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04/12/2017

SUR LA POINTE DE L'ÂME 6

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

SUR LA POINTE DE L'ÂME

6

 

Cette solitude-là l'aura jeté à l'isolement, et sa grandeur mutilée n'est même plus à même de choisir ce qui, bientôt, le contraindra au quotidien.

Imagine ça!: serres monstrueuses et glaciales, cage rouillée des pleurs antécédents, ou cloche de verre opaque pour l'aveugler aux yeux de tous.

Tout cela maximise sa vulnérabilité nouvelle dont il ne parvient à explorer nulle anfractuosité.

Alors, l'âme désormais en charpie parce que criblée d'échardes, il tue le temps qui flanque sa lourde solitude.

 

Il va de soi que l'isolement excessif du solitaire peut provoquer des carences, et qu'il n'est pas sans réel danger.

Il est par ailleurs à considérer combien la solitude est un monde abstrait sans futur immédiat.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

18/04/2016

ULTIME RANDONNÉE 10

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

ULTIME RANDONNÉE
10

 

Greg tombe maintenant. Le cri épouvanté d'Edgardo s'estompe. Jusqu'à disparaître dans un silence épais, lourd. Un silence instantané. Un silence définitif et irrémédiable dans lesquels les rêves ne peuvent que se briser comme son corps qui chute, se fracasse en rebondissant de rochers en rochers. Dans une ultime et esthétique attitude, tel un pantin désarticulé, il termine sa fantastique cabriole ensanglanté. Déchiqueté. Sans vie. Le visage, lui, est resté étonnamment serein. Il paraît rassuré même, presque paisible. Souriant aussi. Outrageusement souriant. Il était si sûr qu'Edgardo le pousserait.

 

(FIN)

 

P. MILIQUE

26/10/2015

UNE POÉSIE A VIVRE

au magma présent de l'écriture,

 

UNE POÉSIE A VIVRE

Grâce à toi, la réalité s'est soudain amarrée au rêve.
Je t'aime toi, femme ensoleillée, ardente et radieuse.

Tu occupes mon espace. J'habite l'inouï de l'émotion.
Tu as inscrit au cœur de notre ciel de fabuleux trajets,
Magique de fluidité, toute en nuances et en prosodie.

Cette poésie puise sa source au flot assidu de l'essentiel.
Une poésie à vivre, génératrice d'un geyser de bonheur.

P. MILIQUE

01/03/2015

RESPIRE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

RESPIRE

2

Respire!
Qu'un souffle exhalé du tréfonds
Ravive l'éclat des pétales de vie.
Respire!
Qu'encore se détournent tes pas
Du la camarde qui déjà trépigne.

Le vide s'accroît aux paupières fermées.
J'ai le cœur à fleur de sensible et réceptif
A la caresse de chaque seconde accordée.

J'émets un soupir en guettant ton retour.
L'amère réalité est que ce souffle absolu
Est vital pour pour que l'espérance demeure
D'un tendre baiser donner. Un baiser de Mère.

(FIN)

P. MILIQUE

31/10/2014

FINALEMENT MORTEL 3

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

FINALEMENT MORTEL

3

Les années ont tassé sont corps et froissé son visage,
La peau s'est creusée de rides sur la main qui maintenant tremble.
Les yeux fixent le vide et en appelle au manque dans l'aride
Où elle l'évoque, gênée, de cette pudique tendresse
Qui incite à porter une attention toute particulière
A cette vieillesse comme ultime menace,
Comme un dernier combat à livrer a l'orgueil du temps
La nuit où n'en finissent pas de se crisper les rêves.

La vie blesse mais aussi grandit chaque infime d'un l'instant
Aux sanglots des heures qui s'écoulent, finalement mortelles.

(FIN)

P. MILIQUE

09/05/2012

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE 14 "EVALUONS LE QUOTIENT INTELLECTUEL DE BEETHOVEN

 

Evaluons le quotient intellectuel de Beethoven


La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède - 26/03/1983 - 01min20s

 

Pierre DESPROGES demontre que Beethoven n'était pas sourd, mais idiot.

 

 

Production

Agence, Paris : France 3


Générique

Fournier, Jean Louis
Desproges, Pierre