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25/11/2017

FIN DE SOIRÉE ACHEVÉE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

FIN DE SOIRÉE ACHEVÉE

4

 

Une voix-velours qui, ce matin, était proche du murmure.

Elle propageait une humeur de paix précieuse, douloureuse aussi.
Elle distillait avec une certaine obstination des mots porteurs de germes, quand chacun de ces mots se pare de la clarté proposée par une étincelle d'évidence.

Ainsi, dans le bouillonnant mouvement de la vie, mon chemin personnel se propose plus confortable.

 

Tu sais, je crois posséder en moi une capacité démesurée à la joie et à la tristesse.

Ce matin, seule la joie s'imposait, légitime.

Aussi, il ne m'est guère compliqué de t'avouer que ce message là, précisément, à brouillé mes yeux d'émotion.

Et de ça, je te l'assure, je n'ai même pas honte.
Absolument pas.

(FIN)

 

P. MILIQUE

27/02/2017

L’INFRUCTUEUX DU REFOULE

Le-marginal.jpg

http://alain1945.rmc.fr/

 

Bonjour et bienvenue à tous les passionnés de peinture. Les œuvres qui seront publiées sur ce blog, ont été réalisées par le peintre ALAIN. C'est un artiste autodidacte qui peint selon ses ressentis du moment. De nombreux thèmes seront abordés grâce à ses tableaux. J'espère qu'ils vous feront voyager et vous émerveilleront.

C'est parti, le voyage dans "Le monde en peinture" peut commencer. 

 

L’INFRUCTUEUX DU REFOULE



Il n’aime rien moins qu’être l’odieux
Dont il se nourrit avec avidité,
Mêlant avec délectation violence et cynisme.

Il n’y a jamais rien de cohérent en lui...
Promiscuité rigide au vivre de soi-même
Qu’il pense valider dans le bien fondé de sa marginalité
Entrecoupée de crise de panique et de démence
Qui, au moment éprouvé de la haine,
Le pulvérise en une ultime poussée de folie,
Ce sentiment d’exacerbé dans l’infructueux du refoulé!

Il sait qu’il ne trouera jamais la carapace
De l’immonde malsain qu’il est devenu
Alors, il reprend le fil tenace de ses hantises,
Abdiquant toutes ses velléités aux bas-fonds,
Dans l’espoir soutenu d’un temps présent qui s’ensevelit
Sous la terre gelée d’une trajectoire qui doit suivre son cours.

P.MILIQUE

23/01/2015

AVEC DES GRAINES D'UTOPIE 1

au magma présent de l'écriture,

 

AVEC DES GRAINES D'UTOPIE

1

Dans le tumulte sans fin de la vie, rien n'est possible lorsque l'espoir n'est pas! Certes il n'est pas indispensable au fait d'entreprendre, mais il encourage toute espèce de mutation novatrice destinée à cristalliser le désir d'une existence optimale.

Au quotidien, il est inconcevable de se soumettre à l'odieuse servitude des lendemains désenchantés. On a beau être parfois échaudé par la faillite répétitive de certaines expériences passées, la prégnance grandissante d'une situation qui désespère ne sera jamais un moteur pour nous conformer à l'ordre en cours d'établissement. L'espoir naît de ce constat précis: nous ne connaissons pas l'issue véritable de ce qui se trame aujourd'hui autour de nous! D'où l'impérieuse nécessité de se ménager les trouées de lumière initiatrices d'un âge d'or futur à inventer.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

17/03/2014

J'ACCUSE 40

J'ACCUSE.jpeg

 

J'ACCUSE 40

 

J'accuse

Les gouvernants

De tous les pays industrialisés

D'agir, dans la permanence,

En hypocrites odieux.

12/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"ADIEU LES RICHES, AU DIABLE LES PAUVRES!."

 

Oui… je suis la vache qui rit

Ce que je cherche ici ? C’est ça ta question Zarathoustra ?

La même chose que ce que tu cherches toi, à savoir le bonheur sur terre.

Et je ne l’ai pas trouvé ailleurs qu’auprès des vaches…

En effet, c’est auprès d’elles que j’ai appris à ruminer… avec mon nez illuminé.

 

Oui je suis la vache qui n’eut plus envie de rire…

Qui eut honte de sa richesse et des riches et qui s’enfuit vers les plus pauvres pour leur faire don de son trop plein de bonheur et de saveur…

Mais les pauvres ne l’ont pas accepté… ils l’ont rejeté comme ils rejettent  tout ce qui leur rappelle leur pauvreté.

Je vais finir par croire que le royaume des cieux n’est pas parmi les hommes mais parmi les animaux.

 

Oui je suis la vache qui ne rit plus…

Qu’est-ce qui m’a poussé, moi la gosse de riche vers les  pauvres ?

Ce fût le dégoût des plus riches!

Le dégoût des forçats de la richesse qui ramassent leur avantage dans les moindres balayures, les yeux froids et les pensées pleines de lubricité, le dégoût de cette canaille dont la puanteur s’élève jusqu’au ciel.

Le dégoût de cette populace couverte de dorure, falsifiée dont les pères furent des voleurs aux doigts crochus, des charognards ou des chiffonniers, complaisants aux femmes, lubriques, oublieux, odieux…

 

Oui je suis la vache qui n’a plus de raison de rire…

Entre les riches et les putains, il n’y a pas loin.

Entre les pauvres et les pantins, il n’y a pas loin.

Populace en haut, populace en bas!

Qu’est-ce que c’est aujourd’hui « pauvre » et « riche » ?

Cette différence, je l’ai désapprise. C’est du pareil au même…

Alors j’ai fui, loin, toujours plus loin… jusqu’à toi Zarathoustra.

12/09/2012

MÉTASTASE PLANÉTAIRE

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MÉTASTASE  PLANÉTAIRE

 

Totale confusion religieuse et culturelle

Qui embrase les métastases planétaires.

 

Il convient aux pacifistes de s’opposer

Avec la plus extrême vigueur possible

Aux intolérables et meurtriers conflits en cours

Qui n’existent que par le recours systématique

A une destructrice prise de pouvoir par les armes

Dans la profusion sans fin du sang versé

Et l’effacement immédiat et odieux de ce sang.

 

P. MILIQUE