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06/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI VOULAIT PARDONNER AU VIOLEUR DE SA FILLE"

05/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT VU UNE VOYANTE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT VU UNE VOYANTE"

04/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'AMIE DE LA FEMME QUI ÉTAIT BATTUE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'AMIE DE LA FEMME QUI ÉTAIT BATTUE"

03/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "L'HOMME QUI ÉTAIT APOPATOPHOBE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI ÉTAIT APOPATOPHOBE"

02/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

01/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "LA FEMME QUI ÉTAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI ÉTAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

30/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE "LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

29/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LE PAPA DE LA PETITE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LE PAPA DE LA PETITE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

28/11/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ "

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

25/11/2013

RÉALITÉ SOUFFRANTE

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RÉALITÉ SOUFFRANTE


Au mur, les portraits de ces femmes enfermées avec,
Aux abords de la composante apparente de leurs visages,
La sinistre cache imposée qui semble les avoir dépouillées de toute personnalité.
Frontière surréaliste avec une humanité
Que l’on croirait définitivement promise à l’aridité.

Nous nous retenons trop souvent de hurler nos doutes.
Ceux, si indiciblement troublants et dérangeants qu’ils devraient,
Véhémence en fusion,
Allumer des incendies d’inquiétude et exacerber l’exacte sensation
De la lourde menace qui pèse sur nous tous.

Au mur, les portraits de ces femmes enfermées.
En comprenons-nous vraiment toute la signification ?
Il y a là, nous le savons, de quoi nourrir de nombreuses et intarissables réflexions.
Et nous rendons fréquemment compte d’injustifiables comportements.
Mais peut-on se satisfaire en de telles extrémités de nos faibles objections
Obscures, et parfois même cachées ?
Non! Alors nous devons, pour le moins, garder cet œil intransigeant
Qui cristallise toute la réalité souffrante.

Chacun se lasse inévitablement à naviguer dans le foisonnement
Souvent confus et agaçant d’une mauvaise conscience
Placée d’abord sous le signe du non accomplissement.
Dans la quête rassembleuse et pourtant solitaire,
Chaque individu avance à tâtons
Le long des franges accidentées de ses abîmes intérieurs.
Dans l’horreur intime de s’éprouver, souffrance ultime,

Étranger parmi les hommes.



Nous savons cependant avoir hérité d’irréfragables devoirs.
Alors, pourquoi ne nous éveiller que lorsque l’absurde exacerbé
Dans lequel nous vivons devient trop révoltant ?
Où quand s’exposent trop de manques, trop de fêlures,

Pour respirer encore avec légitimité dans une telle société,
Et que dans ces fissures trop connues de tous se glisse l’inéluctable du silence,
De l’errance et du traumatisme qui installe la mort.

Au mur, les portraits de ces femmes enfermées avec,
Aux abords de la composante apparente de leurs visages,
La sinistre cache imposée qui semble vouloir les dépouiller de toute personnalité.

Et, fixés dans les vôtres, leurs yeux suffocants de désespérance
Qui implorent d’attentes à devenir libres.
Comme ces mots là...



P. MILIQUE


08/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 23/09/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

23/09/2013

13/09/2013

ILS ONT PENSE POUR NOUS 29

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"Le meilleur des mondes

N'est pas un monde

Où l'on obtient ce qu'on désir,

Mais un monde

Où l'on désire quelque chose.

(Régis DEBRAY -- Philosophe)