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21/08/2012

UN DÉSIR DE RÉVOLTE

PAYSAGE MENACANT.jpg

 

UN DÉSIR DE RÉVOLTE

 

 

Esseulé dans un milieu sombre et inhospitalier,

Toile de fond menaçante et triste à l'immensité aride

Qui marque d'un noir convaincu les eaux et les êtres...

 

Comment supporter la solitude de ces espaces glacés

Et noyer la douleur dans l'infini démesuré du microcosme?

Comment faire pour que les eaux rugissantes de la colère

Ne se laissent volontairement submerger par le désir de révolte?

 

Économie de mots, de gestes, de paroles et de sentiments

Dans une odyssée dynamique et intime inscrite

Au tréfonds expérimental qui ne peut qu'endurcir.

 

Au-dehors d'ici, c'est la nuit sombre et inquiétante,

Monde désolé de brumes et de pluies perçantes

Qui ne parvient plus à ignorer son secret brûlant.

 

P. MILIQUE

JEUX OLYMPIQUES ET POLITIQUE: "JO 2008: Liesse populaire à Pékin et manif opposition tibétaine"

 

JO 2008

Liesse populaire à Pékin et manifestation de l'opposition tibétaine...

12 14. Edition nationale - 14/07/2001 - 01min59s


Reportage : La ville de Pékin a été choisie hier par le Comité international olympique (CIO) pour accueillir les Jeux de 2008. La capitale chinoise, qui partait largement favorite, a été élue dès le 2e tour de scrutin en obtenant avec 56 voix la majorité absolue des 105 votants. Des millions de Chinois sont descendus dans les rues de la capitale pour fêter l'évènement. Parallèlement, des groupes pro-tibétains et des opposants chinois exilés à l'étranger après l'écrasement du Printemps de Pékin en 1989 dénoncent les Droits de l'Homme bafoués dans cette dictature. Aujourd'hui, la justice chinoise vient de condamner un universitaire américain pour espionnage. Commentaire sur images factuelles et interview de Cai Chong GUO (opposant au régime en exil).


Générique

Nusbaum, Régis ; Luiset, Nicolas

Zoé GAUDEY: "LIBERTE" (Paul ELUARD)

Zoé Gaudey

"LIBERTE"

(Paul ELUARD)

Guitare acoustique et chant – Mise en musique du poème de Paul Eluard : « Liberté »

20/08/2012

LE JOURNAL DE PERSONNE: "PROMETEE NON ENCHAÎNEE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté!

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!

  http://www.lejournaldepersonne.com/

  Ou sur sa chaine Youtube:

  http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Je vous prie
De cesser de me prendre à partie
Sous prétexte que je ne prends pas parti
Non… je ne suis pas neutre, ni indifférente à vos partis pris
Mais j’ai choisi
Pour ne pas rajouter du conflit au conflit
De donner la parole à chaque partie
De me mettre dans la peau de l’ami, de l’ennemi
Du plus enviable au plus exécrable
Pour lui faire dire ce qu’il aurait dit
Afin que chacun se fasse une idée
Sans préjuger
Ni condamner sans fin
Je suis… Personne
Je ne suis pas mes personnages
Je ne suis ni rate, ni scélérate
Je suis l’avocate
Du diable et du bon dieu
Excusez du peu
Et n’y voyez surtout pas une forme d’arrogance
Si le jeu, le théâtre, la danse avec les mots
Ont toujours eu ma préférence
Je n’ai donc ni parti ni nation
Ni religion mais tout au plus
Quelques masques pour vous représenter
Les visages du monde
Les beaux et surtout les laids…
C’est le principe même de l’info scénario
Qui vous raconte des histoires
Pour vous montrer
Que tout n’est pas blanc !
Que tout n’est pas noir !
Attention ! MES PERSONNAGES NE SONT PAS DES CLIENTS…
mais des patients
Et mon devoir de Prométhée mal enchaîné
est d’en prendre le plus grand soin
Qu’ils soient fachos ou paranos
Ils ont leur place dans mon info scénario.

JEUX OLYMPIQUES ET POLITIQUE: "L'URSS ET LES JO DE SEOUL"

 

L'URSS et JO de SEOUL

JA2 20H - 11/01/1988 - 01min07s

 

 

L'URSS a donné son accord pour participer aux Jeux Olympiques de Séoul en 1988. - Images du président du Comité National Olympique soviétique faisant déclaration lors de la réunion plénière à Moscou. - Avec incrusts, les athlètes soviétiques qui n'avaient pu participer aux JO de LOS ANGELES en 1984. (Images croitées de rouge). - Images de l'ouverture des JO e LOS ANGELES. PL Stade olympique. - Ralenti images du perchiste Sergueï BUBKA sautant. - Intérieur de la salle du CNO soviétique, participants votant à main levée à l'unanimité pour la participation de l'URSS à Séoul.

 

Production

Televidenie Sovietskovo Sojuza , Antenne 2


Générique

Mamère, Jean

CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE

vieillesse.jpg

 

 

CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE

 

 

Ce n'est pas encore l'heure où le soir tombe,

C'est au contraire celle qui augmente le vécu.

 

Il arrive que l'envie s'éprouve prégnante

A se perdre ainsi dans des parenthèses éreintées.

Les jours s'entassent dans l'indifférence générale,

Tout semble vouloir demeurer mais tout passe toujours

Tandis que la violence démesurée de la réalité

Accable chaque jour un peu plus le pouls du monde.

 

Par bonheur, il y a dans l'âme des lucioles qui veillent

Et suggèrent d'user de toutes les ruses du vivant

Pour contrecarrer ces ans insidieux qui volent le futur.

Savoir que l'éternité est sans fin puisque le terme nous échappe

Est de fait une formidable exhortation à vivre l'exceptionnel !

 

Alors, avant que la morne habitude ne dissolve tout,

Et parce qu'il y a toujours de la place dans le cœur

Pour quelque chose d'immensément plus grand,

Il convient de s'intégrer à la braise du monde

Et de se projeter dans cette incroyable sarabande

Qui fait danser l'âme en attente les pas exaltés de la vie.

 

Cette exhortation aux saveurs enfantines a de quoi surprendre,

Mais l'enfance n'est pas une maladie dont on doit guérir vraiment !

Car c'est une certitude, ce n'est pas l'heure où le soir tombe

Mais bel et bien celle qui se missionne à augmenter le vécu.
Le merveilleux est toujours présent, tapi dans le banal,

Et me voilà devenu enfin assez fou pour atteindre la sagesse.

 

Entends, le vent caresse les arbres dans un chuchotis de feuilles,

Vois, et goûte la lumière qui s'épanouit en couleurs accumulées.

Peu à peu, une poussière d'or se blottit dans les bras du soleil,

Une nuée d'oiseaux taquins offre une chorale au sourire des choses

Tandis qu'une fanfare de cigales stridulantes exhorte à vivre,

Partout alentour, l'innocente dentelle des fleurs prend forme

Dans l'éclaté ivre et pétulant de leurs pétales arrogants

Exhalant un souffle lourd d'un parfum venu d'étoiles invisibles...

 

Qui dès lors oserait prétendre en toute conscience

Que la vie ne vaut pas la peine d'être vécu encore?

 

Il n'y a pas de vie sans vie dans la main épaisse du temps...

Elle exige juste de dilater sa part d'espace et d'infini

Et c'est l'aimer que de la conjuguer au présent jusqu'à toujours.

 

P. MILIQUE

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA GUÊPE"

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

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Je cherche les ingrédients pour tourner un western
Et je me retrouve avec tous mes sentiments de valeur en berne
Il en faut du sang… beaucoup de sang… pas de sentiments.
Dans un western, on meurt, on ne se fait pas du mouron
On saigne… pour que les plus faibles se couchent et les plus forts règnent.
La loi du plus fort… celui que tous les tireurs craignent
Les bons, les brutes et les truands… ce n’est pas la bonté qui est récompensée ou rarement
Presque jamais… mais la ruse… l’adresse… et la rapidité.
Les bons sont les plus malins… plus proches du mal que du bien
Ils font mal avec leur bien. Ils règlent les comptes sans compter, d’où leur prétendue majesté.
Une volonté de puissance convertible en puissance de la volonté. Ils en veulent plus que les autres.
Ils réussissent parce qu’ils excellent et ils excellent parce qu’ils le veulent et ils le veulent parce qu’ils en veulent un peu plus que tous les autres.
Ce sont des héros, des demi-dieux, qui préfèrent mourir que de vous concéder le moindre soupir.
Ils tiennent plus à la victoire qu’à la vie… parce qu’ils ne conçoivent pas la vie autrement qu’en l’emportant sur les autres et sur eux-mêmes.
Cette victoire sur soi-même… rend leur combat un peu plus soutenable…
Victoire sur ceux qui restent au seuil d’eux-mêmes…les ignobles ou les méchants… qui sont gouvernés par l’instinct d’auto-conservation. Qui ne vivent pas mais espèrent vivre avec la peur de mourir. Ils ne gagnent pas, parce qu’ils ne jouent pas. Ils déjouent et faussent le jeu, parce que leurs craintes valent autant que leurs espérances: c’est à dire … rien.
À part mourir, qu’est-ce que je risque, se dit le héros de notre fiction à deux balles.
Qu’est-ce que je peux faire pour assurer ma subsistance, se dit l’anti-héros en claquant des dents.
Le hic ou le chic, c’est que dans tout bon western, il y a un ingrédient christique : “un seul atteint la vérité”… et ça sent déjà l’Amérique… l’esprit de conquête et la conquête de toute la matière. Être le plus fort, le plus puissant, le plus performant.
Le tireur d’élite celui qui ne rate presque jamais sa cible, qui cherche toujours à vaincre mais qui finira un jour par être vaincu.
Parce qu’un autre, l’absent de tous les bouquets aurait réussi à lui monter dessus.
Hasard ou coïncidence… ni l’un, ni l’autre… c’est la roue du temps qui tourne mais pas toujours dans le sens des aiguilles… tic… tac… boum!
Et ça tourne et rien ne peut l’arrêter, à part cette balle qui vous était destinée… par quelqu’un qui a osé viser et tirer le premier.
Mouvement vers le rien… rien que du mouvement…
Tout coule… et c’est pas cool.
C’est l’enfer… sans la moindre petite fenêtre sur le paradis. On a intérêt à l’emporter pour ne pas passer à côté, de la vérité, du chemin, de la vie!
C’est plutôt terne comme western… mais c’est le seul qu’on ira voir, qu’on paye pour voir… celui qui oppose ta volonté à la mienne. Et que le meilleur gagne… la volonté… la plus forte, la plus cruelle, la plus profonde. Rien de latin… tout est américain… tout est humain… anti-humains
Un petit pas pour l’humanité… un grand pas pour l’homme… pour l’individu qui s’expose et t’explose en passant par derrière ou en prenant les devants.
D’où les rimes les plus funestes : individualisme, réalisme, matérialisme, impérialisme, cynisme.
Alors qu’est-ce qu’on fait… on tire ou on se fait tirer ?
On se fait la guerre ou on concède la paix ?
Malheureusement aucune concession n’a jamais garantit la paix. Pétition de principe : il faut faire la guerre pour ne pas faire la guerre. Pour être avantagé pour la faire, il faut vouloir la faire à tout prix!
Guerre de tous contre tous. Pour la puissance… pour davantage de puissance. C’est le premier qui tire, c’est le deuxième qui meurt. Que de la force et point de droit.
Qui tue en Syrie ? Les forces loyalistes ou les forces rebelles ? Le pouvoir ou l’opposition ?
Les anciens ou les nouveaux ? Guerre ! Guerre ! Guerre ! Quel bras doit-on armer ?
Quel bras désarmer? Parce qu’on croit qu’on n’a pas le droit de vivre et laisser mourir.
Qui le croit ? Qui le croirait? Ce ne sont que nos intérêts que l’on veut opposer à d’autres intérêts. Pas un brin d’humanité…. mais nos sacrés saints intérêts qui distinguent le bourreau de la victime. Ingérence qui rappelle les sept mercenaires qui ne se préoccupent que de leurs destins particuliers. Point de justice.
Mais du butin, du gain, de la fin qui justifie tous les moyens : la puissance… de l’argent. L’argent pour la puissance.
L’Amérique et ses alliés unis ont tué Saddam, Gadhafi et s’apprêtent avec le soldat Fabius à assassiner Al-Assad… pour que les plus puissants restent toujours les maîtres de la région…
Halte aux arguties et aux alibis : on tue pour accroitre sa puissance et non pour venir à bout de la nuisance ! Et dire que la France semble ignorer que nul ne peut espérer déguster du bon miel à partir des sécrétions d’une guêpe. Cherchez la guêpe!

19/08/2012

MAGNIFICENCE FERTILE

MAGNIFICENCE.jpeg

 

 

MAGNIFICENCE FERTILE

 

Tant d'amertume, de regrets et de ressentiments

L'ont projeté violemment dans le certain désenchanté

De son non-appartenance avérée au monde...

A cela, il doit inclure ses propres hermétismes

Qui, dans la fragilité têtue de souvenirs incertains,

Rejettent la secrète mécanique de l'existence.

 

Le choc émotionnel en état d'exacerbation

Ne provoque même pas de sentiment de peur

Face à l'absolu abandon qu'est l'impulsion du partir

Lorsque son sens aigu de l'anéanti justifié

N'est plus qu'une pleutre façon de se quitter

Pour aller, inquiet, au-devant son ombre,

Appelé par la manie de la mort inquiète

Qui émane, hagarde, de l'instant suspendu.

 

Amené à épeler les heures qui endiguent sa vision de l'universel,

Il cherche confusément à faire s'épouser l'écho et l'épars présents

Dans le chamboulement durable inhérent à l'ordre des choses.

 

Sur fond de vie enflammée, son centre de mémoire vive

Lui remémore cette incandescence essentielle

Qu'est la trace encore chaude d'un chant d'immanences

Qui, dans la beauté tremblante de l'après-coup,

Agite la richesse de la multitude de tous ces petits riens

Indispensables de communion avec l'exacte respiration

De la magnificence fertile et violente de ineffable Vie.

 

P. MILIQUE

LES BODIN'S: "Télé Bodin's: la fin de la chaîne !"

 

LES BODIN'S

"Télé Bodin's: la fin de la chaîne !"

 

Les Bodin's se lancent dans les médias avec le lancement d'une chaîne très très locale avec leurs premiers ennuis techniques du direct...

Découvrez l'univers déjanté des Bodin's sur http://wizdeo.com/s/les_bodins

18/08/2012

JEUX OLYMPIQUES ET POLITIQUE: "Moscou: sport et politique"

JEUX OLYMPIQUES ET POLITIQUE

"Moscou: sport et politique"

IT1 20H - 16/02/1980 - 02min45s

 

Jeux Olympiques de Moscou, 1980 :Reportage montrant comment en URSS le sport est lié étroitement a la politique. [panoramique] grand défilé de sportifs portant des drapeaux rouges sur la place rouge ; tribune officielle avec BREJNEV ; G. MERETIK présente un article de la revue "octobre" soulignant l'aide que les sportifs peuvent apporter à la détente ; gymnaste russe aux barres asymétriques. Générique de la TV soviétique sur les JO affiches des JO maquette du stade olympique.

 

Production

Télévision Française 1


Générique

Meretik, Gabriel

LE JOURNAL DE PERSONNE: "AU NORD... C'ETAIT LE CORAN"

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 Superbe et talentueuse...

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Je ne suis pas peu fière
Nous étions dealers… nous voici leaders
Ardents révolutionnaires
D’abord, peu nombreux puis de plus en plus nombreux
Nous n’étions armés que de nos rancœurs
Nous voici tous en chœur entrain de scander :
Le peuple désire la chute du régime
Parce que le peuple appartient à celui qui acclame le peuple et non à celui qui s’en réclame
À nos autres minorités, assoiffées de reconnaissance et de dignité
Immigrés, exilés, étrangers de tout le pays nous nous sommes unis.
Pour précipiter le régime dans un abîme sans fond
Le pouvoir étant aux abois, avec trop de dettes de surcroit

Aux armes, étrangers citoyens
La France sans face, s’apprête à marcher sur la France d’en face
Ou la France appartient à ceux qui veulent y vivre et en mourir.
Quelques exclus dans la rue
Et puis ce fut la recrudescence
Même ceux qui n’y croyaient pas … se sont mis à y croire
L’un d’entre nous s’est immolé par le feu
Un autre a mis le feu un peu partout
Au nord… c’était le CORAN !
Amiens…. du Nord d’AMIENS… au nom de tous les miens
On a commencé par créer des liens
Par tisser des réseaux, pas nets sur internet
À forger des contrats avec tous les fils de chiens
Que cette terre a longtemps ignoré
Paris- Lyon- Marseille… et tous leurs voyous ameutés
Et toutes les banlieues furent embarquées!
Ni la police, ni l’armée ni aucune autorité
Ne put ramener le calme dans les cités
Parmi nous, les plus engagés
Voulaient dégager ceux qui voulaient nous dégager…
Les céfrancs à l’assaut des français
Ça faisait longtemps que ça leur pendait au nez
À toutes ces âmes bien nées
De voir les exclus de l’histoire, revenir dans l’histoire
Pour la défaire… ou la refaire… moins pâle et plus noire
Comprenant l’arabe autant que la langue de Rabelais
Nous avons bénéficié il est vrai du double concours de la chine et de la Russie
Les premiers à nous avoir identifiés comme étant un peuple asservi
Un peuple écrasé par les abus et les obus des nantis
Et nos poches vides furent remplies en devenant des poches de résistance
Et notre cause inexistante devint la cause la plus vivante
Nous ne sommes qu’à quelques coudées… olé! Olé! Olé!
Pour remonter les Champs Élysées en chantant :
” Et ils sont où ? Et ils sont où ? Les petits français ?

ÉPILOGUE
Pas la peine de tirer cette gueule
C’est une fiction pour illustrer
Ce qui s’est passé hier en Libye
Et aujourd’hui en Syrie!

RITOURNELLE FAMILIERE

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RITOURNELLE FAMILIERE

 

 

 

La séduction se véhicule d'abord par ces mots

 

Qui débarrassent de craintes émotionnelles

 

Les observateurs lucides, balayant leurs humeurs noires

 

Qui s'étonnent du simple de ce qui est

 

Et recherchent à l'envi ce qui devrait être

 

Tout en dissipant les inévitables malentendus

 

Ou bien en contournant toutes les idées reçues.

 

 

 

La séduction passe également par ces autres mots

 

Qui élaborent un monde meilleur promis au riche avenir,

 

Un monde d'harmonie où les contraires seraient réconciliés.

 

 

 

Pur délice jubilatoire et naïve d'une ritournelle familière

 

Nourrie de pensées généreuses et d'actes revendiqués

 

Qui, atteignant à une splendeur épurée, parfaite et juste,

 

Permet d'apprécier la soudaine douceur enjôleuse de la vie.

 

 

 

P. MILIQUE