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19/01/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "La lutte des crasses "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U



Je reprends la formule consacrée.
Toute l’histoire des hommes, jusqu’ici…
Pas jusque là… j’ai bien dit : jusqu’ici…
A été une lutte sans merci entre oppresseurs et opprimés…
C’est la fameuse lutte des classes : Je te bute ou tu me butes
Le but étant de ne pas se faire buter
Et autant que faire se peut : faire partie de ceux qui butent et non de ceux qui débutent
Et se font toujours buter
Il y a de quoi déprimer de voir toujours les mêmes oppresseurs opprimer les mêmes opprimés
Les mêmes qui priment et oppriment et répriment…
Les oppresseurs qui n’ont pas d’autre but que d’opprimer…
Et les opprimés qui sont opprimés parce que qu’ils n’ont pas d’autre but dans la vie
que de ne pas se faire buter.
On peut l’exprimer autrement … cette fatalité…
Avec un terme plus approprié à l’actualité : le ravissement… du verbe ravir…
Verbe ambigu… parce qu’en ce moment, nous ne sommes pas ravis…
C’est le moins qu’on puisse dire.
Non, nous ne sommes pas ravis d’apprendre qu’il y avait ( yahvé… retenez l’homophonie)
Qu’il y avait un français parmi les ravisseurs.
Un Français qui s’en prend aux intérêts français… Ça peut encore se discuter… mais un français qui n’a d’autre intérêt que de livrer la France aux influences des étrangers… Ça ne passe pas du tout.
À moins de considérer que la nation, la patrie, la famille sont des maux qui ne veulent plus rien dire…
C’est du Kafka, nous n’avons plus à faire qu’à des identités illusoires ou dérisoires.
Plus aucun signe fiable d’appartenance… À chacun selon ses convenances
Un passeport pour chaque mission et pour chaque commission.
C’est la forme d’un fond de commerce : échange et mélange de marchandises et de matières grises.
Tout s’achète et tout se vend : c’est la devise… C’est ravissant!
Cette opposition entre ravisseurs et déprimés…
Qui ne sont jamais ravis d’être entre les mains de leurs ravisseurs mais qui ne peuvent malheureusement pas faire autrement.
Que de subir lamentablement l’avis de leurs ravisseurs.
Et ça nous en apprend pas mal sur la lutte des classes…
Sur cette lutte qui n’en est pas une…
Puisque les opprimés ne font souvent que subir l’oppression… sans pouvoir réagir…
Sous peine de se faire mourir
Lutte des crasses : le capitalisme est à ce titre identifiable à une regrettable prise d’otages…
Où les ravisseurs mêmes morts restent les seuls vainqueurs.
Parce qu’ils ont bravé la mort…
Mais surtout, parce qu’ils nous ont rappelé une petite leçon de choses:
Que nous sommes lâches ou héros de naissance. Et que les sorts sont scellés d’avance.
Salut, la France !

JE ME REPROCHE 27

REPROCHE.jpg

 

Je me reproche

De n'avoir fait

Qu'entrevoir

Quelques aspects

De la mystérieuse alchimie

De l'incessante osmose

Qui réunit

Certaines âmes

Rêvant d'éterniser

L'amour parfait.

DIDIER PITOT: "OPHELIE" (Arthur RIMBAUD)

 

 

DIDIER PITOT

"OPHELIE"

(Arthur RIMBAUD)


Ophélie, d’Arthur Rimbaud
Musique : Didier Pitot,

arrangement : Sabine Bienaimé
Chanteuse : Juliette Mélia
Avec : Amélie, Carole, Hélène, Marina (quatuor à cordes)
Production : Light in the face (Juliette, Marie, Didier)
Vidéo : Studieux de Boulogne

Merci pour votre appréciation !

 

LES DESCHIENS : "La dame du péage"

 

LES DESCHIENS 

"La dame du péage"


 

Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable

PERSONNAGES:

M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).

M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).

Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.

Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.

Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.

Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.

Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.


SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens



18/01/2013

PHRASES CULTES: "LA FRANCE A PEUR"

 

PHRASES CULTES

 

LA FRANCE A PEUR

  10/02/2010 - 01min15

 

 

Faire monter la peur, montrer la vérité nue, interviewer des Français inquiets... Quand la télévision réveille les sentiments des spectateurs, elle joue sur leurs émotions les plus profondes.

 

 

Production

 

Institut national de l'audiovisuel

Générique

 

Bras, Philippe

REPETITIONS DU "BOURGEOIS GENTILHOMME" ET DE "PATTE-MOUILLE" AVEC MICHEL GALABRU

 

 

REPETITIONS DU "BOURGEOIS GENTILHOMME" ET DE "PATTE-MOUILLE" AVEC MICHEL GALABRU

Actualités régionales Ile de France 

26/12/1981 - 02min59s

 

Morceaux choisis du magazine diffusé , ce soir, sur France 3 "Page 3 spectacles" sur l'actualité de Michel Galabru : il tourne actuellement "Le Bourgeois gentilhomme" de Roger COGGIO et répète " La patte-mouille" au théâtre de la Michodière. Interview de Michel GALABRU :" ce qui est passionnant dans le théâtre classique c'est l'étude des moeurs, des caractères ...il n'y a rien de plus drôle qu'un avare ...moi on me voit d'une certaine façon, le méridional ..tout ce que je n'aime pas .. ...le théâtre c'est mon métier, j'ai commencé par le théâtre , j'ai fait 7 ans de Comédie Française ...j'ai été au TNP ...le cinéma est venu après ...".Images du tournage du "Bourgeois Gentilhomme" de Roger COGGIO et divers plans des répétitions de "La pattemouille" de Michel LENGLINEY au théâtre de la Michodière .

 

Production

 

France Régions 3 Paris

Générique

 

Gautier, Marie Claire

 

Galabru, Michel

LE JOURNAL DE PERSONNE: " Le Béni et le Mali "

Femme magnifique à l'intensité hors-norme.

 Superbe et talentueuse...

  A l'écriture riche et précise.

  Il est important de ne pas passer à côté

  Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine! 

  http://www.lejournaldepersonne.com/  Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U

 

Tout est matière… surtout la matière !
C’est la raison pour laquelle on se fait la guerre…
Pour réconcilier nos deux hémisphères
Avec une vision totalitaire
Qui prétend à un droit et à un devoir planétaire
Liberticide ou libertaire ?
Qu’importe la manière
Au Mali, comme en Somalie, la matière est première
Pour évacuer l’esprit de la surface de la terre
L’univers n’a nul besoin de l’esprit pervers
La pensée unique est on ne peut pas plus claire !

Tout ce qui n’est pas à l’endroit est à l’envers
On peut tout réduire à un calcul binaire
1 point zéro : pour se soustraire à toutes les galères
Point de désirs que des besoins à satisfaire
Que des biens qu’on gère, que des maux qu’on digère,
Des intérêts et surtout pas de frontières.
Après l’âge d’or, un retour à l’âge de fer
Adieu à Dieu … parce que c’est le règne des lumières.

La vérité c’est pour demain, l’erreur c’était pour hier…
Sciences et techniques sont un seul et même repère
Un pour tous et tous dans la même souricière
Où ne s’en sortent que ceux qui obtempèrent
C’est la vie : on n’y gagne que ce qu’on y perd.

Dans le vice, l’ennui et le besoin on prospère.
Au terrorisme on déclare la guerre, parce qu’il n’y a rien d’autre à faire
Quand on se ment, quand on n’est pas sincère
Pour reconnaître que toute notre idéologie est déficitaire
En réalité nous ne pouvons plus gagner la guerre
Contre Dieu et ses indignes représentants sur terre
Parce que les bonheurs illusoires sont nécessaires
Pour la bonne marche de nos affaires
Oui, l’illusion est avant-première
Et toutes nos économies, bien derrière !

SE RENCONTRER ENCORE 8

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

8


Elle me fait face, comme acculée en des instants gorgés de failles qui traversent le vide et m'apostrophe sur un ton soudain rauque, comme en lutte contre une colère difficile à contenir...

-- «Ça suffit maintenant! Tais-toi! Tu ne comprends rien. Tu ne sais rien. Comme les autres quoi. Comme tous les autres. Ange un instant, démon le reste du temps.

Pas un pour racheter l'autre, pas un. La pureté, la passion, tu parles! Mon histoire à moi si tu veux le savoir, c'est l'histoire d'une passion imaginaire, fantasmée sûrement. En tout cas manquée. L'histoire d'un bonheur transformé en un vaste champ de ruines d'insatisfactions et de souffrances. L'enchantement et le désenchantement, tu comprends. Incomparable mouvement perpétuel s'il en est. De l'un à l'autre, tout le temps. Tu peux comprendre ça toi? Moi non. Je n'en peux plus d'errer dans l'illusion chaotique des sentiments incertains.

Tu y crois toi à l'amour comme ultime remède? J'y croyais moi aussi, naïve nourrie au biberon d'illusions. Un reste de niaise culture d'un pseudo-romantisme, probablement! Mais il n'en est rien bien sûr, et tu le sais comme moi. Mon histoire à moi n'est rien d'autre que la chronique d'une attente déçue, d'une promesse non-tenue. Qui n'aura jamais le temps de l'être, je le sais. Il n'y aura pas d'autres aurores! Mes espoirs, désormais périmés, ne ressusciteront pas les promesses de l'aube....»

(A SUIVRE...)

 

17/01/2013

PHRASES CULTES: "Chasse à courre en campagne - 1er tour"

 

PHRASES CULTES

 

Chasse à courre en campagne - 1er tour

10/02/2010 - 01min23s

 

Les petites phrases prononcées par les candidats lors des campagnes électorales révèlent leurs stratégies. Tandis que certains s'adressent à leurs électeurs les yeux dans les yeux, d'autres partent à la chasse aux voix.

 

Production

Institut national de l'audiovisuel

Générique

Bras, Philippe
 

IKE ET TINA TURNER: "HONKY TONK WOMEN"

 

IKE ET TINA TURNER

"HONKY TONK WOMEN"

GALA DU MIDEM 

24/01/1971 - 03min05s


Sur la scène du Palais des Festivals de Cannes, Ike et Tina TURNER, accompagnés des Ikettes et d'un orchestre, interprètent "Honky tonk women".

 

Production

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

Sangla, Raoul
Turner, Tina ; Turner, Ike
 

REPETITION DE "LA FEMME DU BOULANGER"

 

 

REPETITION DE

"LA FEMME DU BOULANGER"

Midi 2 

12/09/1985 - 01min52s

 

 

Au théâtre Mogador, Jérôme SAVARY met en scène "La femme du boulanger" de Marcel PAGNOL avec Michel GALABRU et Valérie MAIRESSE. Extrait de la répétition...

 

Production

 

Antenne 2

Générique

 

Pagnol, Jean

 

Savary, Jérôme

 

Galabru, Michel ; Mairesse, Valérie

SE RENCONTRER ENCORE 7

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

7


-- «C'est bon, je vois! C'est plus grave encore que je le pensais. Et par conséquent, c'est plus grave que tout. Donc, il s'agit d'une déception amoureuse, c'est ça n'est-ce pas?

Décidément, la foi de l'humain au dieu amour n'est pas prête à s'amenuiser dans l'éternité qui lui semble expressément réservée avec un souci du perpétuel recommencement qui devrait tout de même commencer à nous laisser, si ce n'est perplexes, à tout le moins songeurs. Pourtant, ça n'est pas faute de le savoir, ce bel objet de tentation sait aussi se faire fuyant, triste et insatisfaisant.

Constatons à quel point, hormis c'est vrai quelques passions essentielles, certes, mais si souvent éphémères, il lui arrive d'apparaître âpre, besogneux voire cynique. Comment nous y prenons-nous, dites-moi, pour trouver encore dans les ultimes décombres des humiliations successives l'énergie nécessaire à d'autres tentatives. Avouez tout de même le bien fondé de cette question-là! Qu'est-ce qui peut bien générer la force, la cohérence et la belle intensité d'une rencontre impromptue s'identifiant d'emblée dans une nouvelle osmose?

Est-ce que cela tient de la violente disproportion qui s'insinue, suspecte, à l'embrasé de l'émotion, ou plutôt de la séduisante singularité procurée par l'infini trouble d'un désir naissant?»

(A SUIVRE...)