03/04/2016
OMBRES MENAÇANTES
OMBRES MENAÇANTES
Qu'elle semble indue, mais curieusement familière,
Cette incapacité avérée faite d'effort et de volonté
A reprendre quelques nobles valeurs à son compte,
A investir cet espace peuplé d'ombres menaçantes,
Qu'il se résigne à laisser couler des larmes lourdes
Voltigeant, ailes plombées, sur le tragique de la vie.
P. MILIQUE
09:34 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écritureombragé, menacer, sembler, induction, curiosité, familiarité, incapacité, partenaire, avérer, effort, volupté, reprendre, quête, noblesse, valeur, compte, investir, espace, peuplade, résignation, laisser couler, larmes, lourdes, voltigeur, ailes, plomber, tragique, mélancolie
15/12/2015
VACARME FAMILIER 1
VACARME FAMILIER
1
C'est la nuit, sans doute le sait-elle aussi.
Mais elle ignore à quel point il a mal.
Torturé par son comportement envers elle.
Elle qui pourtant lui offre tout de cet absolu
Que jusqu’alors il n'avait jamais rencontré.
Elle qui l'aime, le lui dit, le lui prouve aussi.
Elle qui l'a investi et qui le comble en entier.
Elle est cet amour dont il s'enivre, dont il exulte.
Chacune de ses fibres ne spirite plus que par elle.
Elle est ce souffle de vie qu'il n'a jamais entrevu.
Elle est l'âme même du mot amour qu'il aime tant.
Il cherche une explication à sa minable attitude.
Pas juste pour en trouver l'hypothétique genèse,
Mais plutôt pour tenter de comprendre l'obscur.
(A SUIVRE)
P. MILIQUE
15:49 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriturevacarme, familiarité, nuit, douter, ignirance, pointillé, mal, torturer, comportemental, renverser, absoudre, cosmétique, rencontre, aimer, prouver, investiture, combler, ritualiser, enivrer, exulter, fibre, spiritueux, souffle de vie, entrevue, âme, minable, attiser, juste, trouvailles, hypothèse, genèse, tentation, comprendre, obscurité
07/06/2015
A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES 5
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES
5
De sa force vive s'élève un chant d'ivresse, voluptueuse mélodie de caresses.
La joie, telle une passion qui revit le présent, se fait vibrante et magnétique.
C'est un trésor qui se possède – ou pas – , une mer qui fait briller le vent dans les veines.
Elle est palpitation de clarté mariant durablement le bleu du ciel.
Et, quand son flamboiement s'accentue, c'est de tout l'or du monde que soudain elle s'enflamme.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:53 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, force, vivacité, élévation, chant, ivresse, voluptueux, mélodie, caresse, joie, passion, revivre, présent, familiarité, vibrant, magnétique, trésor, posséder, mer, briller, vent, veine, palpitation, clarté, marier, durable, le bleu du ciel, flamboiement, accentuation, touffe, or, morte, souder, inflammable, fondamental, confiance, bazar, trier, boulot, narcissisme, intermédiaire
05/02/2014
THIERRY METZ": L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 76 - 83 - 87
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 76 - 83 - 87
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, expérimenter, carte blanche, universitaire, coquelicot, baiser, tendresse, opprimer, feuilles mortes, banquise, exploiter, déstabiliser, maquis
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
THIERRY METZ"
L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 65 - 67 - 71 - 74
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean. La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde) L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:19 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, zone euro, piétiner, civil, temple, ascension, crever, empailler, allemagne, caméléon, aéronautique, vignette, débat
03/02/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 47 - 51 - 52 - 57
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
17:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, manifestation, endurance, fugitif, déforestation, coucher de soleil, rancunier, fratrie, police, flic, complice, repos du guerrier, scientifique
A L'APPROCHE DE TOI 1
A L'APPROCHE DE TOI
1
Les mots m’ont déclaré une guerre qu’il m’est malaisé d’endiguer,
Et pourtant il me faut relever l’affrontement pour pouvoir te dire…
C’est le premier anniversaire célébré de mon pur amour pour toi.
Le premier d’une longue série de ce patrimoine commun entrepris.
Que seul désormais le destin, cet intrus familier, pourra interrompre.
Alors plutôt que de les combattre futilement ces mots récalcitrants,
Je prends option de faire l’amitié, la connivence, la complicité avec eux.
Ce besoin m’est vital, pour le meilleur certain et ce pire qui ne sera pas.
Car je t’aime tu sais à quel point. Je suis heureux de toi, pour toi, avec toi.
Tu es comme le soleil rieur qui de ses rayons m’enveloppe et m’embrase
Tu me donnes beaucoup. Tu me donnes tellement. Peut-être trop parfois!
Je suis formidablement heureux que tu existes, si chaleureuse, si apaisante.
Tu m’as récupéré en ce temps de désintégration et a su me rendre entier.
Comprends le choc provoqué ce jour-là où tu m’as fait don de ton amour !
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:30 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, approcher, mot, déclarer la guerre, malaisé, endiguer, falloir, relever, affrontement, pouvoir, dire, premier, anniversaire, célébrer, pur, amour, longueur, série, patrimoine, clément rosset, communauté, entreprendre, entreprise, désormais, destin, intrus, intrusion, familier, familiarité, interruption, interrompre, combattre, futilité, récalcitrant, prendre option, amitié, connivence, complicité, besoin, vital, meilleur, certain, pire, empirique, aimer, pointer, pointillés, heureux, soleil, rieur
31/01/2014
THIERRY METZ: "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 24 - 35 - 40
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 24 - 35 - 40
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde)
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel, piocher, pavillon, précaution, équation, résorber, maladresse, marelle, tourterelle, piaf, zèbre, empire, blêmir
30/01/2014
THIERRY METZ "L'HOMME QUI PENCHE" POÈMES 7 - 12 - 15
THIERRY METZ
"L'HOMME QUI PENCHE"
POÈMES 7 - 12 - 15
LUS PAR ALAIN LENGLET
Références:
In L’homme qui penche
© Opales/Pleine page 1996, 1997.
Né le 10 juin 1956 à Paris, Thierry Metz s'installe à l'âge de 21 ans près d'Agen avec sa famille. Il partage son temps entre des travaux de manœuvre de chantier qui lui permettent de gagner sa vie et des périodes de chômage durant lesquelles il écrit. Il prend contact avec le poète Jean Cussat-Blanc dont la revue Résurrection sera la première à le publier avec une évidente reconnaissance. Cette reconnaissance se poursuivra par l'obtention du prix Voronca en 1988 puis par la publication du Journal d'un manœuvre préfacé par le poète Jean Grosjean.
La mort accidentelle d'un enfant sera pour lui un drame familial et personnel dont il ne se remettra jamais et le conduira à l'alcool, puis au suicide le 16 avril 1997 à l’hôpital de Cadillac (Gironde).
L'homme et son œuvre ont reçu l'hommage du monde de la poésie et des éditeurs de poésie.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
00:20 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, thierry metz, alain lenglet, l'homme qui penche, opale, installation, agen, familiarité, partager son temps, travaux, manoeuvre, chantier, permettre, gagner sa vie, périodique, chômage, prendre contact, poèsie, jean cussat-blanc, revue de presse, résurrection, primeur, évider, reconnaissance, poursuite, obtentien, prix, voronca, journal d'un manoeuvre, jean grosjean, mort accidentelle, drame familial, tomber dans l'alcool, conduit au suicide, hommage, lorette nobécourt, djaisan taouss, anne-laure chanel
10/01/2013
SE RENCONTRER ENCORE
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
SE RENCONTRER ENCORE
Le martèlement syncopé de ses pas précipités résonne bruyamment dans l'escalier qu'il dévale maintenant quatre à quatre, hagard c'est vrai, et l'air absent. Ses yeux, son regard, semblent égarés dans un autre ailleurs. Une feuille de papier, banale de toute sa normalité anonyme, chargée pourtant d'une écriture fine et anguleuse et reconnaissable entre toutes tant elle lui est familière, lui brûle véritablement la main et lui embrase le cœur. Quelques lignes y sont griffonnées et comme jetées, tranchantes et lapidaires, mais denses dans leur énoncé précis: « Clément! Marre de ta passion si ambiguë. Trop. Je n'en peux plus.Tout est terminé maintenant. Dommage, c'était beau, si beau... au début. Adieu!...
Au pied de l'immeuble, il a rejoint la rue grouillante d'une monde quasi frénétique à cette heure-ci de la journée. Il a ralentit le pas et déambule maintenant la démarche hésitante, incertaine, tel celui d'un individu se débattant dans l'emprise évidente d'une alcoolémie avancée. C'est d'ailleurs probablement ainsi que ses congénères le perçoivent.
(A SUIVRE...)
09:13 Publié dans NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, se rencontrer, martèlement, syncope, pas précipités, resonner, bruyance, escalier, dévaler, quatre à quatre, hagard, l'air absent, yeux, regard, égarer, un autre ailleurs, feuille de papier, banalité, normalité, anonyme, charger, écriture, finesse, anguleuse, reconnaissance, familiarité, brûler, véritable, main, embraser, coeur, griffonner, ligne, jeter, trancher, lapidaire, densité, énoncer, précision, clément, se marrer, passion, ambiguité, terminer, maintenance, dommage, beauté, débuter, adieu, à pied