "DAZED AND CONFUSE"


LED ZEPPELIN

"DAZED AND CONFUSE"


Parce qu'il y a trois jours (le 9 Janvier) Jimmy PAGE a eu 70 ans...
Pour que la jeunesse actuelle sache comment tout cela a commencé!

Sur le plateau de l'émission, LED ZEPPELIN entre et interprète "Dazed and confuse". Derrière, dans un trou du décor, Luis REGO observe, le groupe.

05 sept. 1969  05min 24s


 

  • Émission
  • Tous en scène
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Office national de radiodiffusion télévision française

08/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

07/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI ETAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI ETAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

06/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

03/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LE PAPA DE LA PETITE FILLE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LE PAPA DE LA PETITE FILLE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

01/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

31/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'AUDITRICE QUI ÉTAIT CONTRE L’ÉMISSION"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'AUDITRICE QUI ÉTAIT CONTRE L’ÉMISSION"

24/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'AVEUGLE QUI VOULAIT QU'ON PARLE D'AUTRE CHOSE"