16/10/2017
LE CADRAN SOLAIRE
LE CADRAN SOLAIRE
Sur un vieux cadran solaire, cette devise :
Il est plus tard que vous ne croyez !
Et pourtant, il est déjà bien tard semble-t-il !
Malgré la vie qui se consomme,
Qui se consume de toutes ses passions.
Sans aucune modération.
Mais..
Il y a l'enchaînement fatal,
L'effritement tragique,
La réalité rigoureuse et imposante
De proximité d'un vieillissement inquiétant.
Au moins n'aura-t-il jamais existé l'angoisse de ne pas savoir !
Il a toujours cru pour sa part
A la malveillance acharnée du destin.
A cause de cela, arrive fatalement le moment,
Où il devient vital de mettre un terme à cette mascarade.
De s'arracher violemment de l'histoire pour,
Si possible, investir l'imaginaire.
En épouser les possibles en se dotant de certitudes...
Des yeux indéchiffrables posent sur le monde
Un énigmatique regard dépourvu d'avenir.
Avec pour seul lien, gravé au creux de l' intime,
Un soleil noir qui consume l'enfer.
Un enfer à la beauté parfaitement dépouillée
Qui restitue l'ample périple indolore,
Et soulage la désespérance en réveillant les ombres.
Les apparences sont là, irréfutables.
Il est déjà bien tard, mais :
Il est plus tard que vous ne le croyez !
P. MILIQUE
08:25 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, cadran solaire, devise, la vie, consommer, consumer, passions, sans aucune modération, enchaînement fatal, effritement tragique, réalité, rigoureux, imposant, proximité, vieillesse, inquiétant, exister, angoisse, malveillance, acharnement, destin, cela arrive fatalement, vital, mettre un terme, mascarade, s'arracher, violemment, histoire, si possible, investir l'imaginaire, les yeux, indéchiffrable, poser sur le monde, regard, dépourvu d'avenir, seul lien, intimité, soleil noir, brûler en enfer, beauté dépouillée, périple, indolore, soulager la désespérance, réveiller les morts, ombre, apparence irréfutable
20/08/2015
EN ROUTE POUR L'INEXORABLE 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
EN ROUTE POUR L'INEXORABLE
3
Le douteux spectacle de la vieillesse en cours d'installation réinvente le regard des autres. Pourtant, on s'était bien promis de n'avoir jamais la faiblesse de subir l'âge, pas plus que le reproche d'autrui. Mais cette éclosion d'automne pourvoyeuse de stigmates irréversibles, exalte dans le même temps le naufrage en cours. L'inéluctable tentation du déni protecteur se fait jour, mais il ne saurait cependant dispenser d'appréhender la réalité! Une lente mais inexorable dissolution nous assaille, faisant de nous des spectateurs abasourdis par ce qui est. Le corps ne se meut plus qu'avec des semelles de plomb, et le moral déprime. Toutefois, il serait bien inutile et, stérile même, de s'épuiser davantage dans les dégâts occasionnés. Et, tandis que le physique entame sa lente dissolution, le visage lui, déjà empâté, se farde d'ingratitude jusqu'à se fermer aux autres.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:06 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, douteux, spectacle, vieillesse, en cours, installation, réinventer, regard, torpille, portance, promesse, châtier, faiblesse, subir, âge, reproche, éclosion, automne, pourvoyeur, stigmate, irréversible, exalter, naufrage, inéluctable, tentive, déni, protecteur, clivant, dispenser, appréhender, lentille, inexorable, dissolution, assaillir, spectateur, abasourdi, corporel, mouvoir, semelles de plomb, moral, déprimer, inutile, stériliser, épuiserdégât, ocasionner, attendrir, physique, entame, lente
02/08/2015
JEHAN JONAS "QUAND TU SERAS VIEUX PAPA" (1966)
JEHAN JONAS
"QUAND TU SERAS VIEUX PAPA"
(1966)
«Jehan JONAS, tu connais?
Né en août 1944, Jehan JONAS a écrit des centaines de chansons, des poèmes, des sketches, des nouvelles, une comédie musicale pour enfants...
Animé par se permanente révolte et son Amour de la Liberté il écrit insatiablement.
Usant d'humour et d'ironie il se bat inlassablement contre la bêtise.
Souvent tendre, il nous emporte dans son univers où l'Amour règne en Prince.
Toujours lucide, il ne voulait pas devenir un «vieux con».
Il meurt en 1980.
Jehan JONAS appartient à ces grands auteurs intemporels et pourtant il fut occulté par les médias.
Cette censure, cette confiscation, sa compagne nous la raconte sans retenue et nous dessine un portrait de cet homme à qui il serait difficile d'attribuer une étiquette...»
(Laure COUSIN)
«Une Confiscation»
Laure COUSIN vient de consacrer quelques années à la réalisation de cette «histoire humaine» qu'elle s'était promis d'écrire un jour.
Depuis l'année 2002 elle est présidente de l'association «Jehan Jonas Second Souffle» qui a pour principal objectif de sortir de l'ombre l’œuvre de son compagnon de vie.
Rendez-vous sur le site de l'Association!
Vous y trouverez, et pourrez vous procurer «Une Confiscation» bien sûr.
Mais aussi, et entre autres, vous aurez l'opportunité de vous offrir la discographie intégrale de Jehan JONAS.
http://www.jehan-jonas.fr/
19:23 Publié dans GOUTTES d'ÂME, Jehan JONAS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, contractuel, asile, imbécile, service, intellectuel, grs, dégueuler, majorité, envoyer, fleur fanée, effeuiller, vieillesse, voyeou, manger, satisfaction, emmerder, couillon, ronce, rgent, faire le beau, frais, état, glander, tapiner, vieillard, peau, couvrir, combler, décontraction, gravure, hurlement, trembler, aboyer
31/10/2014
FINALEMENT MORTEL 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
FINALEMENT MORTEL
3
Les années ont tassé sont corps et froissé son visage,
La peau s'est creusée de rides sur la main qui maintenant tremble.
Les yeux fixent le vide et en appelle au manque dans l'aride
Où elle l'évoque, gênée, de cette pudique tendresse
Qui incite à porter une attention toute particulière
A cette vieillesse comme ultime menace,
Comme un dernier combat à livrer a l'orgueil du temps
La nuit où n'en finissent pas de se crisper les rêves.
La vie blesse mais aussi grandit chaque infime d'un l'instant
Aux sanglots des heures qui s'écoulent, finalement mortelles.
(FIN)
P. MILIQUE
09:06 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, médaille, vallée de larmes, année, provence, tasser, corps, froisser, visage, peau, creuser, ride, main, maintenance, trembllement, oeil, fixer, vide, appeler, manque, aridité, évocation, gêne, pudique, tendresse, incitation, émeutier, portatif, attention, particularité, vieillesse, ultime, surdité, faire l'amour, dernier, combat, fanfreluche, livrer, orgueil, bibelot, nuit, crispation, rêve, vie, blessure, grandir, infirme, instant, sanglot, horaire
06/06/2014
LE BONHEUR DE T'AIMER 1
LE BONHEUR DE T'AIMER
1
Écrire c’est tromper l’absence, alors j’écris ce que je crie
Car il me faut bien parvenir à exprimer ma crise d’amour,
Ma crise de ce n’est pas juste, ma crise de manque hurlant.
Il serait sans doute bien que je parvienne à me raisonner.
Mais comment et pour quelles raisons me résonnerais-je
Alors même que je m’éprouve responsable de la situation?
Avec une muette obstination tu m’as ouvert le brasier de ton cœur
Avant que de m’ouvrir, au rythme du sensible, l’ample de tes bras.
Voilà que tu t’offres à ouvrir ta maison. Tu ne peux faire davantage.
Il ne tient qu’à moi dis-tu, d'immiscer ma vieillesse dans ton présent.
Et cela ne se peut à l’immédiat. Douloureuse stridence de l’impossible.
Sauras-tu sans t’épuiser, souhaiteras-tu m’attendre le temps nécessaire?
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
11:29 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : au magma présent de l'écriture, bonheur, aimer, écrire, tromper, absence, crier, parvenir, exprimer, crise, amour, juste, manque, hurler, doute, bien, raisonner, raison, résonner, éprouver, responsable, situation, muet, obstiner, ouverture, brasier, coeur, ouvrir, rythme, sensible, amplitude, embrasser, offrir, maison, pouvoir, avantager, tenir, immiscer, vieillesse, présentable, immédiat, douloureux, stridence, impossible, épuiser, souhaiter, attendre, temps
14/03/2014
TRUISME
TRUISME
Précautions inutiles à hésiter maintenant.
Il m’est plus égal que jamais
De disparaître avant la vieillesse
Sans éprouver le besoin de savoir pourquoi.
En aucun cas ma mort
N’éclairera le secret du monde.
P. MILIQUE
05:38 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : truisme, précaution, hésitation, égalité, disparaitre, vieillesse, éprouver, besoin, savoir, mort, éclairer, secret, monde, suicide
22/11/2013
LA VIE EST UN TORRENT QUI CHARRIE DE LA BOUE....
LA VIE EST UN TORRENT QUI CHARRIE DE LA BOUE....
La vie est un torrent
Qui charrie de la boue.
Un univers où chacun dans sa misère
est seul à cristalliser ses souffrances.
Où ne s'exprime plus que le langage du désenchantement.
Et c'est la lente descente dans un puits signifié en toile de fond de nos errances,
vieilles complices taciturnes,
Jusqu'à l'embrasement inévitable au magma fusionnel
de nos haines et de nos rancœurs.
Voilà où nous mène, dans le cauchemardesque suppôt de nuits
parfaitement glaçantes,
L'outrance souveraine d'autres néants qui nous attendent,
Royaumes racoleurs d'une déraison optimiste.
L'aile de la folie passe, attirante, dans une espèce de flirt aguicheur,
Nous entraînant dans un élan infini vers des passions indéfinies.
Puis vient le temps de la sagesse, de la distance et de la lucidité envers la vie.
Il y a comme un rejet du noir et même parfois rejet de l'azur qui peut encore être du noir.
Le rire qui n'était que celui du désespoir, peu à peu s'éclipse.
Pour laisser place à un sourire timide.
Entre la ténèbres du noir et le premier frisson de lumière,
entre l'absence et la promesse d'une présence définitive cependant déjà évaporée,
apparaît la vérité d'une émotion.
Une émotion sublimée au contact d'amitiés éternellement fugitives
et d'enthousiasmes durablement éphémères.
Tout cela d'une richesse et d'une complexité exceptionnelles.
La vie est un torrent
Qui charrie de la boue.
Mais à savoir en capter les fragrances et les couleurs,
elle sait être d'une beauté confondante, nous invitant,
ultime privilège, dans les harmonies chatoyantes de son chant d'éblouissement.
Dès lors, dans la boue du torrent, seules les pépites respirent encore.
P. MILIQUE
00:59 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : misère, souffrance, errance, complice, magma, haines, rancoeurs, cauchemar, outrance, racoleur, déraison, aguicheur, passion, sagesse, lucidité, désespoir, ténèbres, absence, promesse, vérité, torrentiel, boueux, charrier, universel, misérable, cristalliser, souffreteux, expression, langage, désenchantement, lent, descente aux enfers, puitsatier, puits, signifier, toile de fond, vieillesse, complicité, taciturne, embrasement, inévitable, fusionnel, haine, rancoeur, mener sa barque, cauchemardesque, suppôt de satan, nuit
25/10/2013
LE BONHEUR DE T'AIMER 1
LE BONHEUR DE T'AIMER 1
Écrire c’est tromper l’absence, alors j’écris ce que je crie
Car il me faut bien parvenir à exprimer ma crise d’amour,
Ma crise de ce n’est pas juste, ma crise de manque si criante.
Il serait sans doute bien que je parvienne à me raisonner.
Mais comment et pour quelles raisons me résonnerais-je
Alors même que je m’éprouve responsable de la situation ?
Avec une muette obstination tu m’as ouvert le brasier de ton cœur
Avant que de m’ouvrir, au rythme du sensible, l’ample de tes bras,
Voilà que tu t’offres à ouvrir ta maison. Tu ne peux faire davantage.
Il ne tient qu’à moi dis-tu, d’immiscer ma vieillesse dans ton présent.
Et cela ne se peut à l’immédiat. Douloureuse stridence de l’impossible.
Sauras-tu sans t’épuiser, souhaiteras-tu m’attendre le temps nécessaire ?
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bonheur, aimer, écrire, tromper, absence, crier, cri, falloir, parvenir, exprimer, crise, amour, pas juste, manque, criant, raisonner, raison, résonner, éprouver, responsable, situation, muette, obstination, ouvrir, brasier, coeur, rythme, sensible, immiscer, vieillesse, présenter, immédiat, doloureux, strident, stridence, impossible, savoir, épuiser, souhaiter, attendre, nécessité
05/10/2013
Yves JAMAIT " JE SUIS VIVANT" SALLE EURYTHMIE MONTAUBAN Mai 2009
(Captation Personnelle)
Yves JAMAIT
" JE SUIS VIVANT"
SALLE EURYTHMIE
MONTAUBAN
Mai 2009
05:26 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, les doigts dans le nez, yves jamait, festival alors chante, montauban, salle eurythmie, basson, tuba, annecy, lac d'annecy, bourgade, gallo-romain, train à vapeur, venise des alpes, clémentine, vénitienne, habitat collectif, frit du sud, belle-mère, paternel, parentelle, patientelle, mourir, maison de retraitr, jacques vabre, la maison du café, carte noire, obligation, obliger, se laisser partir, vieillesse, état dépressif, libido, sommeil, appétit, refuser le divorce, prendre en charge, légalité, décéder, injustice, normalité, étranger, avoir les moyens, refaire sa vie, tatie danielle, margarette tatcher, pas commode, avantageux, impressionner, parkinson
01/07/2013
CHARLES BAUDELAIRE: LE JEU
CHARLES BAUDELAIRE
LE JEU
Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles,
Pâles, le sourcil peint, l'oeil câlin et fatal,
Minaudant, et faisant de leurs maigres oreilles
Tomber un cliquetis de pierre et de métal;
Autour des verts tapis des visages sans lèvres,
Des lèvres sans couleurs, des mâchoires sans dent,
Et des doigts convulsés d'une infernale fièvre,
Fouillant la poche vide ou le sein palpitant;
Sous de sales plafonds un rang de pâles lustres
Et d'énormes quinquets projetant leurs lueurs
Sur des fronts ténébreux de poètes illustres
Qui viennent gaspiller leurs sanglantes sueurs;
Voilà le noir tableau qu'en un rêve nocturne
Je vis se dérouler sous mon oeil clairvoyant.
Moi-même, dans un coin de l'antre taciturne,
Je me vis accoudé, froid, muet, enviant,
Enviant de ces gens la passion tenace,
De ces vieilles putains la funèbre gaieté,
Et tous gaillardement trafiquant à ma face,
L'un de son vieil honneur, l'autre de sa beauté !
Et mon coeur s'effraya d'envier maint pauvre homme
Courant avec ferveur à l'abîme béant,
Et qui, saoul de son sang, préférerait en somme
La douleur à la mort et l'enfer au néant !
17:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME, POESIES DITES EN IMAGES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, charles baudelaire, jouer, fauteuils, faner, courtisane, vieillesse, pâleur, sourcil, peinture, câlin, fatal, minauder, maigreur, cliquetis, pierre de taille, guédelon, métal, tapis vert, visage, lèvre, couleur, mâchoir, dentiste, doigt, convulser, infernal, fièvre, fouiller, poche vide, sein palpitant, salissure, plafond, ranger, lustre d'antan, énormité, quinquenna, projeter, lueur, frontal, ténébreux, salle des illustres, gaspillage, ensanglanter
27/03/2013
LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : " FAISONS FONDRE UNE BRUTE INHUMAINE.... "
LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE
" FAISONS FONDRE UNE BRUTE INHUMAINE.... "
L'Indispensable Encyclopedie De Monsieur Cyclopede.
04:14 Publié dans CE QUE CYCLOPEDE DIT | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pierre desproges, minute nécessaire, monsieur cyclopède, grosse brute, vulgarité, boxeur, chanteuse pôpulaire, ordinaire, vieillesse, tourne-disque, allez venez milord, chanter, édith piaf, cacher, sentiment humain, danser un slow, pleurer, étonner
21/03/2013
LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL : MARIE MAURON
LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL
MARIE MAURON
17 févr. 1976
Marie MAURON, écrivain : la déshumanisation de la vie, ses origines modestes, pour elle le malheur le plus terrible est l'appauvrissement de l'homme, ses débuts d'institutrice, ses parents, la langue occitane, ses débuts en littérature, son attachement à la provence.
(Entretien avce Jacques CHANCEL)
15:43 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, radioscopie, jacques chancel, marie mauron, incendie, predition, déprimer, jouisseur, amasser, disposer, temps gagné, lessiver, folklore, rivière, brebis morte, agneau, améliorer, instruire, billevesées, progresser, artificiel, satisfaction immédiate, sleté, alpilles, romancières, pauvreté, territoire, vieillesse, rejetons, vivoter, démolir, nuisible, légalité, charrue avant les boeufs, se battre, autoroutes, villa moderne, passer sur la route, porter réclamation, berger, censurer, audience, franchise, provence, provençal, aberration, nettoyer, tortiller, drame, le mal est profond