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26/08/2013

THIBAUD COUTURIER SALLE NOUGARO TOULOUSE LE 27 Septembre 2010

(Captation personnelle)

 

THIBAUD COUTURIER

SALLE NOUGARO

TOULOUSE

LE 27 Septembre 2010


Thibaud COUTURIER:

Un univers musical et poétique très personnel, caractérisé par des textes dépouillés et des mélodies intemporelles.

Ses jeux de mots multidirectionnels offrent des constructions délicatement incisifs portés par une voix posée.

Mélancolie blues-amer teintée d'humour, calembours à répétition et sensibilité sur le fil....

Un style résolument original!

18/08/2013

ALLAIN LEPREST ET SES AMIS EN CONCERT AU BATACLAN

 

ALLAIN LEPREST

ET SES AMIS EN CONCERT AU BATACLAN

 

Allain Leprest, Romain Didier, Jamait, Daniel Lavoie, Hervé Vilard, Olivia Ruiz , Mon Coté Punk, Nilda Fernandez, Jehan, Agnès Bihl, Jean Guidoni, Loïc Lantoine

17/08/2013

Françoise SAGAN

SAGAN.jpg

Date : 12/12/1963  Crédits : Pascucci, Bernard / INA 


 

Françoise Sagan lors du tournage de "Portrait souvenir : Stendhal" 

 

Elle avait 19 ans

Lorsqu'est paru son premier roman:

"Bonjour Tristesse"

Moults oeuvres,

Un accident gravissime,

Bien de l'alcool,

Bien de la drogue plus tard...

Désargentée,

Presque abandonnée de tous,

Une embolie pulmonaire la libère!

Nous sommes le 24 Septembre 2004....

Bonjour Tristesse!

23/07/2013

LA BOÎTE A LETTRES: VOLTAIRE


LA BOÎTE A LETTRES

VOLTAIRE

(© copyright Musée des Lettres et Manuscrits)

 

Non seulement je suis un transfuge, Cher Catilina, ... mais j'ai encore tout l'air d'être un paresseux... Je m’en excuserai d’abord sur ma paresse en vous disant que j’ai travaillé à Rome sauvée que je me suis avisé de faire un opéra Italien de la tragédie de Sémiramis, que j’ai corrigé presque tous mes ouvrages, et tout cela sans compter les temps perdus à apprendre le peu d’allemand qu’il faut pour n’être pas acquis en voyage chose assez difficile à mon âge. Vous trouverez fort ridicule et moi aussi qu’à cinquante ans l’auteur de la Henriade s'avise de vouloir parler allemand à des servantes de cabaret mais vous me faites des reproches un peu plus vifs que je ne mérite assurément pas. Ma transmigration a coûté beaucoup à mon cœur mais elle a des motifs si raisonnables, si légitimes et j’ose le dire si respectables qu’en me plaignant de n’être plus en France personne en peut m’en blâmer. J’espère avoir le bonheur de vous embrasser vers la fin de novembre. Catilina et les ducs d’Alençon les recommanderont à vos bonnes grâces dans mon grenier et les nouveaux rôles des Rome sauvée arriveront à ma nièce dans peu de temps. Je n’attends qu’une bonne occasion pour les lui faire parvenir. Comment puis-je mieux mériter ma grâce auprès de vous que par deux tragédies et un théâtre ? Nous étions faits pour courir les champs ensemble, comme les anciens troubadours. Je bâtis un théâtre, je fais jouer la comédie partout où je me trouve...  A Berlin, à Postdam, c'est une chose plaisante d'avoir trouvé un prince et une princesse de Prusse tous deux de la taille de mademoiselle Gossin,  déclamant sans aucun accent et avec beaucoup de grâce. Mademoiselle Gossin est à la vérité supérieure à la princesse. Mais celle-ci a des grands yeux bleus qui ne laissent pas d’avoir leur mérite. Je me trouverai en France on ne parle que notre langue. L’allemand est pour les soldats et pour les chevaux.  Il n’est nécessaire que pour leur route.

En qualité de bon patriote, je suis un peu flatté de ce petit hommage qu’on rend à notre patrie, à trois cents lieues de Paris. Je trouve des gens élevés à Koenigsberg qui savent mes vers par cœur, qui ne font pas de jaloux, qui ne cherchent point à me faire des niches. A l’égard de la vie que je mène auprès du Roy, je ne vous en ferai point le détail.

C'est le paradis des philosophes. Cela est au-dessus de toute expression. C'est César, c'est Marc Aurèle, c'est Julien, c’est parfois l’abbé Dechaulieu avec qui on soupe, c'est le charme de la retraite, c'est la liberté de la campagne avec tous les petits agréments de la vie qu'un seigneur de château qui est roi peut procurer à ses très humbles convives. Pardonnez-moi donc mon cher Catilina et croyez que quand je vous aurai parlé vous me pardonnerez bien davantage. Dites à César les choses les plus tendres, gardez avec cela une force inviolable. Cela est de conséquence

 

Bonsoir je vous embrasse tendrement

02/07/2013

PREPARATION DE TAPIS EN TERRE DU TEIDE MARS 2013

(Captation Personnelle)

 

PREPARATION DE TAPIS

EN TERRE DU TEIDE

LA OROTOVA

ÎLE DE TENERIFE

MARS 2013

30/05/2013

JE M'ACCUSE 28

JE M'ACCUSE.jpg

 

Je m'accuse

De n'avoir jamais eu la hargne

D'apprendre

A détester l'irréversible.

01/05/2013

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : "EMBELLISSONS UN EPOUVENTAIL"

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE 

"EMBELLISSONS UN EPOUVENTAIL"

 

Avec un bon coup de peigne, Cyclopède (Pierre DESPROGES) rend un homme laid, présentable.


  • Emission
  • La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Agence, Paris : France 3
  • Générique
  • réalisateur
    Fournier, Jean Louis
  • producteur
    Desproges, Pierre
  • interprète
    Desproges, Pierre

17/01/2013

SE RENCONTRER ENCORE 7

RETROUVAILLES.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


SE RENCONTRER ENCORE

7


-- «C'est bon, je vois! C'est plus grave encore que je le pensais. Et par conséquent, c'est plus grave que tout. Donc, il s'agit d'une déception amoureuse, c'est ça n'est-ce pas?

Décidément, la foi de l'humain au dieu amour n'est pas prête à s'amenuiser dans l'éternité qui lui semble expressément réservée avec un souci du perpétuel recommencement qui devrait tout de même commencer à nous laisser, si ce n'est perplexes, à tout le moins songeurs. Pourtant, ça n'est pas faute de le savoir, ce bel objet de tentation sait aussi se faire fuyant, triste et insatisfaisant.

Constatons à quel point, hormis c'est vrai quelques passions essentielles, certes, mais si souvent éphémères, il lui arrive d'apparaître âpre, besogneux voire cynique. Comment nous y prenons-nous, dites-moi, pour trouver encore dans les ultimes décombres des humiliations successives l'énergie nécessaire à d'autres tentatives. Avouez tout de même le bien fondé de cette question-là! Qu'est-ce qui peut bien générer la force, la cohérence et la belle intensité d'une rencontre impromptue s'identifiant d'emblée dans une nouvelle osmose?

Est-ce que cela tient de la violente disproportion qui s'insinue, suspecte, à l'embrasé de l'émotion, ou plutôt de la séduisante singularité procurée par l'infini trouble d'un désir naissant?»

(A SUIVRE...)

 

02/01/2013

DITES-LUI " JE T'AIME "

 

 

DITES-LUI

" JE T'AIME "

Phrases cultes

10/02/2010 - 01min30s

 

Propos injurieux et insultes sont monnaie courante à la télévision. Quand les politiques, journalistes, sportifs ou acteurs dérapent en direct...

 

Production

Institut national de l'audiovisuel

Générique

Bras, Philippe
 

31/08/2012

Thomas PIERRON: "VERS A DANSER" (Louis ARAGON)

 

Thomas PIERRON

"VERS A DANSER" 

(Louis ARAGON)

 

Textes de Louis Aragon (Extrait de  » Le Fou d’Elsa ») – 1963
Musique de Thomas – Janvier 2012

20/07/2012

Jean RENOIR : Présente les personnages de "La Marseillaise"

Jean RENOIR

Présente les personnages de "La Marseillaise"

 

Suite et fin de l'interview de Jean RENOIR qui parle des personnages de son film "La marseillaise, extrait d'un couplet de la Marseillaise.


Générique

Renoir, Jean
 

15/06/2012

AU SOMBRE DU DENSE

homme-solitaire-foret.jpg

 

 

AU SOMBRE DU DENSE

 

Le nouveau englouti au fin fond d'un cul de sac

Par ce mal qui le ronge avec une extraordinaire intensité

Depuis l'histoire maudite issue du grand désastre,

Il est devenu avec le temps quelqu'un de trop complexe

Pour cette vie de destructions qui ne cesse de s'accroître.

 

Dans sa vision de monde, au sombre du dense,

Qui compressait ses ambitions jusqu'au presque rien,

Il a choisi, porté par l'exacerbé d'une triste vie,

De redevenir cet homme seul qui progresse

Au fil d'une route perdue qui ne mène nulle part.

 

Poussé par l'obsession à son extrémité absolue,

Radical pari d'un regard neuf et très aiguisé,

Il s'est fait voyageur heureux de sa liberté retrouvée.

 

Telle une parole précieuse surgi d'un brouillard hésitant,

Il s'approche, en un feutré subreptice, de la possible vérité

Qui le sortira de son impasse en lui offrant sa vitale respiration.

 

P. MILIQUE