Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/06/2016

OBSERVATEUR STUPÉFAIT 1

au magma présent de l'écriture,

 

OBSERVATEUR STUPÉFAIT

1

Je n'ai jamais été un technicien de la nature,
Il s'en faut même de beaucoup, il n'empêche
Qu'un long cheminement dans l'infinité du ciel
M'apaise bien au-delà d'un quelconque supposé.
De fait, on dirait l’intense ineffable d'une fable,
Un conte au fol intérêt, un ruban de rêve éveillé.

Dès lors, on ne peut être que durablement fasciné
Par le vif éclat et l'éminente force de son imagerie.
C'est une promenade intime qui murmure en secret.
Dans notre monde de bruits et de d'éparpillements,
Sourd une poésie envoûtante d'une splendeur rare.

Il y a la sublime fantasmagorie proposée par la nature,
Et tous ces paysages d'où surgissent des émotions fortes.
Il y a les nuances multiples diffractées par la luminosité,
Nobles d'étrangeté, semblent n'être là que pour le mystère.
Il y a ces lueurs polaires dilatées en arcs d'absolue pureté.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

08/07/2014

LA GÉOMÉTRIE DU TEMPS

au magma présent de l'écriture,

 

LA GÉOMÉTRIE DU TEMPS

 

C’est dans un monde riche et baroque

Souvent invisible pourtant au commun des mortels,

Qu’il voyage, transporté par les couleurs de l’enchantement,

Dans cette géométrie du temps qui fait miroir,

A l’ambiance festive, et fortement imprégnée

D’une envolée majestueuse, fantasque et lunatique.

 

La vérité de ses territoires éternels

Se dilue à l’histoire de l’immensité

Qui surgit au découvert qu’il faut décrypter.

 

Dans ces strates d’épaisseur insoupçonnées,

Le point de vue se diffracte et enrichit l’œil,

Et il se retrouve pour ces instants de féerie

Au près de cet univers où le rêve est roi,

Océans de destins exacerbés d’extraordinaire

Projetés au cœur en fusion d’un présent antérieur.

 

P. MILIQUE

09/06/2012

MOTS METEORITES

METEORE.jpeg

 

 

MOTS METEORITES

 

Donner à lire des mots déroutants, inconnus, jamais lus,

Des mots qui forcent le sens quand l'espace se diffracte....

 

C'est dans l'expression de thèmes d'une immense banalité,

Aptes à s'évader dans une ombre confortable et illusoire,

Que la page étale éructe sous l'assaut désordonné

Et tournoyant de mots-météorites répétés à l'envi.

 

Au cœur d'une brièveté qui, d'une force excessive

Anime l'éventuelle répétition jusqu'au malaise,

En attente dans ces prétentieux textes composés

De minuscules fragments accolés et frénétiques

Qui proposent le différent dans une réécriture

De ce qui pour l'heure épuise bien trop à lire.

 

P. MILIQUE

25/08/2011

JE M'ACCUSE 5

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse

De ne plus savoir rugir de stupéfaction

En constatant l'immobilité froide

De toutes ces existences qui s'entrecroisent

Dans l'inconfortable de cet univers glacé

Où la vérité se diffracte à l'infini.