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01/11/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 10/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

10/10/2013

31/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 09/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER:

09/10/2013

30/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 08/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

08/10/2013

29/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 07/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

07/10/2013

28/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 04/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

04/10/2013

27/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 03/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

03/10/2013

21/10/2013

L'HORREUR PHOTOGRAPHIQUE ÉRIC BOUVET N'A RIEN VU EN SOMALIE "J'AI ÉTÉ INCAPABLE DE FAIRE DES IMAGES"

 

L'HORREUR PHOTOGRAPHIQUE
ÉRIC BOUVET N'A RIEN VU EN SOMALIE
"J'AI ÉTÉ INCAPABLE DE FAIRE DES IMAGES"

(2'15")

Éric Bouvet est photographe indépendant, publié dans les plus grands journaux comme Newsweek, VSD, Paris Match, Time, Stern, New York Times... A ses débuts il est en Somalie lors de la guerre civile et de la famine. Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise.

Enregistrements : avril 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Aude Laporte

03/09/2013

LA BOÎTE A LETTRES: DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

LA BOÎTE A LETTRES

DELPHINE INGRES AU FIGARO

 

Lettre autographe signée, probablement adressée à Philippe GILLE, datée du 27 juillet 1885, Paris.

Dix-huit ans après la mort de son époux, le peintre académique Ingres, sa seconde femme, Delphine RAMEL, veille au respect de sa mémoire. S’adressant au Figaro, elle désire « rectifier une assertion qui se propage dans les journaux et dans les mémoires artistiques à propos de la prétention que Mr Ingres montrait pour le violon, beaucoup plus, dit-on, que pour le pinceau ». Elle prie le journaliste de rétablir la vérité. Car jamais le violoniste amateur « n’a eu la prétention de se poser en virtuose ». Cette passion musicale, en dehors de son activité professionnelle, a donné lieu à l’expression consacrée « avoir un violon d’Ingres », utilisée aujourd’hui pour désigner un passe-temps que l’on pratique avec ardeur.

07/07/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 18/02/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

18/02/2013

18/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "LES GRADINS DE LA DEMOCRATIE"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"LES GRADINS DE LA DEMOCRATIE"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée

 

JJ. Chirac – législatives de 2002
« Il faut avoir une action qui soit confortée par une vraie majorité. »

F. Fillon – législatives de 2007
« Mes chers compatriotes, l’élan est là. Mais il ne peut être concrétisé qu’avec une majorité présidentielle large, cohérente, et bien décidée d’aller de l’avant. »

F. Hollande – législatives 2012
« S’ils veulent ces réformes-là, s’il m’ont choisi, je pense qu’ils auront à cœur d’accorder une majorité large, solide, cohérente, au Président de la République.
– Merci monsieur le Président. Deux images de sport pour terminer avec d’abord un ciel toujours aussi bleu sur le tennis français aujourd’hui à Roland-Garros… »


Où l’on retrouve notre envoyée spéciale
Qui semble littéralement captivée par la finale…

Eh oui quelle pression
Inimaginable
Rien que des champions
Le suspense est intenable
On a beau se maîtriser
Faire des efforts sur soi
On ne peut pas s’empêcher
D’avoir le cœur qui bat

Dans les gradins
De la démocratie
Ça va, ça vient,
Mais tout le monde ici
Est transporté
Par une simple question :
Qui va gagner… les élections ?

On en rêve la nuit
On se réveille en nage
On a bien dormi
Pendant le redécoupage
On n’avait pas prévu
Des circonscriptions
Aussi biscornues
En compétition

Dans les gradins
De la démocratie
Ça va, ça vient,
Mais tout le monde ici
Est transporté
Par une simple question :
Qui va gagner… les élections ?

La balle brune reblondit
Quand les bleus se divisent
L’accord vert se ternit
Le rouge lui, s’électrise
Un problème essentiel
A la une des journaux :
La rose versera-t-elle
Du vin dans son eau ?

Dans les gradins
De la démocratie
On se demande
Parfois aussi :
Le Roi sera-t-il roi ?
Et pourra-t-il régner ?
Aura-t-il sa majorité ?
Absolue ?
Ou Relative ?
Absolue ?
Ou Relative ?

Avec un Président
Si fraîchement élu
Le gouvernement
Ne joue pas en terre battue
Bref, vous l’aurez compris
On dirait que tout arrive
C’est la ferveur ici
Pour les législatives…

[citation J.-M. Ayrault]
« il faut donc donner une majorité au changement »

[le public]
Ouais !!!

13/05/2013

ARTHUR RIMBAUD, « ROMAN » (1870)

 

ARTHUR RIMBAUD

« ROMAN » (1870)

Lu par Félicien Juttner

 

Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue » 

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »

12/05/2013

ARTHUR RIMBAUD, « LES EFFARES» (1870)

 

ARTHUR RIMBAUD

« LES EFFARES»

(1870) 

Lu par Adeline d'HERMY

 

 

Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue » 

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »