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02/05/2016

DE LA PIERRE DE LUNE 1

au magma présent de l'écriture,

 

DE LA PIERRE DE LUNE

1



C'est le long d'un jour faste au cœur d'un printemps hésitant que cet ange de lumière lui est apparue tel un hommage vibrant au moment présent, et l'au-dehors, tout à s'est coloré de vermeil.
Fraîche et brûlante rose, fleur inattendue aux yeux d'indicible douceur, elle est jolie et gracieuse comme un oiseau céleste et se déplace d'un pas dansant, avec la majesté sensible de beaux mouvements légers. Perle vibrante extraite d'un éphémère saturé de quintessence.
Ces images-là ne s'oublient pas si vite!
Il la perçoit douce courbe infinie, indéfiniment devinée. Sa bouche la trahit de temps à autre dans l'inépuisable magie d'un sourire furtivement évocateur et ses yeux parlent le langage réservé de l'intense en inventant la respiration suspendue d'un ciel où il fait pur. Un ciel dans lequel, de ses mains extraordinairement belles et fines, initie la perspective étincelante d'un ballet arachnéen saturé d'élégance et de délicatesse qui esquisse d'improbables arabesques sur la cime des rêves.
Aucune autre n'atteint à la sensibilité frémissante de cette madone brune.
Comment pourrait-il laisser s'échapper ce précieux frisson d'émerveillement?

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

03/02/2016

ÉBAUCHE ABSTRAITE 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

ÉBAUCHE ABSTRAITE

2

 

Songer à l'assourdissant silence
D'une ville alanguie par la neige,
Imaginer l'affolante quiétude d'un miroir
Reflétant l'eau apaisée d'un ample frisson.

Peut-être viendra-t-il ce temps où il ne restera plus
Qu'à fêter, dans l'allégresse, le fait d'être juste vivant?

Mais pour ce faire, il va se révéler impératif de disposer,
Afin de dire l'autre et le précis, de mots qui n'existent pas.
Pour l'heure ça n'existe encore, dans mon tréfonds en colère,
Qu'à l'état d'ébauche abstraite et de lente éclosion en devenir.

(FIN)


P. MILIQUE

24/04/2015

LUEURS IRIDESCENTES 3

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LUEURS IRIDESCENTES

3

Les années accumulées servent à exprimer ce que devient la vie. Elles procurent la clef d'un mystère devant lequel on reste pour le moins circonspect. Celui-ci est le moment protée où l'on commence à distinguer l'esquisse d'un autre dans le reflet de soi-même. Il nous éloigne de tout ce dont il nous rapproche et livre chaque détail d'un tout dont une partie seulement ne renvoie d'évidence qu'à soi. Étranges arcanes.

La vie, encore elle, offre une délicieuse vue sur son coucher de soleil dans la tiédeur du soir. Il s'agit de profiter au mieux de ces dernières lueurs iridescentes. De se laisser aller aussi à se laisser parcourir par les ondes persistantes du désir à être. Avec, si possible, comme une ébauche de sourire aux lèvres.

(FIN)

P. MILIQUE

23/07/2014

ERREUR CONFUSIONNELLE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

ERREUR CONFUSIONNELLE

2

 

Jamais encore il n'avait reçu en plein cœur pareil cri d'un si bel être!

Comment aurai-il pu ne pas l'aimer?

 

Grâce à elle, le trouble s'est d'un coup installé dans sa vie.

Sa force, son dynamisme et son exceptionnelle beauté font déborder l'ensemble d'une grande douceur dans les rais éperdus de la lumière libérée. Et, au souffle fort du bonheur, s'éprouve le sentiment ensoleillée d'heureuses heures en devenir faites pour l'inaltérable. Ainsi, sans retenue, la vie s'offre au quotidien brûlant et sans trêve de l'amour.

Grâce à elle, le trouble s'est d'un coup installé dans sa vie.

Fatale erreur confusionnelle!

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

05/06/2014

SOUS LA PLAGE, LES PAVES! 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

SOUS LA PLAGE, LES PAVES!

2

 

Car il y a litanie des aspirations ordinaires trop souvent refoulées,

L’âcre répétition des désirs inassouvis par la routine qui les lamine.

Je la sens dériver peu à peu au long d’une nonchalance apathique,

Se décourager et s’enfoncer sans recours dans une lassitude dépressive:

C’est la difficulté du vivre qui tape à son cœur et elle paraît si fragile!

 

Comment parvenir à endiguer l’obstination de ce ressac en furie,

Se satisfaire de ces heures consumées en harmonies discordantes?

Comment accepter une vie de rivières bucoliques devenues torrents,

Une vie où les tensions s’exaspèrent dans une intensité grise et désolée?

 

C’en de tels instants que s’impose, dans une respiration d’éternité,

La salve de lumière poseuse de question sur le sens même de la vie.

(FIN)

 

P. MILIQUE

17/02/2014

JE M'ACCUSE 37

JE M'ACCUSE.jpg

 

JE M'ACCUSE

37

 

Je m'accuse

D'encore m'étonner

Que la maladie

Fasse le tri des gens

Autour de moi alors même

Que le membre absent

Se rappelle sans cesse

A leur souvenir gêné.

08/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE VOULAIT PAS ÊTRE DÉLOCALISÉ"

07/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI ETAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI ETAIT HARCELÉE SUR SON LIEU DE TRAVAIL"

06/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI AVAIT UN NODULE"

03/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LE PAPA DE LA PETITE FILLE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LE PAPA DE LA PETITE FILLE QUI AVAIT PERDU SON DOUDOU"

01/01/2014

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI NE PESAIT PAS LOURD DANS L’ÉTERNITÉ"

31/12/2013

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'AUDITRICE QUI ÉTAIT CONTRE L’ÉMISSION"

 

A VOTRE ÉCOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'AUDITRICE QUI ÉTAIT CONTRE L’ÉMISSION"