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01/02/2014

POLAROÏD (20/11/2013): TEXTE MARIE RICHEUX MUSIQUE HALF MOON RUN

 

POLAROÏD

(20/11/2013)

 

TEXTE

MARIE RICHEUX

MUSIQUE

HALF MOON RUN

"GIVE UP

31/01/2014

POLAROÏD: TEXTE MARIE RICHEUX / MUSIQUE DHAFER YOUSSEF

 

POLAROÏD

(16/11/2013)

 

TEXTE

MARIE RICHEUX

MUSIQUE

DHAFER YOUSSEF

"HUMN TO THE ABSENT

04/01/2014

DU SOUFFLE JAILLISSANT DES MARGES 2

au magma présent de l'écriture.

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

DU  SOUFFLE  JAILLISSANT  DES  MARGES

2


Inexplicablement quelque chose de beau lie alors le verbe,

Et du souffle jaillissant des marges devenues silencieuses,

Une écriture ample et lumineuse cisèle les phrases intimidées

Dans un vibrant écho, éloge de la vie aux fulgurantes attentions.

 

Éberlué, presque sonné par tant de captures poétiques,

L'approche enchantée insiste sur le sensoriel nouveau

D'une satisfaction abrupte et rieuse, joyeusement perturbée.

 Écrire est une sorte d'abandon, c'est une extase aussi...


En une telle occurrence, il épouse l'apesanteur de l'infini,

Et s'avance souriant vers cette lumière qui ruisselle des étoiles.

FIN


P.  MILIQUE 

01/10/2013

LANIÈRES ACÉRÉES 2

au magma present de l'ecriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...



LANIÈRES ACÉRÉES

2

 

Folle incompréhension d’un canevas qui lacère

Dans la terrifiante absence d’une lumière nécessaire

Qui s’installe, d’un vertige, au point zéro de l’infini.

Stupéfaction avide dans le sidéral vide désespéré

D’une frustration récurrente et primale qui exaspère.

 

Il devient urgent d’instiller en soi

L’absolue nécessité de ne rien posséder !

 

Et voilà que soudain apparaît

L’insondable vrillé de ce qui hante :

Tes lèvres illuminaient mes paupières

Ton regard insistant épousait ma folie

Ta voix étoilait mes heures sombres

Ton souffle ardent électrisait mes sens

Tes mains embrasaient ma chair

Et ta vie pulsait à mon cœur mort.

 

Et puis, un jour, l’Autre t’a éblouie

Et s’est imposé à moi cet incontournable :

Tromper l’Autre, c’est d’abord se tromper !

(FIN)


P. MILIQUE

06/09/2013

LA FACE CACHÉE DU SOURIRE

photo-goutte-eau.jpg

 

 

   LA FACE CACHÉE DU SOURIRE

 


Les extensions de solitude que tuméfient
 des sanglots longs
Mettent en musique l'exaltante partition des violons
Que saigne l'insistante mélancolie de l'automne.

Goutte-à-goutte viscéral où se
blesse mon cœur
Noirci par l'intime excédé d'une langueur
Engourdie au temps d'un venin monotone.


P. MILIQUE