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17/11/2013

AILES D’ÉPHÉMÈRES

colibri.jpg

 

AILES D’ÉPHÉMÈRES

 

Quand le langage hésite dans le temps,

Que la phrase reste en suspend et nous avec

Pour glisser dans un mystérieux monde parallèle à la mort.

 

Les ressassements ne suffisent plus

Dans l’étonnant durable du non maîtrisé

Qui donne, comme fière, sa langue en spectacle.

 

Lorsque vient l’attendu de nouvelles pensées,

Il est urgent d’ouvrir la fenêtre au chapitre des joies

Et, de donner raison à ces oiseaux aux ailes d’éphémères.

 

Qu’ils lèvent une poussière d’or absolument légère,

Nimbée du halo lumineux qui exalte la vie

Comme ces chants d’amour oubliés aux ferveurs extrêmes.

 

P. MILIQUE

14/11/2013

AILES D’ÉPHÉMÈRES

HALO LUMINEUX.jpg

 

AILES D’ÉPHÉMÈRES

 

Quand le langage hésite dans le temps,

Que la phrase reste en suspend et nous avec

Pour glisser dans un mystérieux monde parallèle à la mort,

Les ressassements ne suffisent plus

Dans l’étonnant durable du non maîtrisé

Qui donne, comme fière, sa langue en spectacle.

 

Lorsque vient l’attendu de nouvelles pensées,

Il est urgent d’ouvrir la fenêtre au chapitre des joies

Et, de donner raison à ces oiseaux aux ailes d’éphémères.

 

Qu’ils lèvent une poussière d’or absolument légère,

Nimbée du halo lumineux qui exalte la vie

Comme ces chants d’amour oubliés aux ferveurs extrêmes.

 

P. MILIQUE

11/11/2013

CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE 3

 

au magma présent de l'écriture


A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE

3


Entend, le vent caresse les arbres dans un chuchotis de feuilles,

Vois, et goûte la lumière qui s'épanouit en couleurs accumulées.

Peu à peu, une poussière d'or se blottit dans les bras du soleil,

Une nuée d'oiseaux taquins offre une chorale au sourire des choses

Tandis qu'une fanfare de cigales stridulantes exhorte à vivre,

Partout alentour, l'innocente dentelle des fleurs prend forme

Dans l'éclaté ivre et pétulant de leurs pétales arrogants

Exhalant un souffle lourd d'un parfum venu d'étoiles invisibles...

 

Qui dès lors oserait prétendre en toute conscience

 Que la vie ne vaut pas la peine d'être vécu encore?

 

Il n'y a pas de vie sans vie dans la main épaisse du temps...

Elle exige juste de dilater sa part d'espace et d'infini

Et c'est l'aimer que de la conjuguer au présent jusqu'à toujours.

 (FIN)


P.  MILIQUE 

10/07/2013

YVES JAMAIT "C'EST BEAU LES FILLES" AU THÉÂTRE DES LICES ALBI

(Captation Personnelle)

 

 

 

YVES JAMAIT

 

"C'EST BEAU LES FILLES"

 


 

AU THÉÂTRE DES LICES

 

ALBI

 

LE 5 JUILLET 2013


09/07/2013

YVES JAMAIT MARQUITO "SOLO DE BATTERIE" ET "Y EN A QUI?"

(Captation Personnelle)

 

YVES JAMAIT


MARQUITO

  "SOLO DE BATTERIE"

ET

"Y EN A QUI?"


AU THÉÂTRE DES LICES

ALBI

LE 5 JUILLET 2013

08/07/2013

YVES JAMAIT: "JEAN-LOUIS" AU THÉÂTRE DES LICES -- ALBI

(Captation Personnelle)

 

YVES JAMAIT 

"JEAN-LOUIS"

AU

THÉÂTRE DES LICES

ALBI

LE 5 JUILLET 2013

11/11/2012

AILES D'ÉPHÉMÈRES

AILES D'EPHEMERES.jpeg

 

AILES D'ÉPHÉMÈRES

 

Quand le langage hésite, incertain dans le temps,

Que la phrase reste en suspend, et nous avec

Pour glisser dans un mystérieux monde parallèle,

Parallèle à la vie, parallèle à la mort...

 

Les ressassements ne suffisent désormais plus

Dans l'étonnement durable d'un flou non-maîtrisé

Qui donne, comme fier, sa langue en spectacle.

 

Lorsque vient l'attendu de nouvelles pensées,

Il est urgent d'ouvrir la fenêtre au chapitre des joies

Et de donner raison à ces oiseaux ailés d'éphémères...

 

Qu'ils lèvent une poussière d'or extrêmement légère

Nimbée du halo lumineux, exaltée de vie d'éclats de rires

Comme ces chants d'amour oubliés aux ferveurs extrêmes.

 

P. MILIQUE