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02/09/2017

UN JOUR LE GLAS...

au magma présent de l'écriture,

 

 

UN JOUR LE GLAS...

 

Les mots choisis rallient la problématique d'un temps

Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie

De cette heure dernière que tout un chacun redoute.

 

Cette problématique n'est pas vraiment inopportune

Puisque qu'on n'a jamais rien observé de plus radical

Que l'état de mort pour parapher la cessation de la vie.

 

C'est avec cet inéluctable-là qu'il nous faut nous heurter

En une lutte sans merci dénuée de toute espérance finale.

Alors, récalcitrant et besogneux, on entre en résistance...

 

Nul ne saura jamais empêcher le glas de retentir un jour!

Certes, nous n'arpentons pas encore le cœur de cet immédiat,

Force est de constater que tout fait écho à cette lourde menace

Envers laquelle il faudra fatalement nous confronter un jour.

 

Les mots choisis rallient la problématique d'un temps

Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie

De cette heure dernière que tout un chacun redoute.

Certains des mots choisis participent de cette genèse-là!

 

P. MILIQUE

19/06/2017

DES LENDEMAINS QUI DÉCHANTENT 10

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...



DES LENDEMAINS QUI DÉCHANTENT

10

 

Cela heurte avec violence certains sentiments déjà fragilisés par l'existence et il se retrouve confronté là à une terrible expérience humaine.

Peut-être la seule excepté, et ça n'est pas rien, la naissance et la mort que tout un chacun peut être conduit à partager un jour.
Il n'existe aucun garde-fou infranchissable contre cette inadmissible monstruosité.

De fait, nul existant en ce monde n'est jamais à l'abri de ces cruelles normes de vie.

Cette obsédante éventualité rend de telles exacerbations plus intolérables encore...

 

De ces déchirantes plaintes portées, il aimerait porter plainte.

Éructer avec force la rage qui l'étouffe.

Ainsi donc, il suffirait d'écraser les gens pour qu'ils demeurent écrasés?

Il n'y aurait de vie possible que pour les précieusement nantis d'une bonne santé cérébrale?

Pour eux, et seulement pour eux, vraiment?

Révoltant privilège!

(A SUIVRE...)

 

P.MILIQUE

22/11/2016

FIÈVRES PERNICIEUSES

au magma présent de l'écriture,

 

FIÈVRES PERNICIEUSES



Espace radicalement saturé d'ondes immobiles
Dans la stupeur croissante d'images brouillées,

Dans les ruines inévitables du désastre annoncé
Fermente le souffle fugitif de fièvres pernicieuses
Qui, dans l'inéluctable d'une dérive maussade,
Désignée à l'initial pour la détresse mercenaire,
Considère l'enveloppe subtile et perverse offrant,
Dans l'indifférence terrible née d'une excoriation,
L'absolue souveraineté arborée par la souffrance.

P. MILIQUE

06/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "LE ROUGE EST DE RETOUR"

 

LE ROUGE EST DE RETOUR
Portrait de Jean-Luc Mélenchon
Paroles et musique : la Parisienne Libérée


Certains apprennent leur histoire
Sur les bancs du lycée
Lui s’est trouvé sans crier gare
Enfant expatrié
Dans la dérive des continents
De la Méditerranée
Tout ce qui comptait pour lui avant
S’est soudain détaché

Il a compris à ses dépens
Que ce qui dépend de soi
Est profondément différent
De ce qui n’en dépend pas
Depuis sans relâche il agit
Sur ce qui dépend de lui
Si chacun en faisait autant
On serait tous présidents !

Il organise mai 68
A seize ans dans le Jura
Réveille l’animal politique
Et découvre sa voix
Les gens commencent à l’écouter
Il emporte le bal
En embrasant les assemblées
D’un verbe radical

Devenu leader étudiant
Prosélyte efficace
Il est Trotskyste quelque temps
Jusqu’à ce qu’un ange passe
Rassembler les forces à bâbord
Réaliser l’union
Tapez si vous êtes d’accord
Le 3615 TONTON

C’est quelque chose d’être sénateur
Il s’impressionne lui-même
Devenir ministre est un honneur
Pour le gosse des HLM
Toujours à gauche, oui mais de quoi ?
Il en perd son latin
Quand le coup de tonnerre s’abat
Il marche son chemin

Il a compris à ses dépens
Que ce qui dépend de soi
Est profondément différent
De ce qui n’en dépend pas
Depuis sans relâche il agit
Sur ce qui dépend de lui
Si chacun en faisait autant
On serait tous présidents !

Mais qu’est-ce que c’est l’opposition
Si on ne peut plus dire non ?
Comment un « NON » une fois traduit
Peut-il devenir un « OUI »?
A quoi servent les bancs publics
Si on ne parle plus d’amour ?
Une révolution chromatique :
Le rouge est de retour
(bis)

08/05/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 19.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

19.02.2013