16/02/2013
LE JOURNAL DE PERSONNE: " LE MAL IMAGINAIRE "
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Maman : Tu veux vraiment qu’on joue au docteur ?
Enfant : Oui surtout que j’ai l’impression que tu es malade
Maman: je suis malade… complètement malade
Enfant : et quand vient le soir, ça s’aggrave
Maman: je suis malade… complètement malade
Enfant: allo maman bobo… tu vas me dire si on ne la joue pour de vrai ou pour de faux ?
Maman: je ne joue pas… c’est sérieux… je suis vraiment malade
Enfant : dis-moi où tu as mal?
Maman: je crois que j’ai mal à la tête
Enfant: mal à la tête ? Et est-ce que tu crois que c’est physique ou moral?
Maman: je ne comprends pas la question docteur!
Enfant : est-ce que tu as vraiment mal? Ou seulement l’impression d’avoir mal ?
Maman: j’ai vraiment l’impression d’avoir mal… c’est une migraine
Enfant: ce n’est pas parce que tu crois que c’est une migraine que c’en est une
Maman: en tous cas, j’en ai les symptômes
Enfant : les signes avant-coureurs peut-être mais pas les symptômes
Maman: où est la différence?
Enfant: les signes t’indiquent qu’il faut consulter, les symptômes qu’il faut te soigner
Maman: tu ne m’auscultes pas ?
Enfant: tu sais, la médecine est d’abord mentale avant d’être expérimentale
Maman: tu veux dire que j’ai plutôt besoin d’un psychiatre ?
Enfant : pour le savoir, il faut d’abord que je sache si c’est du théâtre
Maman: tu veux dire que je fais semblant d’être malade
Enfant: ou que tu crois que tu l’es, alors que tu ne l’es pas
Maman: c’est à toi de me le dire dans ce cas
Enfant: si tu commences déjà à douter de toi, tu fais un premier pas vers la guérison
Maman: et mes sensations… qu’est-ce que j’en fais ? Abstraction?
Enfant: quelles sensations? Ce sont toujours des impressions, puis des interprétations
Maman: je peux t’assurer que j’ai mal
Enfant: quand on appuie ça fait toujours mal
Maman: là tu appuies là où ça fait mal… et ça me fait encore plus mal
Enfant: non, tu t’appuies sur moi pour te sentir encore plus mal
Maman: tu veux dire que si tu n’existais pas, j’aurais moins mal?
Enfant: oui, parce que tu apprendras à prendre ton mal en patience
Maman: je ne demande pas mieux que d’apprendre… je t’écoute
Enfant: dans la vie, il y a deux catégories
Maman: deux catégories?
Enfant: il y a ceux qui savent et ceux qui ne savent pas
Maman: ceux qui savent sont médecins et ceux qui ignorent malades ?
Enfant: non, c’est un peu plus compliqué
Maman: c’est à dire?
Enfant: les malades sont ceux qui croient savoir
Maman: tu veux dire qu’ils font semblant ? Qu’ils font exprès ?
Enfant: pas forcément… très souvent ils ne savent pas qu’ils ne savent pas
Maman: ils ne savent pas quoi?
Enfant : là est tout le problème
Maman: je suis toute ouïe
Enfant: il y a deux catégories parmi les gens qui savent
Maman: je l’ignorais
Enfant: il y a les savants et les sages
Maman: donc des savants qui ne sont pas sages… et des sages qui ne sont pas savants
Enfant: les savants disposent de la science, les sages de la sagesse.
Maman: c’est quoi exactement la différence ?
Enfant: en deux mots: le savant soigne ton mal, le sage te l’épargne
Maman: je ne saisis pas
Enfant: le savant dispose du remède : le fameux médicament. Le sage t’en dispense
Maman: le médecin je crois savoir ce qu’il sait, mais le sage, il sait quoi?
Enfant: le sage sait ce que tu as besoin de savoir
Maman: et contre mon mal de tête, qu’est-ce qu’il peut le sage ?
Enfant: il peut te le sortir de la tête, au lieu de l’enrober de médicament
Maman : comment ?
Enfant : en orientant ton regard ailleurs
Maman : où ça ?
Enfant : vers quelque chose de plus haut
Maman: le ciel, les oiseaux, les étoiles, c’est ça ?
Enfant: respires… plus lentement… respires… est-ce que tu as toujours mal?
Maman: oui toujours
Enfant: maintenant aspires… aspire à quelque chose… aspires plus fort… aspires plus haut
Maman: à quoi?
Enfant: à quelque chose de plus grand que toi…
Maman: quoi?
Enfant: un bien… plus grand que ton mal… une joie plus grande que ta douleur
Maman: tiens… tiens… on dirait que ça va mieux
Enfant: quand on respire on respire toujours mal…
Maman: il faut quoi? Arrêter de respirer
Enfant: non… apprendre à aspirer… à avoir des aspirations
Maman: quelles aspirations?
Enfant: des aspirations élevées… il faut apprendre à s’élever
Maman: et la réalité qu’est-ce qu’on en fait ?
Enfant: un tremplin pour un bel idéal…
Maman: c’est comme ça qu’on se relève
Enfant: tu l’as donc bien remarqué
Maman: quoi donc ?
Enfant: que plus la science et la technique progressent et moins on a de solutions
Maman: justement je voulais te demander pourquoi?
Enfant: Parce que le monde a besoin de savoir comment vivre et non de quoi vivre
Maman: je n’ai plus mal à la tête
Enfant: maintenant c’est moi qui ai mal à la tête
Maman: c’est sérieux?
Enfant: tu joues bien… je crois que je vais t’adopter comme maman.
14:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, chimie et alchimie, escrocs et charlatans, le boeuf et le cheval, lejournaldepersonne, les faussaires, les médications, les nouveaux malades, les remèdes et les poisons, médecine et magie, psychologie et spiritualité, science et sagesse, sciences et techniques
COMME SE FERME UNE FLEUR
COMME SE FERME UNE FLEUR
Son obscur travail de laborantin de l'écriture
Naît parfois un texte dur, coriace et réticent
A se laisser déchiffrer sans détour.
L'absence constante de repères
Entre le réel et l'imaginaire
Qui s'entrelacent dans la mémoire
Trouble l'intime de notre interprétation
Avant que le propos ne dégage ses lignes de force.
Le réseau effervescent et complexe des mots
Qui frémissent déjà dans l'impatience de dire
Se répand alors dans les recoins inexplorés de la sensation.
Le texte s'ouvre béant et se ferme comme une fleur
Nous embarquant dans un tourbillon frénétique et musical,
Porteur de tant d'émotions excédées de beauté,
Que la tristesse elle-même se découvre bonheur
Comme peut l'être un rêve aux balbutiements du réveil.
P. MILIQUE
10:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, s'ouvre une fleur, obscur travail, laborantin, écriture automatique, naître, perfection, texte dur, coriace, réticent, se laisser aller, déchiffrer, sans détour, absence de repères, constance, réel, imaginaire, troubler, intimer, entrelacer, mémoire, interprétation, propos, dégager, ligne de force, réseau, effervescence, complexité, motif, frémir, ipatience de dire, se répandre, recoins, inexplorer, sensationnel, s'ouvrir béant, se fermer, embarquer, tourbillon frénétique, musical, porteur d'émotion, excéder, beauté, tristesse, découvrir le bonheur, rêve, balbutier, réveil
MAGAZINE BD : UDERZO
MAGAZINE BD
UDERZO
Midi 2
23/01/1998 - 02min43s
A l'occasion du 25ème festival international de bande dessinée, le centre de la BD et de l'image d'Angoulême propose une exposition consacrée à UDERZO. Rencontre avec le dessinateur au milieu de son jeune public admiratif.
Production
Générique
04:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, bande desssinée, angoulême, uderzo, à l'occasion, festival international, centraliser, propser, exposer, exposition, consacrer, rencontrer, dessinateur, au milieu, jeune public, admiratif, admiration, marie hélène bonnot, albert uderzo, iconoclaste, exemplaire, astérix, honorer, créateur, gosciny, musée temporaire, inauguration, ancien, fringuant, invité d'honneur, potion magique, pétillant, travailler, inventeur, faire rire, humour, connaissance, objection votre honneur, quittance, indien, forêt, dédicacer, inspirer, défaut, réaction, franc du collier, confectionner
15/02/2013
LA SAINT VALENTIN : " GEORGES ET ROSEMARIE "
GEORGES ET ROSEMARIE
Court métrage d’animation racontant l’histoire de Georges Dion, un monsieur bien dévoré par sa passion pour Rosemarie Latouche, la petite dame aux cheveux blancs qui habite en face de chez lui. Trop timide pour lui faire part de ses sentiments, Georges passera ses journées à épier sa belle et à se laisser submerger par les fantasmes les plus déroutants.
23:18 Publié dans GOUTTES d'ÂME, IMAGES MOBILES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, office national du film, georges, rosemaries, film d'animation, david fine, alison snowden, court métrage, raconter une histoire, georges dion, monsieur, dévoré par sa passion, passionner, rosemarie latouche, petite dame, cheveux blancs, habitation, en face, voisin, timidité, faire part de ses entiments, passer ses journées, épier, se laisser submerger, fantasme, dérouter, mélissmell, rêver encore, québev, montréal
LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY
LA VIE COMPAREE DE MADAME LA CONTESSE DE PANGE ET DE MONSIEUR ROBERT GALLEY
Choses vues
04/04/1968 - 51min01s
La comtesse de PANGE, née en 1888 a vécu à la Belle époque dans un monde de délectation disparu dans le bouleversement de la première guerre mondiale. Robert GALLEY, né en1921, est un ancien résistant, compagnon de la Libération, ingénieur, qui, lui, vit dans un monde d'action et d'accomplissement. S'ils appartiennent à des siècles différents, la comtesse de PANGE et Robert GALLEY ont en commun le détachement, la grâce, et le sentiment que la vie prend sa signification par le regard qu'on porte sur elle. Entretiens successifs avec ces deux personnalités : la comtesse de PANGE qui se penche sur son passé sans tristesse, puis Robert GALLEY qui évoque son avenir. Les propos sont illustrés par des photographies et des images d'archives, des documents iconographiques et des extraits de reportages.- Rencontre avec la comtesse Jean de PANGE, née Pauline de Broglie, le 6 février 1888 dans une maison rue de la Boétie. Son père a été associé à la naissance de la 3ème République, ses frères furent prix Nobel et académicien. Elle raconte le Paris de son enfance avec ses voitures à cheval, ses parcs et ses pavés. Elle remarque que la noblesse n'avait aucune conscience de la misère des domestiques et des nourrices. Elle évoque la condition féminine en déplorant l'absence d'éducation des jeunes filles; donne des exemples du train de vie de sa famille, parle du faste des diners, des fêtes de Chaumont, des bals ... Elle se souvient des personnalités qu'elle a fréquentées : Paul DEROULEDE, Maurice BARRES, Marcel PROUST, la comtesse GREFFULHE, Hubert LYAUTEY. Enfin, elle rappelle l'influence des articles dans les journaux du début su siècle et dit ne pas regretter cette " (belle) époque pleine de morgue". - Rencontre avec Robert GALLEY qui revient sur les étapes importantes de sa carrière. Il explique son engagement dans la France Libre à 19 ans en tant que 2ème classe en 1940, ses études après la fin de la guerre à l'école Centrale, et ses débuts dans la carrière d'ingénieur de production et d'ingénieur d'études. Il raconte la construction d'une raffinerie à Petitjean au Maroc, la mise en oeuvre de l'usine de plutonium de Marcoule en 1955 destinée à la fabrication de la bombe atomique. Il se remémore son implication dès 1958 dans la conception et la construction de l'usine de Pierrelatte, puis ses responsabilités étatiques dans le domaine de l'informatique. Il souligne la nécessité de se réaliser dans un métier passionnant et la vertu de l'opiniâtreté, avoue sa passion pour les sciences naturelles. Ses propos sont entrecoupés par le témoignage de Jean VOLVEY qui fut son lieutenant pendant la guerre.
Production
Générique
19:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, la contesse de panche, robert galley, choses vues, vivre à la belle époque, mondialisation, délectation, disparition, bouleversement, première guerre mondiale, ancien résistant, compagnon de la libération, ingénieur, un monde d'action, mode d'accomplissement, appartenir, siècle desd lumières, différencier, avoir en commun, détachement, grâce, sentimental, prendre s signification, regard porté, entretien, succéder, personnalité, se pencher sur son passé, sans tristesse, évoquer son avenir, illustration, proposer, phographier, image d'archive, documentaire, iconographie, extrait, reportage, encontrer, jean de pange, pauline de broglie, maisonnette, rue de la boétie, associatif, frédéric rivière, roger stéphane, roland darbois, patrick jacob, melissmell
LE JOURNAL DE PERSONNE: " QUITTANCE "
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
J’ai été voir mon prophète pour une petite requête
Trois semaines plus tard, j’eus une deuxième requête
- Maître, j’ai découvert que mon amie était islamophobe, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je dois faire ? je la quitte ou je l’acquitte ?
- Tu l’acquittes
Trois semaines plus tard, j’eus une troisième requête
- Maître, j’ai découvert que mon amie était raciste, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je dois faire ? je la quitte ou je l’acquitte ?
- Tu l’acquittes
Trois semaines plus tard, j’eus une quatrième requête
- Maître, j’ai découvert que mon amie était fasciste, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je dois faire ? je la quitte ou je l’acquitte ?
- Tu l’acquittes
Trois semaines plus tard, j’eus une septième requête
- Maître, j’ai découvert que mon amie était homosexuelle, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je dois faire ? je la quitte ou je l’acquitte ?
- Tu l’acquittes
C’est seulement après la mort du prophète que j’ai réalisé l’absurdité de mon forfait. Je ne l’ai pas entendu… je fus victime d’un vrai malentendu.
Il disait tu la quittes -du verbe quitter- pour que je la quitte et non pour que je l’acquitte -du verbe acquitter-. L’accent tragique. L’accentuation comique.
BLESSURES AFFECTIVES
BLESSURES AFFECTIVES
Au pays de la tristesse comme à celui de l'ennui,
Le temps semble suspendu au rien.
Lui qui vivait dans un monde forclos
Au centre aride de son désert
S'est laissé prendre au vilain mirage de l'ailleurs.
L'avancée précautionneuse rythmée d'oscillations
N'a pu éviter tout à fait le puissant effet miroir
Des chocs émotionnels intenses découverts avec stupeur.
Profitant de la confusion, les questions identitaires ont émergé
Quand, au souvenir cruel des blessures affectives,
Est apparu l'impératif latent du mieux se connaître.
Le regard minéral, mort sur le certain à construire,
Affronte avec dédain les événements à venir,
A la chair de cette vie ne proposant plus que l'ordinaire
Qui le renvoie, sans ménagement, à son insoutenable banalité.
P. MILIQUE
10:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, blessure, affectif, paysan, tristesse, ennui, temporel, sembler, suspendre, rien de rien, vivre, monde forclos, centraliser, aridité, désert, désertique, se laisser prendre, vilénie, mirage, ailleurs, avancée, précautionneux, rhytmer, oscillation, pouvoir, éviter, puissant, effet miroir, choc émotionnel, intense, découverte, stupeur, profiter, confusion, question, identitaire, émerger, souvenir, cruel, apparaître, impératif, latent, mieux se connaître, regard minéral, mort, certitude, reconstruction, affronter, dédaigner, événement à venir
LES DESCHIENS : " LES PAPES "
LES DESCHIENS
" LES PAPES "
Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable
PERSONNAGES:
M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).
M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).
Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.
Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.
Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.
Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.
Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.
SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens
04:12 Publié dans LES ARCHIVES DE LYNA, LES DESCHIENS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, les deschiens, prendre de la coke, série, scketch, court, net et précis, mettre en scène, galerie, personnage, interprétation, comédien troupe de jérôme deschamps et macha makaïeff, stylé, personnel, reconnaissable, monsieeur morl, principal, extrême, rationnel, attachement, vie quotidienne, technologie, modernité, stéréotype, français moyen, hermétique, culture, monsieur saladin discussion, sujet, la plupart du temps, dans l'ombre, exprimer ses idées, se faire clairement comprendre, entretenir, quiproquos, expression à double sens, cyber café, bibliothèque, souris, gibolin, pichet of côte du rhone, tapette à mouche, connectcut, brouette espagnole, kama sutra, babouin, jean yanne, asha?pape, papauté, pilote de chasse
14/02/2013
BD ANGOULÊME
BD ANGOULÊME
JA2 20H
28/01/1994 - 01min57s
Nikita MANDRYKA, le créateur du " Concombre masqué " remporte le grand prix 94 de la ville d'Angoulême. Après l'arrivée de LAUZIER, président du jury et une réunion des dessinateurs dont FRED, MARGERIN et BILAL singeant la mise en scène vaticane pour l'élection de leur pape, le président annonce le nom de l'élu. Interview de Nikita MANDRYKA et banc titre de son oeuvre "le Concombre masqué". Conclusion humoristique avec le nouveau pape de la BD se rasant dans sa chambre d'hôtel.
Production
Générique
23:26 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, angoulême, bande dessinée, nikita mandryka;créationniste, concombre masqué, remporter, grand prix, village, apprêter, lauzier, président du jury, réunionnite, dessinateur, fred, margerin, bilal, singer la mise en scène, vatican, éléction du pape, présidentiel, annoncer, nom de l'élu, interview, banc-titre, conclusion, occlusion, humoristique, nouveau pape, chambre d'hôtel, vincent gerhards
EXPOSITION MARCEL PROUST A FONTAINEBLEAU
EXPOSITION MARCEL PROUST A FONTAINEBLEAU
Journal de Paris
13/05/1965 - 01min26s
Bibliothèque municipale de FONTAINEBLEAU - plan des gravures de l'exposition - photos de PROUST - portrait de sa mère - portraits des héroïnes de ses romans - livres - tableaux réprésentant scènes de ses romans.
Production
Générique
18:14 Publié dans GOUTTES d'ÂME, LES ARCHIVES DE LYNA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, marcel proust, exposition, fontainebleau, le journal de paris, bibliothèque municipale, planifier, gravure, photovoltaïque, portrait de la mère, portraiturer, héroïne, héroïne de roman, livre, tableau, représentation, scéniquemonique josselin, karpatt, baisser les bras, s'accrocher aux branges, section rythmique
LE JOURNAL DE PERSONNE: " LE COUP DU FOULARD "
Femme magnifique à l'intensité hors-norme.
Superbe et talentueuse...
A l'écriture riche et précise.
Il est important de ne pas passer à côté
Ne manquez pas de vous rendre sur son site: c'est une mine!
http://www.lejournaldepersonne.com/ Ou sur sa chaine Youtube:
http://www.youtube.com/watch?v=VuiAdm6sSFE&feature=mfu_in_order&list=U
Personne : c’est sur ces questions que va porter votre prochaine émission ? Dites moi tout ! Dites-moi comment vous allez encore ne fois perpétuer vos mochetés et vos lâchetés ?
Caroline : je ne lâche rien… comme un chien enragé… je ne mords pas pour mordre mais pour communiquer ma rage…. ma rage de vivre debout et pas à genoux.
15:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, 11 septembre 2001, alain soral, alterinfo, caroline fourest, chokri belaïd, complotistes, complots, désinformation, dieudonné, égalité et réconciliation, etats-unis, france télévision, hymne à la joie, internautes, internet, investig'action, iran, islamistes et terroristes, jacques cheminade, l'opposant assassiné, les réseaux de l'extrême, martyr, médias, michel collon, reopen 911, réseau voltaire, thierry messan, tunisie.
JE DENONCE 28
Je dénonce les Hommes,
Ceux qui règnent
Sur une totalité impersonnelle,
D'exiger
L'impossible comparaison des incomparables,
Alors que la seule exigence recevable
Ne devrait toujours concerner
Que l'équité et l'égalité entre tous.
09:22 Publié dans JE DENONCE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, dénoncer, je dénonce, humain, régner, totalité, totalitaire, totalitarisme, impersonnel, exiger, exigence, impossibilité, comparaison, incomparable, recevabilité, recevable, équité, égalité, allemagne de l'est, la stasi