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26/01/2013

INTERVIEW DE PAT NICHOLS, AMIE DE JANIS JOPLIN

 

 

INTERVIEW DE PAT NICHOLS, AMIE DE JANIS JOPLIN

Nocturne 

30/08/1995 - 03min25s

 

Interview de Pat NICHOLS, amie de Janis JOPLIN, qui parle de l'élaboration du "son" de la chanteuse, de la formation de sa voix à l'écoute des grands chanteurs de blues et de country music, de son travail pour incorporer ces techniques vocales à son style propre. Les exercices vocaux et les expérimentations auxquels elle se livrait d'elle-même, instinctivement.

 

Générique

Nichols, Pat
Vacher, Jeanne Martine

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Pile ou croix ? "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Le prix de l’amitié,

Mes amis, je suis tentée de vous faire subir une petite épreuve qui va nous rapprocher vraiment et constituer un véritable précédent sur Facebook…
Faîtes partager cette vidéo à tous nos amis communs!

SE RENCONTRER ENCORE 14

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

14


A l'évocation de cet ultime, Clément s'est soudain retiré du cercle de l'auditoire. Il ne pouvait en supporter davantage. D'ailleurs, il en avait déjà beaucoup trop entendu. Dès l'amorce du récit proposé par cet inconnu, un sombre pressentiment avait progressivement prit forme et avait insidieusement infiltré son esprit. Et de plus en plus son sang s'était glacé dans ses veines. Véritablement ! Physiquement ! Au début sous forme de paillettes, puis de cristaux, pour finalement aboutir à l'obturation quasi totale de ses artères par des chapelets entiers de quartz mortifères.

Insoutenable.

(A SUIVRE...)

 

 

 

TU M'LAISSE JAMAIS FINIR Couple et temps de parole (9) " Prendre forme ailleurs "

 

TU M'LAISSE JAMAIS FINIR
Couple et temps de parole (9)
" Prendre forme ailleurs "

(3’45’’)


Un feuilleton original de Jean-Charles Massera conçu pour les nouveaux modes d'écoute (podcast, smartphone, écouteurs). Chaque semaine vous recevez un appel, en voiture, à table, au boulot. Jte dérange ? Non non. C'est votre ami ou votre amoureuse qui vous parle : d'argent, de désir, d'une écharpe du PSG... Une voix qui renouvelle la fiction radio. 9. Tu m'laisses jamais finir (avec Morgane Hainaux)


Enregistrements : 8 juin 12
Interprète : Morgane Hainaux
Assistante réalisation : Sara Monimart
Texte : Jean-Charles Massera
Réalisation : Arnaud Forest & Jean-Charles Massera

25/01/2013

PALMARES DES CESARS

 

PALMARES DES CESARS

JA2 DERNIERE 

02/03/1996 - 58s

 

La 21ème nuit des Césars a eu lieu au Théâtre des Champs Elysées. (IMAGES CANAL +).  Remise du César de la meilleure actrice à Isabelle HUPPERT pour "La Cérémonie" de Claude CHABROL, du meilleur acteur à Michel SERRAULT pour "Nelly et Monsieur Arnaud" de Claude SAUTET. Récompense pour le film de Mathieu KASSOVITZ " La Haine ".  Remise du César de la meilleure actrice dans un second rôle, à Annie GIRARDOT pour "Les Misérables" de Claude LELOUCH / Annie GIRARDOT, en larme / [gros plan] Sophie MARCEAU / Annie GIRARDOT : " je ne sais pas si j'ai manqué au cinéma, mais à moi, le cinéma m'a manqué (...) Peut-être, je dis bien peut-être, que je ne suis pas encore tout à fait morte". Ovation du public, debout dans la salle.

 

Production

 

Canal Plus

Générique

 

Dauchez, Florence

CHET HELMS PARLE DE L'AMBIANCE DES CONCERTS A SAN FRANCISCO

 

CHET HELMS

PARLE DE L'AMBIANCE DES CONCERTS A SAN FRANCISCO

A LA FIN DES ANNEES 1960

Nocturne

31/08/1995 - 06min46s


Interview de Chet HELMS, animateur de l'Avallon Ballroom à San Francisco et ami de Janis JOPLIN. Il évoque l'ambiance et la philosophie des concerts qui se tenaient chaque week-end dans les lieux branchés de la contre-culture. Il parle des différences entre deux de ces salles de concert, l'Avallon Ballroom et le Fillmore East, géré par Bill GRAHAM.

 

Générique

Helms, Chet
Vacher, Jeanne Martine
 

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Hors-loge "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U



Je suis… je suis une hors-loge
Non pas l’horloge qui indique l’heure
L’heure, c’est l’heure qu’on l’indique ou qu’on ne l’indique pas…
Et puis c’est tellement plus poétique de ne pas l’indiquer…
Oui… y a pas pire que les indics qui vous démontent le moral en vous indiquant l’heure…
Croyant naïvement que l’on peut remonter le temps.
J’ai toujours cassé les horloges… pour ne pas avoir ou savoir l’heure…
C’est mon côté Florence Cassez…
Mon anachronisme ontologique…
Je le dis, de bon cœur, j’ai la ferme conviction que l’heure n’est jamais à l’heure.
Never not quite…
Le monde et l’image du monde sont toujours décalés… en décalage!
Il est toujours midi à quatorze heures.
Parce que le temps n’est jamais content… l’être est pour ainsi dire un peu fêlé.
Florence Cassez a été rendue à sa liberté, quand plus personne ne s’y attendait.
Plus personne n’osait même plus l’espérer…
C’était l’heure que personne ne sut indiquer…
Après 7 ans de malheur…. elle a dû briser quelque miroir et son ange-gardien a mis sept ans pour recoller tous les morceaux…
Il y a un temps pour tout
Un temps pour se perdre et un temps pour se retrouver…
Mais le temps, lui court toujours et n’en a que faire de nos jours et de nos amours.
Je vais vous révéler un petit secret :
Le temps perdu et le temps retrouvé n’est pas le même.
Vous n’avez toujours pas saisi? L’enfant qu’on vous a mis dans les bras à la maternité… n’était pas le vôtre… mais l’enfant d’une autre maman… c’est la méprise sur le gâteau…
Non! Aucune réclamation n’est de mise lorsqu’on est aux prises avec le hasard…
Toute ressemblance entre géniteurs et progénitures est une pure coïncidence
Qu’est-ce que tu veux que je te dise m’a dit la sage femme : va te faire admettre ailleurs !
Seulement voilà… je ne suis admise nulle part.
Je suis sans emploi… sans abri… mais surtout sans répit. J’ai cessé de m’en faire… je suis devenue légère…
L’homme sage que j’ai fini par consulter m’a bien eu en prétendant que si rien ne pouvait nous satisfaire, il faut croire que tout peut nous satisfaire.
Qu’on le veuille ou non, avec le temps, tout se compose et se décompose.
J’ai choisi de composer… une sorte d’hymne à l’altérité, avec le temps… en passant avec le temps… en changeant avec le temps… en pensant avec le temps.
Midi c’est minuit… minuit c’est midi…
Voilà ce que je ressens… ce que je pressens… depuis longtemps…
Depuis que je sais que je suis au cœur d’une contradiction : être et ne pas être… à la fois.
Mortelle qui rêve d’être immortelle…
Le psychiatre n’a pas hésité un instant en m’appelant “hors loge”… ce qui veut dire hors normes… typologie atypique sans case ou non casable… mais … cassable!
Florence Cassez… doit bien se demander de qui je me moque ?
Vous pouvez le lui dire aujourd’hui…
Je suis le hasard qui l’ a mise dedans et le hasard qui l’a remise dehors…
C’est très bizarre… une hors-loge!

SE RENCONTRER ENCORE 13

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A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

13


«Tout à notre dialogue, il m'avait échappé que son attitude, peu à peu, s'était modifiée. Je l'observais quelques instant et me rendis compte que, le regard comme absent, elle ne m'entendait plus. Elle faisait mine d'écouter, certes, mais elle n'entendait plus.

A force de déplacements furtifs, elle s'était subrepticement rapprochée des limites du quai. Une nouvelle rame entrait en station dans le chuintement sifflant feutré de ses pneumatiques. Au moment où je m'approchais d'elle une fois encore, elle porta sa main à son visage et, après une brève hésitation, enleva ses lunettes m'offrant ainsi, pour la première fois, l'image troublante de son regard. Un regard d'un azur soutenu, sincère et passionné. Terriblement déterminé aussi, jusqu'à devenir d'acier. Pendant un court laps de temps, j'ai pu observer la profondeur des ses grands yeux, bleus et étincelants, qui me dévisageaient fixement sans, j'en suis convaincu, la moindre peur naissante. Puis, d'une rotation du corps brusque et saisissante de promptitude, et tout en proférant des paroles que je ne parvins pas à comprendre et qui me resteront à jamais inaccessibles, elle se précipita sur la voie. Sa silhouette disparu comme au ralenti sous le monstre d'acier accompagnée par les hurlements d'effroi d'une foule comme pétrifiée par l'horreur absolue et définitive de l'acte qui venait d'être perpétré là, sous ses yeux. Déjà il était trop tard. Un trop tard irréversible. Mortel.»

(A SUIVRE...)

 

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: " ".

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE

 

Sachons distinguer une gardienne d'immeuble d'un oléoduc

 09/12/1982 - 01min33s

 

Le pipe-line s'appelle Paulette, la pipelette s'appelle Pauline.

 

 

Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre

24/01/2013

LES CESARS : ANNIE GIRARDOT ET MICHEL GALABRU

 

LES CESARS :

ANNIE GIRARDOT

ET

MICHEL GALABRU

JA2 DERNIERE 

19/02/1977 - 01min19s

 

 

Remise des Césars 1977 : Annie GIRARDOT reçoit le César de la meilleure actrice des mains de Marie-France PISIER et Charles VANEL, Michel GALABRU reçoit le César du meilleur acteur des mains de Marlène JOBERT et Philippe NOIRET.

 

 

Production

 

Antenne 2

Générique

 

Vida, Hélène

INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL

 

 

INTERVIEW DE BOBY NEWIRTH

AU SUJET DU MONTEREY POP FESTIVAL

Nocturne

31/08/1995 - 04min09s

 

Interview de Boby NEWIRTH, musicien, peintre, cinéaste et ami de Janis JOPLIN, au sujet du Monterey Pop Festival qui eut lieu pour la première fois en juin 1967. Il parle de l'importance particulière de ce festival sur le plan social, en phase avec la philosophie de la jeunesse américaine de cette époque. Il évoque le fonctionnement de la scène musicale de San Francisco et le plein accord de Janis JOPLIN et de son public, "identiques" dans l'esprit.

 

Générique

Newirth, Boby
Vacher, Jeanne Martine

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Paris… Paris… On t’accule ! "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 

Paris! Paris! On t’accule… Paris! Paris! On t’accule.
Non, ce n’est pas un cri de guerre…mais une bouteille jetée à la mer avec un petit mot triste et amer sur Paris…capitale de la douleur…qui nous renvoie à une douleur capitale : Paris n’est plus ce qu’elle était…la plus belle ville du monde…mais un vulgaire dépôt de marchandises, où tout y est dévoyé avant d’être broyé par les marchands de tapis, que le christ a jadis chassé du temple.
Plus rien n’a de valeur…tout a un prix. Mon pays est vendu…sa capitale entretenue par des capitaux étrangers sous prétexte que c’est ainsi que le monde peut tourner et se retourner. On dit que le compte est bon, mais personne encore n’y a trouvé son compte.
Globalisation, délocalisation… dépaysement pour tous… voyage… voyage…µle monde est devenu un village… c’est ça le message…. le bourrage de crâne du nouvel âge… Ni barrière… Ni barrages… Que vois-je ?
Non! Je n’ai pas envie de voir tout ce que je vois…
L’universel entre les mains des particuliers… Une patrie qu’on sous-loue… et une partie qu’on déjoue… parce que plus rien ne nous émerveille… ni le miel… ni les abeilles.

Le Qatar à la barre. L’argent est plus royaliste que tous les rois… pour ne pas perdre, il faut se rendre…. et se faire tondre pour gagner… gagner le bon client… voilà ce que nous cherchons tous, le bon client pour épouser votre fille, pour louer votre appartement, pour gérer votre musée ou pour diriger votre sport préféré.
Le Qatar est là pour nous faire rêver.
PSG…: Paris ! Paris! On t’encule ! disent tous ceux qui aiment l’OM…
Mais Paris gagne… Paris ne n’est jamais aussi bien portée… dans les vestiaires, sur le terrain comme sur le papier… Paris fait figure de favori… de futur vainqueur de la ligue des champions…
Grâce à qui? Bande d’abrutis ! Grâce aux Qatari.
Enfin un club de football digne de la capitale des capitaux…
Paris gagnant – gagné pour les parisiens qui n’en demandaient pas tant… qui ne croyaient pas qu’on pouvait gagner sans péril et triompher de la gloire rien qu’en se donnant au plus offrant…
J’y arrive pas… désolée… J’y arrive pas… et tous les dimanches… je soutiens tour à tour… Ajaccio… Nice… Marseille… Montpellier… tous les adversaires du PSG…
Le PSG, je vous signale que c’était mon équipe… et je ne rêve plus que d’une chose…. la voir trébucher au nom de tous les passionnés du ballon rond…
Je dis qu’on ne peut pas tout vendre… ni tout acheter…
Non, s’il vous plaît… pas l’émotion…
Je ne veux pas de ce sang contaminé… le sport, le bel effort, ne doit pas être négocié ni vicié…
Je préfère encore faire partie des condamnés à la relégation, plutôt que d’avoir une injection à la Zlatane qui me fait gagner le match et perdre la hache et la face.
On me rétorque que c’est ainsi qu’ira le monde…
Le Mundial, la mondialisation…. c’est pour tout le monde, l’issue fatale…
OK pour nos autoroutes et nos déroutes… mais pas ok pour notre clé de voûte….
Pas ok pour nos rêves… pour le peu qui nous reste.
Le Qatar ?
J’aurai signé des deux mains si c’était un digne parrain… ou un noble mécène… s’il s’était par exemple investi pour relever Gaza de ses cendres et offert à ses habitants une ville digne de ce nom, des hôpitaux, des écoles…là…Oui… j’aurai applaudi avec un certain sens de l’honneur, les nouveaux seigneurs.

Et si chacun mettait la main à la poche… Parisiens, parisiennes…
On pourrait peut être relever Gaza… y construire une équipe de foot et défier toutes les capitales marchandes :
PARIS -QATAR … A BAS LES BATARDS !
PARIS – QATAR… A BAS LES BATARDS !