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14/01/2013

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE: " Jouons à saute dictateur ".

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE

" JOUONS A SAUTE DICTATEUR "

21/02/1983 - 01min26s

 

Comment abattre la dictature.

 

 

Production

 

Agence, Paris : France 3

Générique

 

Fournier, Jean Louis

 

Desproges, Pierre

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Requiem fo a dream "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


REQUIEM FOR A DREAM

J'ACCUSE 27

J'ACCUSE.jpeg

 

J'accuse l'Homme

De ne pas succomber

A l'informelle terreur

De sa grave Inaptitude

Au monde

Dont il ne cherche

Même pas

A se débarasser.

DAMIEN SAEZ : " AUX ENCRES DES AMOURS "

 

DAMIEN SAEZ

" AUX ENCRES DES AMOURS "

13/01/2013

CHIRAC ET CHIRAC

 

CHIRAC ET CHIRAC

Phrases Cultes 

22/02/2010 - 01min03s

 

Mises bout à bout, les petites phrases prononcées par Jacques CHIRAC au cours de sa carrière politique font apparaître quelques paradoxes et contradictions...

 

Production

 

Institut national de l'audiovisuel

Générique

 

Bras, Philippe

"L'HURLUBERLU " DE JEAN ANOUILH JOUE PAR MICHEL GALABRU

 

 

"L'HURLUBERLU "

DE JEAN ANOUILH

JOUE PAR MICHEL GALABRU

JA2 DERNIERE 

24/09/1987 - 04min49s

 

Au théâtre du Palais Royal, Michel GALABRU joue "l'hurluberlu" de Jean ANOUILH. A la fin du spectacle, baissé de rideau et applaudissements. Interview dans sa loge de Michel GALABRU : " ANOUILH est un classique, qui fait surgir tout un monde avec trois mots... Dieu même ment, tout est faux, la création est une mystification. L'homme travestit tout. Extraits de Michel GALABRU sur scène.

 

Production

 

Antenne 2

Générique

 

Begou, Georges

 

Galabru, Michel

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La lutte déclasse "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

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  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Il a cru bon et utile de nous dire qu’il ne croit pas à la lutte des classes. Il n’y croit pas… il n’y a jamais cru… à la lutte des classes… à la lutte de tous contre tous… à la lutte de quelques uns contre quelques autres… à la lutte entre elle et lui.

Ce n’est pas très classe, venant de la part de quelqu’un qui prétend au rang de premier de la classe.et puis il doit tout de même savoir qu’on n’a pas besoin de voir pour être vu.
Il dit qu’il ne croit pas à la lutte des classes, mais il ne dit pas à quoi il ne croit pas: à la réalité de la lutte ou à la réalité de la classe.
Ministre du budget, il aura du mal à se défaire de l’une sans se défaire de l’autre.
Sérieux problème d’optique. Myopie et presbytie réunies. Puisque comme chacun le sait, l’évidence ce n’est pas ce qu’on voit de près… mais ce qu’on voit de loin…
Parce qu’elle s’impose à notre vue et aiguillonne notre vision.
Mais comme il n’y voit que du feu. On va essayer de corriger son point de vue.
La lutte des classes, pour ceux qui n’ont pas fait leurs classes, c’est la lutte entre ceux qui ont des intérêts à défendre et ceux qui ont surtout intérêt à se défendre. Plus prosaïquement, c’est la lutte entre possédants et dépossédés… qui constitue le fil rouge de toute histoire.
Les marxistes l’ont cru et continuent de croire à la raison économique comme seule raison pour expliquer et justifier la lutte.

Mais j’ai l’impression que la ligne de démarcation passe ailleurs…
Ce qui nous oppose en tant que classes, ce n’est pas seulement le pouvoir économique qui oppose les riches aux pauvres mais aussi et surtout le pouvoir symbolique.

Un petit exemple pour illustrer mon concept de lutte des classes : le différend entre les manifestants du 13 et les manifestants du 27 janvier.
Entre les pour et les contre “le mariage pour tous”, il y a une lutte réelle et symbolique.

SE RENCONTRER ENCORE 4

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

4


Chacun tend l'oreille pour mieux percevoir la teneur ses propos, et il en fait de même. L'homme poursuit son monologue comme pour lui-même d'une voix soudain assourdie, imperceptible presque. Comme tétanisé par la peur d'aviver plus encore la douleur qui le vrille au présent en un épouvantable cauchemar.

 

 

 

«Vous savez, je l'avais tout de suite remarquée. Grande fille blonde, silhouette élancée, juvénile presque, qui dissimulait son regard derrière l'abri de ses lunettes aux verres fumés. Elle se tenait à l'extrémité du quai, seule, comme dans une attitude volontaire à se mettre à l'écart, à s'isoler. Plusieurs rames se sont succédées sans qu'elle semble ne leur accorder la moindre attention, et comme je n'étais moi-même pas plus pressé que ça, je me suis dit qu'elle ne verrait peut-être pas d'un si mauvais œil que je lui adresse la parole. En tout bien tout honneur, bien sûr. Mon ressenti était qu'elle avait, si ça se trouve, juste besoin de ça. Un mot. Une banale délicatesse verbale, rien de plus. D'un peu de chaleur humaine quoi!

 

Mademoiselle?...

(A SUIVRE...)

 

LES DESCHIENS : " LE GIBOLIN PROFESSIONNEL "

 

LES DESCHIENS

LE GIBOLIN PROFESSIONNEL


 

Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable

PERSONNAGES:

M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).

M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).

Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.

Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.

Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.

Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.

Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.


SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens

12/01/2013

LANCEMENT ARTE

 

 

LANCEMENT ARTE

JA2 20H 

30/05/1992 - 01min54s

 

Lancement ce soir de la chaîne franco-allemande Arte. Reportage sur les derniers préparatifs et dernières répétitions.

 

Production

 

Antenne 2

Générique

 

Fritsch, Martine

MATCH DE VOLLEY BALL ENTRE LA COMEDIE FRANCAISE ET LE THEATRE NATIONAL POPULAIRE

 

 

MATCH DE VOLLEY BALL

ENTRE LA COMEDIE  FRANCAISE

ET LE THEATRE NATIONAL POPULAIRE

JT 20H 

12/12/1951 - 02min11s

 

 

Match de volley ball entre la Comédie Française et le Théâtre National Populaire : après l'arrivée des deux équipes sur la piste, au pas de gymnastique très étudié, une personnalité serre la main des membres de l'équipe de la Comédie Française où l'on reconnait : Jacques CHARON, Robert HIRSCH, Michel GALABRU, SIM . Puis, extrait du match avec Jacques CHARON au service. On reconnait, l'acteur PIERAL, dans le public.

 

Production

 

RADIODIFFUSION TELEVISION FRANCAISE

Générique

 

Caunes, Georges de

LE JOURNAL DE PERSONNE: " La Guêpe "

 

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U


Je cherche les ingrédients pour tourner un western
Et je me retrouve avec tous mes sentiments de valeur en berne
Il en faut du sang… beaucoup de sang… pas de sentiments.
Dans un western, on meurt, on ne se fait pas du mouron
On saigne… pour que les plus faibles se couchent et les plus forts règnent.
La loi du plus fort… celui que tous les tireurs craignent
Les bons, les brutes et les truands… ce n’est pas la bonté qui est récompensée ou rarement
Presque jamais… mais la ruse… l’adresse… et la rapidité.
Les bons sont les plus malins… plus proches du mal que du bien
Ils font mal avec leur bien. Ils règlent les comptes sans compter, d’où leur prétendue majesté.
Une volonté de puissance convertible en puissance de la volonté. Ils en veulent plus que les autres.
Ils réussissent parce qu’ils excellent et ils excellent parce qu’ils le veulent et ils le veulent parce qu’ils en veulent un peu plus que tous les autres.
Ce sont des héros, des demi-dieux, qui préfèrent mourir que de vous concéder le moindre soupir.
Ils tiennent plus à la victoire qu’à la vie… parce qu’ils ne conçoivent pas la vie autrement qu’en l’emportant sur les autres et sur eux-mêmes.
Cette victoire sur soi-même… rend leur combat un peu plus soutenable…
Victoire sur ceux qui restent au seuil d’eux-mêmes…les ignobles ou les méchants… qui sont gouvernés par l’instinct d’auto-conservation. Qui ne vivent pas mais espèrent vivre avec la peur de mourir. Ils ne gagnent pas, parce qu’ils ne jouent pas. Ils déjouent et faussent le jeu, parce que leurs craintes valent autant que leurs espérances: c’est à dire … rien.
À part mourir, qu’est-ce que je risque, se dit le héros de notre fiction à deux balles.
Qu’est-ce que je peux faire pour assurer ma subsistance, se dit l’anti-héros en claquant des dents.
Le hic ou le chic, c’est que dans tout bon western, il y a un ingrédient christique : “un seul atteint la vérité”… et ça sent déjà l’Amérique… l’esprit de conquête et la conquête de toute la matière. Être le plus fort, le plus puissant, le plus performant.
Le tireur d’élite celui qui ne rate presque jamais sa cible, qui cherche toujours à vaincre mais qui finira un jour par être vaincu.
Parce qu’un autre, l’absent de tous les bouquets aurait réussi à lui monter dessus.
Hasard ou coïncidence… ni l’un, ni l’autre… c’est la roue du temps qui tourne mais pas toujours dans le sens des aiguilles… tic… tac… boum!
Et ça tourne et rien ne peut l’arrêter, à part cette balle qui vous était destinée… par quelqu’un qui a osé viser et tirer le premier.
Mouvement vers le rien… rien que du mouvement…
Tout coule… et c’est pas cool.
C’est l’enfer… sans la moindre petite fenêtre sur le paradis. On a intérêt à l’emporter pour ne pas passer à côté, de la vérité, du chemin, de la vie!
C’est plutôt terne comme western… mais c’est le seul qu’on ira voir, qu’on paye pour voir… celui qui oppose ta volonté à la mienne. Et que le meilleur gagne… la volonté… la plus forte, la plus cruelle, la plus profonde. Rien de latin… tout est américain… tout est humain… anti-humains
Un petit pas pour l’humanité… un grand pas pour l’homme… pour l’individu qui s’expose et t’explose en passant par derrière ou en prenant les devants.
D’où les rimes les plus funestes : individualisme, réalisme, matérialisme, impérialisme, cynisme.
Alors qu’est-ce qu’on fait… on tire ou on se fait tirer ?
On se fait la guerre ou on concède la paix ?
Malheureusement aucune concession n’a jamais garantit la paix. Pétition de principe : il faut faire la guerre pour ne pas faire la guerre. Pour être avantagé pour la faire, il faut vouloir la faire à tout prix!
Guerre de tous contre tous. Pour la puissance… pour davantage de puissance. C’est le premier qui tire, c’est le deuxième qui meurt. Que de la force et point de droit.
Qui tue en Syrie ? Les forces loyalistes ou les forces rebelles ? Le pouvoir ou l’opposition ?
Les anciens ou les nouveaux ? Guerre ! Guerre ! Guerre ! Quel bras doit-on armer ?
Quel bras désarmer? Parce qu’on croit qu’on n’a pas le droit de vivre et laisser mourir.
Qui le croit ? Qui le croirait? Ce ne sont que nos intérêts que l’on veut opposer à d’autres intérêts. Pas un brin d’humanité…. mais nos sacrés saints intérêts qui distinguent le bourreau de la victime. Ingérence qui rappelle les sept mercenaires qui ne se préoccupent que de leurs destins particuliers. Point de justice.
Mais du butin, du gain, de la fin qui justifie tous les moyens : la puissance… de l’argent. L’argent pour la puissance.
L’Amérique et ses alliés unis ont tué Saddam, Gadhafi et s’apprêtent avec le soldat Fabius à assassiner Al-Assad… pour que les plus puissants restent toujours les maîtres de la région…
Halte aux arguties et aux alibis : on tue pour accroitre sa puissance et non pour venir à bout de la nuisance ! Et dire que la France semble ignorer que nul ne peut espérer déguster du bon miel à partir des sécrétions d’une guêpe. Cherchez la guêpe!