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10/08/2013

LA BOÎTE A LETTRES: GEORGES SAND A FLAUBERT

 

LA BOÎTE A LETTRES

GEORGES SAND

A

FLAUBERT

09/08/2013

JULIETTE DROUET A VICTOR HUGO

 

JULIETTE DROUET

A

VICTOR HUGO

26/07/2013

J'AI LA CRISE LES BANQUES ATTAQUENT LA GRAISSE « JE SUIS DE PLUS EN PLUS CLAIRE »

 

J'AI LA CRISE
LES BANQUES ATTAQUENT LA GRAISSE
« JE SUIS DE PLUS EN PLUS CLAIRE »

(5'45")

La fille des Trente Glorieuses s'est bien gavé, maintenant elle va devoir payer. La crise économique est désormais dans notre chair. Le politique touche à notre histoire intime. Ce texte a été écrit le 29 avril 2013 pour une lecture publique "Work in Progress" au restaurant africain le Pitch Me, Paris XI.

Enregistrement : 16 mai 13
Texte : Silvain Gire
Voix : Eric Elmosnino
Réalisation : Arnaud Forest

30/06/2013

JEAN EN JUPONS: MAQUILLE ET TRAVESTI POUR LE CARNAVAL

 

JEAN EN JUPONS
MAQUILLE ET TRAVESTI POUR LE CARNAVAL
«J'ai juste une vieille robe pourrie »

(9’12’’)


A Dunkerque, Jean est élu (PS) au conseil général. Mais quand vient l'hiver, le vrai, en février-mars, il est surtout carnavaleux. 56 ans qu'il enfile ses douze jupons et son chapeau alourdi par les babioles. Maquillé, travesti, il sort faire la fête. Chanter, danser, boire avec les potes. Le carnaval de Dunkerque, c'est sacré.

Enregistrements : 10-12 février 13
Mise en ondes & mix : Arnaud Forest
Réalisation : Renée Greusard

23/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "LA ROUTE DES ETHYLOTESTS"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"LA ROUTE DES ETHYLOTESTS"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée


[citation J.- L. Borloo - LCI 2008]

On a pas été assez prévoyants
Comme d’habitude on s’y est pris trop tard
On n’a plus le choix vu que maintenant
C’est devenu obligatoire
On est prêts à faire tous les sacrifices
Même s’il faut y passer l’été
Avec mon mari, ma fille et mon fils
On veut savoir, on veut souffler !

On l’a cherché dans toutes les pharmacies
Les grandes surfaces et les stations essence
Il n’y en avait plus un seul dans tout le pays
Mais au moins on a découvert la France
Un petit ballon et nous voilà repartis
Du Nord au Sud ou d’Ouest en Est
Je ne sais plus par où mais je sais qu’on a suivi
La route des éthylotests (bis)

Ce qui est sûr c’est qu’on en a trouvé
Un peu partout sur le bas côté
Du Bichromate de Potassium
Par kilos si c’est pas par tonnes
Comme il paraît que c’est un poison toxique
Qui pollue les nappes phréatiques
On a décidé qu’avant de prendre l’auto
On ferait bien gaffe à ne plus boire d’eau

Dichromate de Potassium : K2Cr2O7
Matière très toxique ayant des effets immédiats graves.
Matière comburante, peut aggraver un incendie
Très toxique pour les organismes aquatiques, éviter le rejet dans l’environnement.
Corrosif, nocif par contact cutané. Provoque de graves brûlures et lésions oculaires
Sensibilisant, reprotoxique, mutagène, cancérogène.

On l’a cherché dans toutes les pharmacies
Les grandes surfaces et les stations essence
Il n’y en avait plus un seul dans tout le pays
Mais au moins on a découvert la France
Un petit ballon et nous voilà repartis
Du Nord au Sud ou d’Ouest en Est
Je ne sais plus par où mais je sais qu’on a suivi
La route des éthylotests (bis)

Il y en a parterre sur les aires de repos
Les enfant jouent, c’est rigolo
Ils collectionnent les petit tubes jaunâtres
En essayant de les rendre verdâtres
Quand on pense qu’il y en a qu’ont des doutes
Sur le test et sa fiabilité
Les gens connaissent le code de la route
Et quand c’est vert, ben il faut y aller !

On l’a cherché dans toutes les pharmacies
Les grandes surfaces et les stations essence
Il n’y en avait plus un seul dans tout le pays
Mais au moins on a découvert la France



Je vais vous prendre un éthylotest avec deux glaçons s’ils vous plait.
Et les petits qu’est-ce que vous voulez ?
Moi je voudrais un éthylotest à la menthe
Et moi à la grenadine
D’accord, et chéri qu’est-ce que tu prends ?
Pour moi ce sera un éthylotest frappé.

Un petit ballon et nous voilà repartis
Du Nord au Sud ou d’Ouest en Est
Je ne sais plus par où mais je sais qu’on a suivi
La route des éthylotests (bis)

22/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 15/02/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

15/02/2013

14/05/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 14.05.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

14.05.2013

03/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "ABSENCE"

 

GABRIELA MISTRAL 

"ABSENCE"

Lu par Sylvia BERGE

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES

02/05/2013

GABRIELA MISTRAL : "BOIRE"

GABRIELA MISTRAL 

"BOIRE"

Lu par DANIELE LEBRUN

 

Poème extrait du receuil D'amour et de désolation, traduit de l’espagnol par Claude COUFFON (© ELA/La Différence 1988

 

Gabriela MISTRAL est née en 1889 au nord du Chili dans un monde rural et catholique. Très jeune, elle enseigne, traverse le continent et publie ses premiers recueils dès les années 1910. Elle est l’un des premiers auteurs latino-américains à puiser dans l’héritage indien. Sa vision de la douleur humaine reste liée au christianisme, mais elle déploie un sens du cosmos qui n’a rien d’européen. Ses poèmes se font l’écho de ses amours brisées, de ses enfantements impossibles et vibrent de la force tellurique du continent sud-américain. Dans les années 20 et 30, poétesse reconnue et traduite, elle séjourne aux Etats-Unis et en Europe. En 1945, elle est le premier auteur latino-américain à recevoir le prix Nobel de littérature.

 

Poèmes choisis par Philippe GARNIER

Prise de son, montage : Claude NIORT, Pierre HENRY

Réalisation : Anne-Pascale DESVIGNES