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09/11/2014

ÉTRANGE FATALITÉ

au magma présent de l'écriture,

 

ÉTRANGE FATALITÉ

Il s'agit de l'écrire sobrement, de bien choisis ses mots,
En enchaînant des phrases répétitives et lancinantes
Qui incitent à venir voir d'un peu plus près cette détresse
Vécue au lent d'un quotidien d'êtres de chair et de sang.

Les rythmes épousent, scrupuleux, les illusions,
Les espérances déçues et, finalement, le désespoir.

Même l'amour provoque parfois une maladie définitive,
Une rage qui nous dévore dans ce psychisme soumis
Où manœuvrent en maîtresses la déchéance et la mort .

Peut-être ressort-on un peu plus humain
De cet étrange fatalité qu'est la vie hésitante
A l'aune du constat tombant comme un couperet.

Roulement de tambour sourd et lugubre,
Tocsin qui précède de peu la tombée de la lame...

P. MILIQUE

05/02/2014

THIERRY METZ": L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 76 - 83 - 87

 

THIERRY METZ"

L'HOMME QUI PENCHE"

POÈMES 76 - 83 - 87

LUS PAR ALAIN LENGLET

Références:In L’homme qui penche

© Opales/Pleine page 1996, 1997.

 

Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

Prise de son Djaisan Taouss

Montage Anne-Laure Chanel

THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 65 - 67 - 71 - 74

 

THIERRY METZ"

L'HOMME QUI PENCHE"

POÈMES 65 - 67 - 71 - 74

LUS PAR ALAIN LENGLET

Références:In L’homme qui penche

© Opales/Pleine page 1996, 1997.

 

Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

Prise de son Djaisan Taouss

Montage Anne-Laure Chanel

03/02/2014

THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 47 - 51 - 52 - 57

 

THIERRY METZ

 

"L'HOMME QUI PENCHE"

 

 

POÈMES 47 - 51 - 52 - 57

 

 

LUS PAR ALAIN LENGLET

 

 

 

 

Références:

 

 

In L’homme qui penche

 

 

© Opales/Pleine page 1996, 1997.

 

 

 

 

Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.

 

 

La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)

 

 

L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.

 

 

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

 

 

Prise de son Djaisan Taouss 

 

 

Montage Anne-Laure Chanel

31/01/2014

THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 24 - 35 - 40

 

THIERRY METZ

 

"L'HOMME QUI PENCHE"

 

POÈMES 24 - 35 - 40

 

LUS PAR ALAIN LENGLET

 

 

 

Références:

 

In L’homme qui penche

 

© Opales/Pleine page 1996, 1997.

 

 

 

Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.

 

La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)

 

L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.

 

 

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

 

 

Prise de son Djaisan Taouss 

 

Montage Anne-Laure Chanel

30/01/2014

THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 7 - 12 - 15

 

THIERRY METZ

"L'HOMME QUI PENCHE"

POÈMES 7 - 12 - 15

LUS PAR ALAIN LENGLET

 

 

Références:

In L’homme qui penche

© Opales/Pleine page 1996, 1997.

 

Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.

La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde).

 

L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.

 

Poèmes choisis par Lorette Nobécourt

 

Prise de son Djaisan Taouss 

Montage Anne-Laure Chanel

05/12/2013

GÉRER SA HONTE 1

ORPAILLEUR.jpg

 

GÉRER SA HONTE

1

 

Si tu m’aimes, comme tu n’as de cesse de le répéter au vent,

Accepte, le cœur large ouvert, ce modeste geste de contribution.


Accepte-le, cela me redonnera le courage de croiser ton regard,

Accepte-le afin que je revive auprès de toi l’inespéré de toujours,

Qui, au fil décanté des jours, m’aidera à oublier le rien devenu.

 

Certes, il est de notoriété publique que l’amour ne saurait se résumer

A de basses manœuvres de logistique ordinaire riches d’aucune valeur

Même si tout un chacun sait à combien d’obscènes guerres querelleuses,

D’actions perturbatrices et destructrices elles peuvent s’abaisser parfois.

 

Et voilà que tout d’un coup je m’éprouve reprendre place auprès de toi.

La maladie outrancière, l’épuisement, l’irréfragable combat morphinique,

Aura fait de moi, je m’en rends bien compte, un être confus et incohérent.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

30/08/2013

LE FAUX FRIVOLE

RESSAC.jpg

 

LE FAUX FRIVOLE

 

Sous ses dehors légers, un peu farfadets,

Il souffre à l'excès de sa réputation de frivolité

Et de sa virtuosité de parole parfois sidérante.

 

Cependant, dans un viscéral besoin de communication,

C'est avec une considérable difficulté à s'exprimer

Qu'il consent, d'une voix blanche et intimidée au possible,

A s'exposer à d'incertaines manœuvres de séduction

Dans le ressac bruyant des brouilles à répétitions.


P. MILIQUE