02/09/2017
UN JOUR LE GLAS...
UN JOUR LE GLAS...
Les mots choisis rallient la problématique d'un temps
Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie
De cette heure dernière que tout un chacun redoute.
Cette problématique n'est pas vraiment inopportune
Puisque qu'on n'a jamais rien observé de plus radical
Que l'état de mort pour parapher la cessation de la vie.
C'est avec cet inéluctable-là qu'il nous faut nous heurter
En une lutte sans merci dénuée de toute espérance finale.
Alors, récalcitrant et besogneux, on entre en résistance...
Nul ne saura jamais empêcher le glas de retentir un jour!
Certes, nous n'arpentons pas encore le cœur de cet immédiat,
Force est de constater que tout fait écho à cette lourde menace
Envers laquelle il faudra fatalement nous confronter un jour.
Les mots choisis rallient la problématique d'un temps
Qui coule et nous raccroche à l'incroyable périphérie
De cette heure dernière que tout un chacun redoute.
Certains des mots choisis participent de cette genèse-là!
P. MILIQUE
09:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, glas, choisir, railler, problématique, coulure, raccrocher, incroyable, périphérie, dernière heure, redouter, inopportune, observation, radicaliser, morfler, parapher, cessation, inéluctable, heurter, lutte sans mervi, dénuer, récalcitrant, besogneux, entrer en résistance, empêcher, sonner le glas
24/02/2014
MARIANNE MOORE: "AU PROGRÈS MILITAIRE"
MARIANNE MOORE
"AU PROGRÈS MILITAIRE"
LECTURE PAR
JENNIFER DECKER
RÉFÉRENCES:
MARIANNE MOORE, POÉSIE COMPLÈTE, LICORNES ET SABLIERS
édité et traduit par
Thierry GILLYBOEUF
© éditions José CORTI, 2004.
Marianne Moore (1887-1972) professeur puis bibliothécaire, contemporaine et amie de William Carlos William et Wallace Stevens, elle participa au prestigieux journal The Dial dont elle assura même la responsabilité éditoriale entre 1925 et 1929. Elle a obtenu pour son œuvre les prix les plus importants (National Book Award, Pulitzer Prize, etc).
Prise de son Amandine Grévoz
Réalisation Gilles Davidas
01:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, marianne moore, passé, présent, suivisme, bouteille, égyptien, verre soufflé, formule, poisson, lecture, jennifer decker, référenciel, poèsie, complet, licorne, sablier, thierry gillyboeuf, éditorial, josé corti, professeur, bibliothéquaire, contemporain, entraîner, exploration, progrès, militaire, moudre, polir, buste, prosternation, transmettre, tumulte, aviver, prix, rouge, michaël furnon, mickey 3d, sonner le glas, vespéral
11/01/2014
LA LÉGENDE DE SAINT-JULIEN L'HOSPITALIER (GUSTAVE FLAUBERT) EXTRAIT 4
00:13 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, gustave flaubert, légende, légendaire, saint-julien l'hospitalier, sonner les cloches, vitrail, église, henri tachan, sonner le glas, testamentaire, ascenseur, escalader, bouche, poitrine, lépreux, étreinte, s'allonger, narine, rose, flots, abondance, délice, surhumain, inondation, tête, pied, toiture, firmament, se déployer, calfeutrer, romance, larme de pluie, ennui, amour, violon, satin, velours, feutrine, meute, seigneur, sensibiliser, coordination, diogène, dégourdir, hameçon, chausse-trape, aboyer, cailles, caverne
10/01/2014
LA LÉGENDE DE SAINT-JULIEN L'HOSPITALIER (GUSTAVE FLAUBERT) EXTRAIT 3
00:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, gustave flaubert, légende, légendaire, saint-julien l'hospitalier, sonner les cloches, vitrail, église, henri tachan, sonner le glas, testamentaire, ascenseur, escalader, bouche, poitrine, lépreux, étreinte, s'allonger, narine, rose, flots, abondance, délice, surhumain, inondation, tête, pied, toiture, firmament, se déployer, calfeutrer, romance, larme de pluie, ennui, amour, violon, satin, velours, feutrine, meute, seigneur, sensibiliser, coordination, diogène, dégourdir, hameçon, chausse-trape, aboyer, cailles, caverne
08/01/2014
LA LÉGENDE DE SAINT-JULIEN L'HOSPITALIER (GUSTAVE FLAUBERT) EXTRAIT 2
18:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, gustave flaubert, légende, légendaire, saint-julien l'hospitalier, sonner les cloches, vitrail, église, henri tachan, sonner le glas, testamentaire, ascenseur, escalader, bouche, poitrine, lépreux, étreinte, s'allonger, narine, rose, flots, abondance, délice, surhumain, inondation, tête, pied, toiture, firmament, se déployer, calfeutrer, romance, larme de pluie, ennui, amour, violon, satin, velours, feutrine, meute, seigneur, sensibiliser, coordination, diogène, dégourdir, hameçon, chausse-trape, aboyer, cailles, caverne
07/01/2014
LA LÉGENDE DE SAINT-JULIEN L'HOSPITALIER (GUSTAVE FLAUBERT) EXTRAIT 1
17:55 Publié dans GOUTTES d'ÂME, POESIES DITES EN IMAGES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : au magma présent de l'écriture, gustave flaubert, légende, légendaire, saint-julien l'hospitalier, sonner les cloches, vitrail, église, henri tachan, sonner le glas, testamentaire, ascenseur, escalader, bouche, poitrine, lépreux, étreinte, s'allonger, narine, rose, flots, abondance, délice, surhumain, inondation, tête, pied, toiture, firmament, se déployer, calfeutrer, romance, larme de pluie, ennui, amour, violon, satin, velours, feutrine
15/08/2013
LA MORT PORTE UN JOLI NOM... ET C'EST DEGUEULASSE!
LA MORT PORTE UN JOLI NOM... ET C'EST DEGUEULASSE!
Ce soir je fais la gueule à la vie:
Elle se trompe trop souvent de mort.
Comment écrire le chagrin des choses qui se fendent?
L'ombre noire de son absence éteint mon soleil
Et traverse de nuit mon cerveau saccagé.
Il fait vide dans ce réel aux instant de quartz
Et le froid plante ses banderilles
En un ciel exténué qui dévore le cœur.
L'âme du poète en a fini de son habit de peau!
Depuis le temps qu'elle vacillait à flanc d'abime
En des chants solitaires qui excédaient le cri,
Et qu'elle crachait ses mots en constellations
Violées d’inopportuns, de vomissures et de bruits,
La voilà qui rejoint, sereine, les atomes du vide.
Allain, tu as bien fait, tu le devais...
Pas de jour férié pour la camarde, tu l'as voulu.
L'espoir faisait le mur sonnant le glas du rêve.
Écoute comme pour toi même les oiseaux se taisent,
Voit comme les arbres se courbent pour te saluer!
Il est temps pour ma plume d'interrompre ses larmes
Pour de ta présence allumer l'arc-en-ciel.
On valsera pour toi mon vieux...
P. MILIQUE
01:45 Publié dans Allain LEPREST, GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allain leprest, mort, suicide, dégueulasse, faire la gueule vie, écrire, chagrin, ombre noire, absence, éteindre le soleil, traverser, nuit, cerveau, saccagé, vide, instant, quartz, froid, planter des banderilles, ciel exténué, dévorer le coeur, l'âme du poète, vaciller, a flanc d'abîme, chant solitaire, excéder le cri, cracher ses mots, vomissure, bruit, atomes de vide, jour férié, camarde, espoir, faire le mur, sonner le glas, les oiseaux se taisent arbres, courber, saluer, allumer l'arc-en-cielvalser
23/04/2012
LA MORT PORTE UN JOLI NOM, ET C'EST DEGUEULASSE!
(En hommage à Allain LEPREST)
LA MORT PORTE UN JOLI NOM, ET C'EST DEGUEULASSE!
Ce soir je fais la gueule à la vie:
Elle se trompe trop souvent de mort.
Comment écrire le chagrin des choses qui se fendent?
L'ombre noire de son absence éteint mon soleil
Et traverse de nuit mon cerveau saccagé.
Il fait vide dans ce réel aux instant de quartz
Et le froid plante ses banderilles
En un ciel exténué qui dévore le cœur.
L'âme du poète en a fini de son habit de peau!
Depuis le temps qu'elle vacillait à flanc d'abime
En des chants solitaires qui excédaient le cri,
Et qu'elle crachait ses mots en constellations
Violées d’inopportuns, de vomissures et de bruits,
La voilà qui rejoint, sereine, les atomes du vide.
Allain, tu as bien fait, tu le devais...
Pas de jour férié pour la camarde, tu l'as voulu.
L'espoir faisait le mur sonnant le glas du rêve.
Écoute comme pour toi même les oiseaux se taisent,
Les arbres se courbent pour te saluer
Et ma plume s'interrompt pour allumer l'arc-en-ciel.
On valsera pour toi mon vieux...
P. MILIQUE
05:35 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la mort, porter un joli nom, c'est dégueulasse, faire la gueule à la vie, se tromper souvent, écrire le chagrin, choses fendre le coeur, ombre noire, absence, éteindre mon soleil, traverser la nuit, cerveau saccagé, vider de réel, instant, quartz, froid, planter des banderilles, ciel, exténuer, dévorer le coeur, l'âme du poète, en finir, habit de peau, depuis le temps, vaciller, a flanc d'abîme, chant solitaire, excéder, le cri, cracher ses mots, constellation, violer, inopportun, vomissure, bruit, rejoindre, sérénité, atomes du vide, espoir, faire le mur, sonner le glas, rêve, écouter, les oiseaux, se taire, arbres, se courber pour saluer, plume, s'interrompre