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04/08/2016

L’IMPRÉVISIBLE

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L’IMPRÉVISIBLE


A chacun son jardin dans la pluralité des mondes.

Aux rêves les plus fous animés d’ombres légères,
Il fut initialement bouleversé par l’expérience fondamentale
D’une fascination au ravissement séducteur.

Dans la légèreté parfumée de ce matin de printemps,
Le fruit précieux d’un hasard purifié de toutes scories
Le mis en présence d ’une femme de chair lumineuse de douceur
Et de sensualité délicieusement jubilatoire,
Réfractaire aux excès, mais pas aux plaisirs.

Dans cette sorte d’imprévisible mai de volupté,
Son cœur se mit à cogner comme un marteau sur l’enclume
Indestructible d’un amour simple et allègre.

Et de bonheur, quelques larmes coulèrent sur ses joues…

P. MILIQUE

19/12/2015

A FLEUR DE CŒUR

au magma présent de l'écriture,

 

A FLEUR DE CŒUR

L'éphémère saison des iris bleus est désormais passée.
Mais il est une chose qui saura résister jusqu'à toujours,
Au renouveau régulier des saisons, c'est mon amour pour toi.

Cet amour possède, je le sais, une force incommensurable
Dans la luminescence d'un soleil qui bouleverse tout.
J'ai conscience de cela. Conscience que mon ciel a changé.
Depuis notre rencontre, j'ai la sensibilité à fleur de cœur.
Je souris à chacun de ses regards et je me tais pour l'écouter.
Je me tiens entre rires et larmes face à toute cette beauté réunie,
Face aux rayons dardés de ce soleil fou irradiant tout d'amour.
Ce soleil inespéré qu'elle me consacre avec tant de générosité.
Jamais les mots ne me sont parus aussi inaptes à dire l'évidence:
Femme chérie, tu embrases mon amour au feu de ton intensité.

P. MILIQUE

12/12/2013

LE MIKE ET L'ENCLUME (3): ROHFF, KAARIS, EMINEM, STROMAE & CIE « TU BOUFFES C'QUE J'TE PRÉPARE »

 

LE MIKE ET L'ENCLUME

(3)
ROHFF, KAARIS, EMINEM, STROMAE & CIE

(25’16’’)
« TU BOUFFES C'QUE J'TE PRÉPARE »


De bons amateurs de rap débattent et vannent dans une émission sans promo et sans sucre. Au menu du troisième round : le nouvel album de Rohff - La révélation Kaaris - Le retour d'Eminem - Le succès de Stromae - Les brèves "lourd, balourd ?" avec Clara Morgane, Jean Gab'1, Wu-Tang et Gims. Éloge inspiré des cultures urbaines par les chroniqueurs Mike Pesetas, Moe de Diakité, JR, Will et Labrax dans un débat animé tant bien que mal par Jérôme Larcin.


Enregistrements : 21 octobre 13
Voix : Will, Labrax, Mike, JR, Moe de Diakité, Jérôme Larcin
Réalisation : Arnaud Forest

27/11/2013

L’IMPRÉVISIBLE

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L’IMPRÉVISIBLE


A chacun son jardin dans la pluralité des mondes.

Aux rêves les plus fous animés d’ombres légères,
Il fut initialement bouleversé par l’expérience fondamentale
D’une fascination au ravissement séducteur.

Dans la légèreté parfumée de ce matin de printemps,
Le fruit précieux d’un hasard purifié de toutes scories
Le mis en présence d ’une femme de chair lumineuse de douceur
Et de sensualité délicieusement jubilatoire,
Réfractaire aux excès, mais pas aux plaisirs.

Dans cette sorte d’imprévisible mal de volupté,
Son cœur se mit à cogner comme un marteau sur l’enclume
Indestructible d’un amour simple et allègre.

Et de bonheur, quelques larmes coulèrent sur ses joues…



P. MILIQUE

25/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "FRANCE -- AMBULANCE"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"FRANCE -- AMBULANCE"

 

Et j’ai assis la France sur mes genoux, et je l’ai trouvé névrosée et je l’ai psychanalysée…
Qu’est-ce que vous croyez, vous qui ne croyez pas, une âme collective peut aussi être sondée, interrogée, soignée.
La France souffre depuis longtemps de je ne sais quoi et de presque rien, mais depuis quelque temps, plus rien ne va… c’est la paralysie totale…
Elle a, comme on dit, besoin d’une bonne cure de désintoxication, d’une analyse en profondeur des raisons de son désarroi, pour que son déclin ne soit pas confirmé par un triple « C » attribué aux âmes chaotiques.

- France, je vous prie de vous asseoir sur ce divin divan, plutôt que de vous mettre à genoux… oui… je sais … que vous ne tenez plus debout, mais ce n’est pas une raison de me signifier que vous êtes plus bas que terre… l’amertume ne justifie pas l’enclume.

- France, je vous écoute… j’entends vos souffrances, je comprends vos doléances mais en psychologie, on ne peut pas attribuer la faute à pas de chance. On ne peut pas se décharger de ses responsabilités en invoquant « la conjoncture » ou le rapport des forces, on y est toujours pour quelque chose, rien qu’en s’y rapportant.

- France, France ne me dites surtout pas que ce sont vos deux derniers amants qui vous ont mis dans cet état ? Je ne vous suivrai pas non plus sur cette pente que toutes les mauvaises fois arpentent. Et puis vos amants, vous les avez choisi, élu, porté aux nues. Vous ne pouvez donc vous en prendre qu’à vous-mêmes. Ce qui est navrant et névrotique en même temps, ce n’est pas tant de se faire saigner à blanc de temps en temps mais de l’être tout le temps et par les mêmes larrons. Cette automutilation à répétition cache je l’avoue un déséquilibre réel. Je dirai même un étrange dérèglement!

- France, vous êtes bien malade et votre maladie est paradoxale : là où toute âme bien née et qui n’a jamais lu Michel Onfray, s’emploie à tuer le père, à se débarrasser de toute tutelle, vous vous efforcez de restituer le père, de le ressusciter même, il était mort sous de Gaulle et vous l’avez ramené sur terre… en vous accrochant aux lacets des chaussures américaines… vous les suivez au pas et vous aplanissez leur voie.
USA… USA: c’est ça votre surmoi?
Le concept en basket et un petit Lemon-incest sous la couette avec votre père outre Atlantique. Vos enfants seront simples et sans tête…

- France, inutile de me fredonner la chanson du mal aimé, vous n’êtes pas à plaindre… vous ne faîtes rien d’autre que feindre « le désamour ». Vous ne vous aimez pas. Et ça vous console de le projeter sur les vôtres et sur les autres. Comme quoi, il n’y a pas plus sadique qu’un masochiste qui peut aller jusqu’à faire faire aux autres un mal qu’ils n’auraient jamais fait par eux-mêmes : la Libye, le Mali, la Syrie ne sont que des coups déportés, des douleurs rapportées dont vous voulez devenir la seule héritière.
Jouir et se réjouir d’un mal provoqué : c’est le comble de la perversion.

On le sait depuis Baudelaire, les plus beaux orgasmes, ce sont les orgasmes artificiels… ciel! Mon Mali. Artificielle, ma Syrie!
Tout va… syrien ne va!
C’est la nouvelle psychose humanitaire : on vous fournit toute l’aide nécessaire, pour permettre à vos adversaires de mieux vous entuber vous, mais en pensant à nous.

Parce qu’au fond nous n’avons qu’un rêve, n’est-ce pas ?
We have a dream : nous faire entuber à notre tour.

Désolée, mais l’heure c’est l’heure… je vais devoir interrompre cette séance
Vive l’ambulance! Vive la France!

14/05/2013

UNE SI BELLE INCONNUE 14

BELLE INCONNUE.jpeg

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


UNE SI BELLE INCONNUE

14



Arrêtez! Arrêtez s'il vous plaît! Arrêtez tout. Ça fait suffisamment de temps que je vous écoute vous immerger de façon lamentable dans votre pathétique faconde. Je ne suis pas coutumière du fait, mais j'ai même réussi à garder mon calme jusque-là. Mais maintenant, ça suffit ! Pour qui vous prenez-vous donc mon pauvre vieux ? Qu'est-ce que vous croyez ? Que je suis une enclume incapable de m'épanouir dans les échanges avec les autres ! C'est ça ? Que je ne sais non plus m'exprimer de manière sensée dans le tendu d'une conversation riche et animée ? Peut-être me trouvez-vous trop blonde pour seulement même l'envisager ? Mon pauvre vieux, si tu savais! Bien sûr que je sais faire ça moi aussi. Vous ne détenez-là aucun monopole relationnel savez-vous ! Simplement, figurez-vous que c'est beaucoup plus compliqué que cela : je m'éveille et je vous trouve là, face à moi, telle une apparition diffuse. Votre regard posé sur moi est tel que je ressens à l'immédiat comme un léger sentiment de malaise. De danger peut-être. Parce qu'à ce jeu là j'ai déjà trop donné, je veux dire, j'ai beaucoup trop reçu. Et j'y ai laissé mes ailes.

(A SUIVRE...)


P.  MILIQUE

20/01/2013

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: "APPRENONS AVAINCRE LA MORT AVEC UN MARTEAU".

 

APPRENONS AVAINCRE LA MORT AVEC UN MARTEAU

04/12/1982 - 01min26s


Cyclopède (Pierre DESPROGES) a isolé le virus de la mort. Il decide de le supprimer à coups de marteau.

 

Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre