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18/09/2014

CLAIRIÈRE DE VIE 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

CLAIRIÈRE DE VIE

2

Là, un petit vent chante une mélopée murmurée en canon où tinte le soleil.
Le babil joyeux des oiseaux et le bruissement des branches te suffisent
A être bienheureuse en cet océan vert qui t'entoure et traque l'intense.

Vient l'inévitable moment où le soleil couchant propose sa cape d'ornement.
Ton regard balaye la ligne d'horizon pour, au-delà du vert, y voir la clairière.


Cette clairière de nouvelle vie, de cet endroit,

Semble plus incandescente encore.

(FIN)

P. MILIQUE

29/01/2014

BEN L'ONCLE SOUL "GEORGIA"


(Captation Personnelle)

 

BEN L'ONCLE SOUL

"GEORGIA"

EN CONCERT 

LE BIKINI

TOULOUSE

LE 28 Octobre 2010

25/01/2014

BEN L'ONCLE SOUL EN CONCERT LE BIKINI TOULOUSE LE 28 Octobre 2010


(Captation Personnelle)

 

BEN L'ONCLE SOUL

EN CONCERT 

LE BIKINI

TOULOUSE

LE 28 Octobre 2010

17/11/2013

COMME UNE LAMPE D’ORGUEIL

orgueil_600.jpg

L'orgueil  Acrylique sur toile, 70 x 70 cm Février 2009.  (Oeuvre de Pierre MARCEL)
Pour le péché capital Orgueil, cet arbre envahit avec arrogance toute la toile, il n'y a ni ciel ni terre pour ses racines qui ne tiennent d'ailleurs plus à rien, tout va vers le haut, et se noie dans son propre feuillage 

 

COMME UNE LAMPE D’ORGUEIL

 

Après avoir pris en compte l’immaculé de la page

Qui semble adopter de façon délibérée

Une tonalité profonde au fil du temps,

Il espère proposer une forme alternative, mais déroutante,

A ce mode d’expression devenu minoritaire,

Absolu fragile constamment menacé.

 

Dans ce monde chaotique auquel il ne comprend plus rien,

Il ose prendre l’étrange chemin naissant

Qu’il lui faudra poursuivre, attentif, par la suite.

 

Au magma de ce lieu d’expérimentation, une part de sens échappe,

Faisant éclater la conspiration du mensonge de la vie.

 

A l’infime de cette intimité dont il ne faut pas parler,

Celle qui, dans sa cohérence interne ôte du discernement à l’absurde.

Le simple respect de ces émerveillements rares expose alors

L’humilité comme lampe d’orgueil dans sa propre nuit.

 

P. MILIQUE

29/10/2013

Emily LOIZEAU EN CONCERT "AU BIKINI" TOULOUSE AVRIL 2009

(Captation Personnelle)

 

Emily LOIZEAU

EN CONCERT

"AU BIKINI"

TOULOUSE

AVRIL 2009

22/02/2012

QUELQUES POEMES VENUS DE SYRIE: MAIS VIVRE!

Le HuffPost a pris connaissance d'une série de poésies écrites dans un français remarquable, par une Syrienne qui a réussi à les faire parvenir en France. Nous lui conservons bien entendu son anonymat pour des raisons évidentes. Ce sont ces poèmes, d'une force poignante, qui sont reproduits ici .




Mais vivre!
(dédié à tous les détenus dans les geôles syriennes)

Derrière la grisaille, la brume des faubourgs
Annihiler l’espace et les longues distances
Et creuser un caveau à toutes mes souffrances
Mais vivre avec l’espoir de vous revoir un jour !

Si pesant cet exil m’emmure, m’emprisonne
Courant à l’infini comme tristes couloirs,
Dédale et labyrinthe d’un sombre mouroir
Tintez les carillons ! J’entends le glas qui sonne !

Des oiseaux migrateurs suivre l’itinéraire
Vers des soleils couchants à l’autre bout du monde !
Comme les arbres frémissent à l’orage qui gronde,
Mes foulées ne seront jamais plus téméraires…

Retrouver le silence sans martèlements sourds
L’amnésie apaisante des humeurs chagrines
Et clore mes paupières sur des senteurs marines
N’écouter que mon cœur battre comme un tambour !

Puiser en vos sourires les plus belles saisons
Le printemps affolant de beautés et de grâces !
Comment faire barrière à tout ce temps qui passe ?
Sans risquer d’en mourir, d’en perdre la raison ?

Et si pour vous revoir il faut pleurer toujours :
Que mes yeux alanguis se transforment en fontaines
Pour arroser les champs de lys, de marjolaine
Mais vivre avec l’espoir de vous revoir un jour !