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05/05/2016

DE LA PIERRE DE LUNE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

DE LA PIERRE DE LUNE

4

 

On aime comme on est au grand jour de la vie!


A l'entier d'un ciel tout de doré, elle est la source du matin et aussi celle du soir. De son cœur en présomption d'absolu, il est désarmé et donc sans résistance face aux fièvres exquises d'un sentiment fiévreux en latence. Il faut dire que tout ce qui vient d'elle le touche et le bouleverse.


Elle enchevêtre son cœur au sien, pose son visage épanoui d'apaisement sur sa poitrine. Elle rit du très vif plaisir d être avec lui dans la réalité assumée d'une onde, d'un flux, d'un abandon. Et c'est le bonheur éprouvé du temps qui passe, fulgurance immobile, figé dans le ravissement l'un de l'autre.

Elle est axe de vie qui, de son indispensable présence abolit le temps. Battement d'ailes harmonieux de l'ode-là.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

31/08/2015

NOCES FLAMBOYANTES

au magma présent de l'écriture,

 

NOCES FLAMBOYANTES



En route pour l'accomplissement de leurs vies
Elle, Lui, Eux unis dans de flamboyantes noces
Par de nobles urgences intimes tendues d'émois.

Et puis l'Autre mêlé au dédale de ses sentiments,
A cette heure exacte où la luminosité fragmentée
Devient caresse dorée, libérant l'énergie essentielle
D'une intense émotion bien trop longue à s'évaporer.

P. MILIQUE

18/03/2015

UN GRÉSILLEMENT D’ÉTOILES

au magma présent de l'écriture,

 

UN GRÉSILLEMENT D’ÉTOILES



Jamais il n’aurait osé supposer qu'elle puisse l'aimer un jour…
Et pourtant, en une flambée de braises, elle lui a offert son amour.
L'aria de la vie s’harmonise parfois ainsi de mélodies ensoleillées.

Depuis ce jour inespéré, il s’éprouve dans le plein vertige d’aimer,
Et il vit dans cet amour d'elle au plus près de ses fervents ressentis.
Il voit, il entend, et il est tellement riche de ce qu'elle lui propose
Que chacune de ses pensées vers elle grave une marque indélébile
Dans la chair du temps, tant il fait bon être avec elle à partager le jour.

Il a si confiance en cet amour qui change chaque aube grise en jour doré!
Il est comme la flambée savoureuse du bleu lourd et pur d’un ciel d’été,
Un clin d’œil printanier, un soleil qui mûrit et un grésillement d’étoiles.
Dans l’irréversible émanation née d’une puissante aspiration mutuelle.


P. MILIQUE

28/01/2015

L'AIMER MIEUX

au magma présent de l'écriture,

 

L'AIMER MIEUX

On l'a souvent entendu dire qu’il voudrait tant l’aimer mieux
Mais, dans le froissé des choses, en est-il vraiment capable ?

Il a tant besoin d’elle. Il se gorge d’elle, se nourrit d’elle.
Il l’éprouve en son cœur exalté, au plus profond de son être.
Il l’aime si fort qu’il ne la voit qu’avec les yeux de l’amour.

Au creux de sa conscience elle est son incessante préoccupation.
Sans cesse il pense à elle, onde tamisée dans l’infini qui l’entoure.
Il veut la couvrir d’ardents baisers-soleil, de doux baisers-tendresse,
De voluptueux baisers-caresse déposés en chapelet d’émotions dorées.

Un jour sera qui les observera s’aimer aux heures immobiles du soleil qui,
D’un éthéré de papillon, rendra l’horizon aussi calme qu’une mer sereine.

P. MILIQUE

04/01/2015

INSCRIT DANS NOTRE CIEL 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

INSCRIT DANS NOTRE CIEL

2

Je t‘aime à me hisser hors du temps, à donner forme audible à l’invisible.
Je t’aime parce que tu es et que tu as redonné de la fluidité à mon horizon.
Je t’aime parce qu’au rebord du jour tu es femme lumineuse et flamboyante.

Tu as inscrit dans mon ciel d’habitudes de fabuleux trajets magiques
Tout en nuances et en poésie de pépites dorées soucieuses d’éternité
De cette poésie qui naît dans le flot de feu continu d’où sourd l’essentiel
Une poésie de vie, génératrice d’émotions diaphanes et de fleurs épanouies.

(FIN)

P. MILIQUE

30/03/2014

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 26/03/2014

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

  26/03/2014

12/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

Oui… je suis la vache qui rit

Ce que je cherche ici ? C’est ça ta question Zarathoustra ?

La même chose que ce que tu cherches toi, à savoir le bonheur sur terre.

Et je ne l’ai pas trouvé ailleurs qu’auprès des vaches…

En effet, c’est auprès d’elles que j’ai appris à ruminer… avec mon nez illuminé.

 

Oui je suis la vache qui n’eut plus envie de rire…

Qui eut honte de sa richesse et des riches et qui s’enfuit vers les plus pauvres pour leur faire don de son trop plein de bonheur et de saveur…

Mais les pauvres ne l’ont pas accepté… ils l’ont rejeté comme ils rejettent  tout ce qui leur rappelle leur pauvreté.

Je vais finir par croire que le royaume des cieux n’est pas parmi les hommes mais parmi les animaux.

 

Oui je suis la vache qui ne rit plus…

Qu’est-ce qui m’a poussé, moi la gosse de riche vers les  pauvres ?

Ce fût le dégoût des plus riches!

Le dégoût des forçats de la richesse qui ramassent leur avantage dans les moindres balayures, les yeux froids et les pensées pleines de lubricité, le dégoût de cette canaille dont la puanteur s’élève jusqu’au ciel.

Le dégoût de cette populace couverte de dorure, falsifiée dont les pères furent des voleurs aux doigts crochus, des charognards ou des chiffonniers, complaisants aux femmes, lubriques, oublieux, odieux…

 

Oui je suis la vache qui n’a plus de raison de rire…

Entre les riches et les putains, il n’y a pas loin.

Entre les pauvres et les pantins, il n’y a pas loin.

Populace en haut, populace en bas!

Qu’est-ce que c’est aujourd’hui « pauvre » et « riche » ?

Cette différence, je l’ai désapprise. C’est du pareil au même…

Alors j’ai fui, loin, toujours plus loin… jusqu’à toi Zarathoustra.

10/08/2013

DUO BARBARA ET GEORGES MOUSTAKI : " LA DAME BRUNE "

 

 

DUO

BARBARA ET GEORGES MOUSTAKI 

  " LA DAME BRUNE "

Dim Dam Dom variétés

08/10/1967 - 03min54s

 

En plateau, Georges MOUSTAKI et BARBARA chantent en duo "La dame brune". Ils évoluent autour d'un piano, d'une guitare et de deux sculptures dorées. Ils s'enlacent à la fin de la chanson.

 

Production

 

Office national de radiodiffusion télévision française

Générique

 

Pires, Gérard

 

Moustaki, Georges

 

Moustaki, Georges ; Barbara-chanteuse