10/10/2015
MISE EN VEILLE 4
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
MISE EN VEILLE
4
S'autoriser à rêver, c'est souvent s'absoudre de préjugés rances parce que périmés. C'est assumer l'euphorie proposée par une drogue douce à même de lacérer nos crépuscules. C'est accéder, cœur ivre, à un soleil de merveilles et d'innocence. C'est entrer dans la beauté qui distille des essences d'amour serties d'évidences. Et l'existence de cet hypothétique no mans land justifie à elle seule la nécessité du rêve qui peut, et doit de ce fait, s'amplifier, y compris de manière diurnambule!
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
14:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, autorisation, rêver, serpent à sonnette, soutirer, absoudre, préjugés, rance, périmé, assumer, euphorie, proposition, drogue douce, méritoire, lacération, crépuscule, accession, ivre, soleil, merveille, prière, innocence, entrailles, béatifier, distiller, essence, amour, sertir, évidence, existence, hypothèqye, no mans land, justicier, nécessité, amplificateur, compréhension, manière, diurne, somnambulisme
10/10/2014
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
Le combat fait rage jour et nuit.
Obscénité d'une toux sèche qui déchire
Une respiration qui peu à peu s'épuise.
Admirable de volonté malgré l'épuisement,
La jeune femme épouvantée, ivre de son mal,
S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.
Dans le cri du silence recouvert par le bruit,
L'énergie se perd et lui laisse si peu de forces
Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.
P. MILIQUE
09:38 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, enfer, amant, mystère, optimisme, éloignement, combat, friandise, rage, détestation, obscénité, toux sèche, déchirure, respiration, admiration, volonté, épouvanter, ivre, gourou, canaille, tyran, mensonge, multinationale, cri, entrailles, diktat, énergie, à genoux, forcené, paix, reposer, enfantin, la clé du bonheur, travailler, esclave, traîner dans la boue, destruction, scrupule, saccager, héritage
06/09/2014
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
Le combat fait rage jour et nuit.
Obscénité d'une toux sèche qui déchire
Une respiration qui peu à peu s'épuise.
Admirable de volonté malgré l'épuisement,
La jeune femme épouvantée, ivre de son mal,
S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.
Dans le cri du silence recouvert par le bruit,
L'énergie se perd et lui laisse si peu de forces
Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.
P. MILIQUE
10:42 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, viral, éloigner, éloignement, combat, rage, jour et nuit, obscénité, toux sèche, déchirement, déchirer, respiration, peureux, épuiser, admirable, volonté, magnifier, jeunesse, féminine, épouvantail, ivre, maladie, mensonge, inutile, cri, silence, recouvrir, bruit, énergie, perdition, lasso, force, apparition, apaiser, repos, enfantillage
30/08/2014
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
LA VIE QUI S’ÉLOIGNE
Le combat fait rage jour et nuit.
Obscénité d'une toux sèche qui déchire
Une respiration qui peu à peu s'épuise.
Admirable de volonté malgré l'épuisement,
La jeune femme épouvantée, ivre de son mal
S'éloigne de la vie dans un mensonge inutile.
Dans le cri du silence recouvert par le bruit,
L'énergie se perd et laisse si peu de forces
Qu'elle paraît s'apaiser en un repos d'enfant.
P. MILIQUE
09:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, vie, s'éloigner, combat, combattant, fatum, rage, jour et nuit, obscénité, toux sèche, déchirer, déchirure, respiration, s'épuiser, admiration, volontaire, volonté, maigre, épuisement, jeunesse, familier, épouvanter, épouvantail, ivre, malt, mensonge, utilitaire, crier, silence, recouvrir, bruitage, énergie, perdurer, laisser, forcené, paraître, s'apaiser, reposer, enfantillage, adolescence, aduler
09/08/2014
DES ÊTRES INDISPENSABLES 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
DES ÊTRES INDISPENSABLES
2
Dans le confort inconnu de l'apaisement,
Le monde devient parfaitement frivole,
Hautement pittoresque et facétieux presque.
Enivrement croissant d'une rêverie au long cours
Qui rend perceptible la mélodie bruissante
Et troublante de l'air du temps.
La sensation est brut de moments lumineux,
Source infinie d'étonnements et de voluptés,
Subtile symbiose d'une vie qui fait patte de velours.
Il est des êtres indispensables
Révélateurs de sensations enfouies.
Ce sont des complicités de toute une vie...
(FIN)
P. MILIQUE
12:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, indisposition, confrotable, inconnu, apaisement, modernité, devenir, parfait, frivolité, hateument, pittoresque, facétieux, enivrer, ivre, croissant, rêveie, au long cours, rendre, perceptible, mélodie, bruissant, troubler, l'air du tmps, sensation, brut, moment, lumineux, source, infini, étonnement, volupté, subtile, symbiose, viral, faire patte de velours, révélateur, enfouir, complicité, saccade, cascade, vcute
19/03/2014
LE JOURNAL DE PERSONNE: "C'EST SELON.... OUM KALTHOUM"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"C'EST SELON.... OUM KALTHOUM"
Il vivait à mes crochets
Dormait le jour, veillait la nuit.
Il m’a vidé, me vidait, me vida…
De mon souffle, de mes larmes, de mon sang !
Juste pour m’éprouver ou me réprouver
Il était violent, quasiment toujours ivre
Il buvait et me le faisait payer.
Il passait son temps à me menacer de rompre le lien qui nous reliait
Parce qu’il était lui, parce que je n’étais que moi
Léger et pourtant il m’écrasait
Toujours mal habillé, mal luné, mal rasé…
Il m’entrainait vers le plus bas niveau de l’être…
En se faisant passer pour le plus haut niveau de l’être
Plus je le voyais grand, plus j’étais petite
C’est lui le joueur, c’est moi son jouet
Avec lui, tout était permis : La faiblesse, la lâcheté, la tromperie
Tout ce qu’il s’autorise, il ne me l’a jamais autorisé :
Les fugues, les méprises, et les dérives.
Il m’était impossible de vivre avec lui…
Impossible de vivre sans lui.
Et il savait tout l’impact qu’il avait.
Comme si c’était moi qui l’empêchais de rayonner, de jubiler…
Il était jaloux mais avait horreur de ma jalousie.
Envieux, il se dressait contre toutes mes envies
Faisait trembler la terre sur laquelle je mettais le pied …
Et partait à l’assaut du ciel que je priais.
Ma vie dépendait de la sienne.
Mais la sienne, je n’ai jamais su de qui, de quoi elle dépendait
Nous avons vécu, toujours entre la vie et la mort.
Lui à justifier ses morsures et moi à panser mes blessures
Le réel nous asphyxiait, l’air nous saoulait :
Tout était exigu, l’espace, le temps, les gens…
Et un soir il m’emmena dans une galerie souterraine
M’attacha les mains, me cloua au mur…
Et s’éclipsa sans le moindre murmure.
Là où je suis, personne ne me retrouvera, jamais…
Et comme je ne le dirai à personne…
Personne ne saura le nom de l’auteur de cet abominable forfait.
Je vous le dis, mais ne le répétez jamais …
Parce que je n’ai pas envie qu’il se fasse prendre
Mon bourreau s’appelle…
17:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, oum kalthoum, vivre aux crochets, dormir le jour, veiller la nuit, vider de son sang, soufflet, larmes, éprouver, réprouver, violent, ivre, boire, faire payer, passer le temps, menacer, rompre, ligoter, relire, léger, écraser, mal habillé, mal luné, mal rasé, entraîner vers le bas, niveler, joueur, jouet, permis, faiblesse, lâcheté, tromperie, autoriser, fugue, méprise, dérive
16/02/2014
LA RÊVERIE 4
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LA RÊVERIE
4
S'autoriser à rêver, c'est souvent s'absoudre de préjugés rances parce que périmés. C'est assumer l'euphorie proposée par une drogue douce à même de lacérer nos crépuscules. C'est accéder, cœur ivre, à un soleil de merveilles et d'innocence. C'est entrer dans la beauté qui distille des essences d'amour serties d'évidences. Et l'existence de cet hypothétique no mans land justifie à elle seule la nécessité du rêve qui peut, et doit de ce fait, s'amplifier, y compris de manière diurnambule!
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:34 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, rêveur, éveiller, autoriser, souvent, absoudre, préjugés, rance, rancoeur, périmé, périmètre, assumer, euphorie, amphigourie, proposer, proposition, drogue douce, méritoire, lacérer, crépuscule, crépusculaire, accéder, accession, coeur, ivre, ivresse, saoul, soleil, merveille, émerveillé, innocenter, entrée, beauté, distiller, distillerie, essence, amour, sertir, évidence, existence, hypothètique, hypothèse, no mans land, justifier, nécessité, pouvoir, devoire, fake, amplifier
11/11/2013
CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE 3
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
CE N'EST PAS ENCORE L'HEURE OU LE SOIR TOMBE
3
Entend, le vent caresse les arbres dans un chuchotis de feuilles,
Vois, et goûte la lumière qui s'épanouit en couleurs accumulées.
Peu à peu, une poussière d'or se blottit dans les bras du soleil,
Une nuée d'oiseaux taquins offre une chorale au sourire des choses
Tandis qu'une fanfare de cigales stridulantes exhorte à vivre,
Partout alentour, l'innocente dentelle des fleurs prend forme
Dans l'éclaté ivre et pétulant de leurs pétales arrogants
Exhalant un souffle lourd d'un parfum venu d'étoiles invisibles...
Qui dès lors oserait prétendre en toute conscience
Que la vie ne vaut pas la peine d'être vécu encore?
Il n'y a pas de vie sans vie dans la main épaisse du temps...
Elle exige juste de dilater sa part d'espace et d'infini
Et c'est l'aimer que de la conjuguer au présent jusqu'à toujours.
(FIN)
P. MILIQUE
09:42 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, entendre, le vent, caresser, arbres, chuchotis, feuillus, voir, goûter, lumière, s'épanouir, couleur, accumuler, peu à peu, poussière d'or, se blottir dans les bras, soleil, nuée d'oiseau, taquin, offrir, chorale, sourire, chose, tandis, fanfare, cigale, striduler, stridulence, exhorter à vivre, partout alentour, innocence, dentelle, fleur, prendre forme, éclaté, ivre, pétulant, pétulence, pétales, arrogance, arrogant, exalaison, souffle, lourd, parfum, venir, étoile, invisible
30/10/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: "AU DESSUS... Y A PERSONNE"
LE JOURNAL DE PERSONNE
"AU DESSUS... Y A PERSONNE"
Ce fut, si je me souviens bien
En l’an de grâce UN
La sibylle divine qui devine
S’écria, ivre sans vin
Malheur ! Malheur ! Malheur !
Tout à présent va de travers
Le remède et le venin
Décadence, déchéance, déclin
Jamais le monde n’a si bien rimé à rien
Rome s’est faite bordel et putain
Son César devint irréel
Et son dieu fils d’Israël
Nietzsche traduit par Personne
12:10 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, patrick milique, décadence - déchéance - déclin - la mauvaise pente - lejournalde, se souvenir, an de grâce, sibylle, divin, devinette, deviner, s'écrier, ivre, vin, malheur, présenter, présentation, aller de travers, remède, venin, décadence, déchéance, déclin, déclinaison, rimer, rime riche, ça ne rime à rien, rome, bordel, putain, césar, irréel, dieu, fils d'israël, nietzsche, personnifier