13/08/2013
LES LIVRES DE MA VIE : MICHEL AUDIARD
LES LIVRES DE MA VIE
MICHEL AUDIARD
Bibliothèque de poche
12/08/1969 - 16min11s
Michel AUDIARD reçoit Michel POLAC, chez lui, pour lui parler de ses lectures. Il confie qu'il lit moins qu'à une époque, faute de temps. Son choix de lecture se porte actuellement vers des séries noires car elles constituent souvent de bons thèmes de films. Il qualifie sa culture " d'hétéroclyte ", et se remémore ses premières lectures, remontant à l'âge de douze ans, mettant en scène les personnages de Harry DICKSON et Nick CARTER, puis, il a été séduit par le style de Marcel PROUST, et celui de Louis ARAGON dans "Les beaux quartiers". En revanche, il n'aime pas le style d'Emile ZOLA. Il découvre plus tard avec plaisir l'oeuvre de Jules VALLES, puis celle d'Arthur RIMBAUD, qui fut sa première admiration. A une période de sa vie, il se mit à lire les livres "qu'il faut avoir lu" dit-il. Il ne comprend pas que Georges SAND soit considérée comme un grand écrivain. En découvrant Louis-Ferdinand CELINE, il eut une révélation, et s'est dit qu'il pouvait écrire. Il se lança ensuite dans la lecture de la nouvelle - il cite les récits de Damon RUNYON, Ring LARDNER. Georges SIMENON est, selon lui, un grand écrivain ; il aime tout particulièrement son livre méconnu, "Les clients d'Avrenos".Il évoque ses différents métiers : porteur de journaux, soudeur, opticien.
Production
Générique
17:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, michel audiard, les livres de ma vie, livre de poche, réception, michel polac, parloir, lecture, confier, confiance, épopée, époque, faute de temps, choix de lecture, portrait, actualité, série noire, constitution, bonheur, thème de film, qualifier, culture, hétéroclite, se remémorer, première lecture, remontrance, agiter, mettre en scène, personnage, harry dickson, nick carter, séduire, séduction, stylistique, marcel proust, louis aragon, les beaux quartiers, en revanche, aimer, émile zola, découvrir, attardé, avec plaisir, ouvrager, jules vallès, arthur rimbaud, primauté, admiration, période de sa vie, se mettre à lire
09/07/2013
ARTHUR RIMBAUD: "POESIE VOYELLES "
ARTHUR RIMBAUD
"POESIE VOYELLES "
Poème "Voyelles" d'Arthur Rimbaud mis en images sur une mazurka de Fréderic Chopin
05:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, poésie voyelles, mettre en images, mazurka, frédéric chopin, s'approcher, guetter, porche, cachotterie, boîte aux lettres, patchwork, perdre la tête, lettre d'amour, aveux complets, lancer des caillous, insurrection, résurgence, cataclysme, enfer, abyssal, ivresse, pénitence, pourpre, colère, sang;lèvres, lévrier
13/05/2013
ARTHUR RIMBAUD, « ROMAN » (1870)
ARTHUR RIMBAUD
« ROMAN » (1870)
Lu par Félicien Juttner
Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue »
Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »
23:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, patrick milique, les effrés, adeline d'hermy, inqualifiable, contrées, ardennaise, farine, boue, la guerre éclate, prendre le train, paris, assister, la chute d'un empire, rapatrier, charleville, détenteur, titre de transport, chercher en vain, s'employer, journal, charleroi, se diriger, bruxelles, douai, époque, vagabondage, poème, cabaret, buffet, hiver, définir, voleur de feu, inconnu, dérégler, s'encrapuler, se conduire, manière scandaleuse, bouleverser, défigurer, beauté, réinventer, amour, tendresse, roman, félicien, juttner, nicolas sassagneau, nico and co
12/05/2013
ARTHUR RIMBAUD, « LES EFFARES» (1870)
ARTHUR RIMBAUD
« LES EFFARES»
(1870)
Lu par Adeline d'HERMY
Arthur RIMBAUD est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue »
Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'était pas détenteur d'un titre de transport –, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour »
23:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, patrick milique, les effrés, adeline d'hermy, inqualifiable, contrées, ardennaise, farine, boue, la guerre éclate, prendre le train, paris, assister, la chute d'un empire, rapatrier, charleville, détenteur, titre de transport, chercher en vain, s'employer, journal, charleroi, se diriger, bruxelles, douai, époque, vagabondage, poème, cabaret, buffet, hiver, définir, voleur de feu, inconnu, dérégler, s'encrapuler, se conduire, manière scandaleuse, bouleverser, défigurer, beauté, réinventer, amour, tendresse
19/01/2013
DIDIER PITOT: "OPHELIE" (Arthur RIMBAUD)
DIDIER PITOT
"OPHELIE"
(Arthur RIMBAUD)
Ophélie, d’Arthur Rimbaud
Musique : Didier Pitot,
arrangement : Sabine Bienaimé
Chanteuse : Juliette Mélia
Avec : Amélie, Carole, Hélène, Marina (quatuor à cordes)
Production : Light in the face (Juliette, Marie, Didier)
Vidéo : Studieux de Boulogne
Merci pour votre appréciation !
04:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, didier pitot, ophélie, arrangement, sabine bienaimé, chanteuse, juliette mélia, quatuo à cordes, amélie, carole, hélène, marina, production intensive, light in the face, juliette, marie, didier, vidéothèque, studieux de boulogne, merci pour votre appréciation
30/12/2012
Détroit TheBAND : "Sensation" (Arthur RIMBAUD)
Détroit TheBAND
Sensation
(Arthur RIMBAUD)
Ce poème de Rimbaud parle de l’intimité charnelle que l’homme peut trouver dans la nature. Une relation au-delà des mots et de la raison, un paradis originel d’avant la chute, toujours accessible pour qui le cherche.
J’aime y voir un hymne d’espoir et une méditation, une prière pour les jours où l’été est justement loin, où la solitude, l’enfermement sont absolu.
Aller loin, avec l’amour infini dans l’âme.
Pour citer un autre géant de la poésie française :
« la nature est un temple où de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles, l’homme y passe au travers d’une forêt de symboles »
04:21 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, détroit thband, sensation, arthur rimbaud, poème, parloir, intimité charnelle, humanité, trouver dans la nature, relation, au-delà des mots, aimer à perdre la raison, paradis originel, avant la chute, accessibilité, rédustion, chercheur, rythme, hymne, espoir, méditation, prière, jour d'été, éloigner, solitude, enfermement, absolu, aller loin, amour indini, âme, citation, géant de la poséie française, templiers, vivant, pilier, laisser, sortir, paroles confuses, passer au travers, forêt, symbolique
21/11/2012
BENJAMIN BORDERIE: MEDLEY DES "ILLUMINATIONS" (Arthur RIMBAUD)
BENJAMIN BORDERIE
MEDLEY DES "ILLUMINATIONS"
"Paris", "Le balai", "Exil", "L'Angelot Maudit"
(Arthur RIMBAUD)
Medley des "Illuminations" dArthur RIMBAUD sur une instru d'Oxmo Puccino
01:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, les illuminations, paris, benjamin borderie, medley, le balai, exil, l'angelot maudit, instrumental, oxmo puccino, rap, archiviste, contribution, ceminement, twitter, facebook, message
26/07/2012
Clément LEFORESTIER "Le Dormeur du Val" (Arthur RIMBAUD)
Clément LEFORESTIER
"Le Dormeur du Val"
Arthur RIMBAUD
Un poème magnifique que j’accompagne au piano…
01:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, arthur rimbaud, clément leforestier, danser un tangi, le dormeur du val, poème magnifiqe, fraçois béranger, hubert-félix thiéfaine, bandonéon, prison, leurre, chasser nos démons, baillonner la peur, chanter c'est survivre, déboussoler, piétiner
21/07/2012
Vincent NORMAND: "Le dormeur du val" (Arthur RIMBAUD)
Vincent NORMAND:
"Le dormeur du val"
(Arthur RIMBAUD)
"Ce poème est composé de quatre strophes.
Dans la première strophe, l’auteur décrit une atmosphère paisible dans un petit val: c’est pour cela que j’ai voulu mettre en évidence cette ambiance douce à travers une musicalité feutrée du charango et d’une guitare acoustique.
Dans la seconde strophe, nous découvrons le corps d’un jeune soldat, inerte au sol et gisant dans ce paysage qui semblait si calme au début: afin d’illustrer les tumultes lointains de la guerre, la musique apparaît plus intense avec l’introduction d’une basse et d’un jeu plus rythmique de la guitare et du charango.
Dans la troisième et la quatrième strophe, les antithèses évoquées par l’auteur viennent souligner le paradoxe entre la douceur du décor et la détresse du personnage: la substitution du charango par une mandoline permet ainsi de donner un ton bouleversant à l’histoire. Quant à la voix, elle s’intensifie davantage dans le but d’exprimer la colère de l’auteur.
Le dernier vers relate explicitement la mort du soldat et nous noie dans une profonde tristesse.L’absence de musique permet non seulement de marquer cet arrêt mais également de mettre en avant le contraste entre l’annonce funeste et le décor d’un éden qui semblait si invulnérable au mal."
01:12 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, vincent norment, le dormeur du val, arthur rimbaud, poème, composition, strophe, décrire une atmosphère paisible, petit val, mettre en évidence, abiance douce, musicalité feutrée, charango, guitare acoustique, découvrir le corps, jeune soldat, inerte et gisant au sol, paysage calme, illustrer les tumultes lointains, guerre, musique, paraître plus intense, introduction, guitare basse, jeu rythmique, antithése, évocation, souligner le paradoxe, la douceur du décor, la détressse du personnage, substitution, mandoline, ton bouleversant, historique, s'intensifier, exprimer la colère, relater la mort du soldat, noyer dans une profonde tristesse, marquer un arr^t, mettre en avant, contraste, annonce funeste, éden, invulnérable au mal
26/06/2012
Paul FARGIER: "ROMAN" (Arthur RIMBAUD)
Paul FARGIER: "ROMAN" (Arthur RIMBAUD)
On n’est pas sérieux quand on a 17 ans… Tout est dit…! La jeunesse, l’insouciance, le premier amour, les cafés… l’ivresse de la poésie…
Nous espérons dans cette version défendre le « Tout est possible », tout est énergie, passion et exaltation… Le temps passe, les amours passent, mais doivent rester au plus profond l’absolu, la pureté et l’insouciance… Non, non… On n’est pas sérieux quand on a 17 ans… Non, non…!
22:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, paul fargier, arthur rimbaud, romancer, on n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans, jeunesse, insouciance, premier amour, les cafés, l'ivresse de la poésie, espérence, version, défendre, tout est possible, énergique, passionné, exalter, le temps passe, les amour passent, rester au plus profond toucher à l'absolu, pureté