21/08/2014
FLÂNER SOUS LE BLEU DU CIEL 1
FLÂNER SOUS LE BLEU DU CIEL
1
Face à certains malheurs d'une proche histoire vécue
Qui se préparent déjà à l'affrontement du lendemain,
Face au sensible d'une réalité extérieure parfois muette,
Il convient de se retrouver, s'ouvrir aux rythmes du monde
Et d'exiger la reconnaissance d'autres vérités indélébiles.
Cela conduit nécessairement à des pratiques marginales
Et atypiques, à adhérer avec spontanéité à l'impératif
Devoir de recracher l'illusoire existence traquée de peur,
Se détourner enfin des leurres jusqu'à atteindre l'essentiel.
(A SUIVRE....)
P. MILIQUE
09:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, flâner;bleu du ciel, faciès, certifier, malheur, prochain, histoire vécue, préparer, affrontement, lendemain, effacer, sensible, réalité, extérioriser, perfection, muet, convenir, retrouver, s'ouvrir, rythmique, moderne, exigence, reconnaissance, vérification, indélébile, conduction, nécessité, pratique, marginaliser, atypique, adhérer, spnanéité, impératif, devoir, recracher, historique, illusoire, traquenard, peur, détourner, leurre, atteindre, essentiel
30/03/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 26/03/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
26/03/2014
12:40 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, repérer, diminuer, mécénat, solliciter, bonifier, financer, généreux, financière, papa gâteux, chair fraîche, site de rencontres, esclavagiste, fondateur, corrélation, modeste, pétillante, obsession, application, logiciel, fredonner, empreinte, acoustique, croissance, lexandre vialatte, reconnaissance, figure de style, zeugme, échouer, lymphatique, virtuose, trisomique, balancoire, résoudre, dorure, clapoter, ombre chinoise, laque, cartilage, adolescence
22/03/2014
RHAPSODE DU SENSIBLE
RHAPSODE DU SENSIBLE
La nuit a commencé depuis trop longtemps
Tandis qu'il s'épuise a se battre autant qu'il le peut
Dans la touffeur d'atmosphères lourde de souffrances.
Les médecins sont rarement des rhapsodes du sensible,
Mais celui-ci a lu la tristesse qu'il a, imprimée aux yeux.
Et il s'applique à lui panser l'intime
Avec les mots qui sont les siens.
Des mots sobres, apaisants et lumineux,
Qui excèdent une pureté éclatante et sereine
Dont la charge de vérité simple le terrasse soudain
Et l'émeut au tréfonds jusqu'à lui arracher les larmes reconnaissantes
De celui qui, après le départ du père, n'y croyait plus.
P. MILIQUE
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rhapsodie, sensible, nuit, épuiser, combat, touffeur, atmosphère, souffrance, médecin, tristesse, imprimer, s'appliquer, penser, intime, sobre, lumineux, excéder, pureté, éclatant, sérénité, charge de vérité, terrasser, émouvoir, tréfonds, arracher, larmes, reconnaissance, départ, père, croyance
17/02/2014
GEORGES SCHAEHADE: "C'EST PAR LES JARDINS..."
GEORGES SCHAEHADE
"C'EST PAR LES JARDINS..."
(il s'agit des premiers mots de ce poème sans titre)
Lecture par CÉLINE SAMIE
Références:
in Les Poésies
© Gallimard 2001
Georges Schehadé (1905 Alexandrie-Paris 1989) est un poète et auteur dramatique libanais de langue française.
Issu d’une famille libanaise aristocrate, Schehadé est l’auteur d’une importante œuvre théâtrale proche des conceptions du nouveau théâtre, dont il est l’un des chefs de file avec, entre autres, Beckett, Ionesco ou Arthur Adamov. La plupart de ses pièces ont été créées par Jean-Louis Barrault et la plus célèbre d’entre elles, Histoire de Vasco (1956), a été traduite en 25 langues, jouée un peu partout dans le monde pendant les années 1950 et 1960.
Schehadé est également l’auteur de plusieurs recueils poétiques (Rodogune Sinne, L’Écolier Sultan, Poésies I à VI, Poésies VII (posthume). Tôt reconnue, son œuvre a été saluée et défendue par les plus grands (Paul Éluard, André Breton, Saint-John Perse, René Char, Jean-Louis Barrault, Octavio Paz, Philippe Jaccottet, Salah Stétié...).
En 1986, il se voit décerner par l’Académie française le Grand Prix de la Francophonie, créé l’année même.
Fuyant la guerre civile (1975-1990) qui menace le Liban, Georges Schehadé quitte Beyrouth en 1978 et s'installe à Paris où il meurt en 1989.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, georges schaehadé, jardinage, céline samie, miracle, dogme, alexandrie, dramaturge, libanais, issue, famille, aristocratie, importation, oeuvre, théâtre, proche, conception, chef de file, beckett, ionesco, arthur adamov, pluriel, pièce, créer, jean-louis barrault, histoire de vasco, traduire, jouer, égalité, rodogune sinne, l'écolier sultan, posthume, totaliser, reconnaissance, saluer, défendre, paul éluard, andré breton, saint-john perse, rené char, octavio paz, philippe jaccottet, salah stétié, décerner, académie française, grand prix de la francophonie, fuir, guerre civile, menace, quitter
05/02/2014
THIERRY METZ": L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 76 - 83 - 87
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 76 - 83 - 87
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, expérimenter, carte blanche, universitaire, coquelicot, baiser, tendresse, opprimer, feuilles mortes, banquise, exploiter, déstabiliser, maquis
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, zone euro, piétiner, civil, temple, ascension, crever, empailler, allemagne, caméléon, aéronautique, vignette, débat
03/02/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, manifestation, endurance, fugitif, déforestation, coucher de soleil, rancunier, fratrie, police, flic, complice, repos du guerrier, scientifique
31/01/2014
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 24 - 35 - 40
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 24 - 35 - 40
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, piocher, pavillon, précaution, équation, résorber, maladresse, marelle, tourterelle, piaf, zèbre, empire, blêmir
30/01/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 7 - 12 - 15
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 7 - 12 - 15
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde).
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel
21/10/2013
L’AMITIÉ
L’AMITIÉ
C’est une chance insigne que d’avoir pu capter un jour
L’insaisissable et vital mystère qu’est toute rencontre essentielle,
Surtout lorsqu’elle prend la forme et la beauté tenace affichées
Par des femmes et des hommes secrets à la parole rare et fleurie.
Il peut nous arriver parfois d’apercevoir le semblable dans l’autre,
Quelqu’un avec qui se partage d’emblée une fraternité de pensée.
Cette reconnaissance sans équivoque induit l’amitié comme une évidence.
Mais cette évidence-là, débordante d’émotion pure, ne se parle pas !
Elle ne saurait s’expliquer non plus. Elle se vit. Et se prouve peut-être.
Dès lors, comment s’étonner lorsque, à l’embrasé d’un enfer de doutes
Et d’incertitudes fébriles et apeurés, j’en appelle à cette Amitié-là !
P. MILIQUE
09:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, amitié, chance, insigne, indigne, avoir, pouvoir, capter, jour, insaisissable, vital, mystère, rencontrer, essentiel, surcouf, prendre la forme, beauté, ténacité, afficher, femme, homme, secret, parole, rare, fleurir, arriver, apercevoir, semblable, partager, emblée, fraternité, pensée, reconnaissance, sans équivoque, induire, évidence, déborder, émotion, pureté, parler, savoir, s'expliquer, vivre, prouver, s'étonner, embraser, enfer, doute, incertitude, fébrile
26/09/2013
LA BOÎTE A LETTRES: PIERRE CURIE AU PRÉSIDENT POINCARÉ
LA BOÎTE A LETTRES
PIERRE CURIE AU PRÉSIDENT POINCARÉ
Pierre CURIE
Paris, 1859 - id., 1906
Lettre autographe signée, adressée à Henri Poincaré, membre de l’Académie des Sciences, datée du 25 janvier 1903, Paris.
Ses recherches sur la radioactivité offrent à Curie une reconnaissance du monde scientifique : « J’ai appris qu’il était question de me proposer Mr Becquerel et moi pour le prix Nobel pour l’ensemble des recherches sur la radioactivité ». Bien que ce soit pour lui « un grand honneur », Pierre ajoute : « je désirerais beaucoup partager cet honneur avec Mme Curie et que nous soyons considérés ici comme solidaires, de même que nous l’avons été dans nos travaux ». Il défend fermement les travaux de sa femme, qui « a eu le courage d’entreprendre la recherche chimique des éléments nouveaux [et] a contribué pour sa part à l’étude des rayons et à la découverte de la radioactivité induite ». Ils recevront avec Becquerel le prix Nobel de physique cette même année.
13:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, pierre curie, président poincaré, lettre, autographe, manuscrit, signet, signatire, membre de l'académie des sciences, recheches, radioactivité, reconnaissance, monde scientifiue, question, proposer, becquerel
08/07/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "MA TIERCE"
LA PARISIENNE LIBEREE
"MA TIERCE"
Paroles et musique : la parisienne libérée
Elle a préparé mes biberons
Et mes tartines quotidiennes
A répondu à mes questions
Jusqu’à ce que je comprenne
Elle m’a fait réciter mes leçons
M’a emmenée faire des balades
Elle est restée à la maison
Quand j’étais malade
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on la nomme
Ma co-parente présumée
Mon tiers n’est pas un homme
Il n’y a pas de doute, elle me connaît
Mais j’aimerais qu’elle me reconnaisse
Maman dit qu’elle est sa moitié
Moi je dis qu’elle est ma tierce
Ma polygame, mon incestueuse
Ma pédophile, ma cannibale
C’est l’encyclopédie haineuse
Le dico des mots qui font mal
Je me suis battue à la récré
Je ne sais pas ce qui m’a pris tout à coup
Contre une copine qui m’a traitée
De fille de goudou
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on la nomme
Ma co-parente présumée
Mon tiers n’est pas un homme
Il n’y a pas de doute, elle me connaît
Mais j’aimerais qu’elle me reconnaisse
Maman dit qu’elle est sa moitié
Moi je dis qu’elle est ma tierce
Adolescente, j’ai rugi
Ma mère n’avait que des lacunes
Mais quand vient l’heure du conflit
Deux mamans valent mieux qu’une
Pourtant tu n’es pas une seconde mère
C’est ça que les gens ne comprennent pas
Je ne te prends pas non plus pour un père
Mais heureusement que t’es là
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on te nomme
Ma co-parente présumée
Bien que tu ne sois pas un homme
Il n’y a pas de doute, tu me connais
Mais j’aimerais que tu me reconnaisse
J’espère que la loi va changer
Avant que tu ne sois grand-tierce !
05:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, tierce, préparer le biberon, tartiner, quotidien, répondre aux questions, compréhension, réciter ses leçons, emmener, faire des balades, rester à la maison, maladie, nommer, présumer, pas de doute, aimer, reconnaissance, polygamie, incestueux, pédophile, cannibale, encyclopédie, haineux, dictionnaire faire mal, se battre à la récré, copine, fille de goudou, adolescence, rugir, lacune, l'heure du conflit, seconde mère, comprendre, père spirituel, homoparentalité, être à la hauteur