07/11/2016
ÉPUISANT CAUCHEMAR 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
ÉPUISANT CAUCHEMAR
2
Mauvaises vibrations tout au long de cette nuit.
Situation étrange et inconfortable qui cerne tout.
Mon regard glisse sur un brouillard récalcitrant
Qui m'interdit toute possibilité de capter les reflets
D'une tangibilité codifiée, complexe et fluctuante.
Mauvaises vibrations tout au long de cette nuit.
Tout passer sous silence se révèle vite impossible.
Offre-moi tes confidences, tes joies, tes douleurs.
Partage avec moi! Explique-moi! Réconforte-moi
Pour m'assister à mieux maîtriser mon angoisse,
Pour étouffer au mieux les mauvaises vibrations.
A moins que tout n'est été qu'un épuisant cauchemar?
Si tel est vraiment le cas, pardonne-moi de tout cela.
(FIN)
P. MILIQUE
10:03 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, situation, étrange, savoureuse, inconfortable, cerneau, regard, glisser, brouillard, récalcitrant, interdiction, possibilité, discriminatoire, capter, reflet, tangibilité, codifier, complexe, fluctant, passer sous silence, dédier, révélation, vitesse, offrir, confidence, joie, douleur, partage, expliquer, réconforter, assistanat, miteux, maîtrise, angoisse, étouffer, pardonner, oxygénation, scléroser
19/05/2016
PAR CRAINTE DE DÉCEVOIR
PAR CRAINTE DE DÉCEVOIR
Il prend forme en lui telle une évidence,
Une angoisse aveuglante, assourdissante,
Qu'il lui faut daigner nommer: il a peur!
Peur de la désenchanter
Tant elle sait discerner
De rais de lumière en lui.
Peur de ne pas le mériter.
Peur aussi de son insondable fragilité,
Peur de son existence détériorée déjà.
Peur enfin de son propre feu intérieur,
Et peur de trop revendiquer l'illusoire.
Que son fier amour lui pardonne,
Lui qui a tant fait pour lui offrir
L'intégralité de ce qu'il constitue.
Lui qui lui propose grand ouvert
Le chemin d'un bonheur indicible.
Lui qui insuffle sa force impétueuse,
Qui l'enjôle de son immuable sourire.
Lui qui l'aime tellement et le lui dit.
Si elle savait combien il s'apprécie peu,
Si elle savait à quel point elle lui et tout.
Dans quelques minutes l'heure sera venue:
Elle va vouloir lui offrir le baiser du soir.
Moment tant attendu où, pour clore le jour,
L'amour affolé s'exacerbe davantage encore:
A tout de suite si douce, si amoureuse aimée.
P. MILIQUE
14:36 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, crainte de décevoir, prendre forme, évider, gendarmerie nationale, angoisse, aveugler, assourdissant, dignitaire, peur, désenchanter, diriger, discerner, rai de lumière, méritoire, insondable, fragiliser, détérioration, feu intérieur, revendication, illusoire, fier, amour, pardonner, occir, intégralité, constituer, propos, ouvert, chemin, bonheur, indicible, insuffler, force, impétueux, enjôleur, immuable, sourire, conceptuel, minute, heure, hormis, baiser du soir, clore le jour, affolé, doucette, amoureuse, major, doctrine, terminologie
03/03/2016
FÉLIN POUR ELLE 29
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
FÉLIN POUR ELLE
29
Ce jaillissement continu alimenté d'ondes de force positive l'a réinstallée sur le chemin d'un épanouissement qui s'était quelque peu égaré. L'émerveillement est de fait un éternel recommencement qui tire sa délectation première du sensoriel. En vérité, j'aimerais savoir mieux te matérialiser cette fulgurance qui exalte de potentiel créatif. Et poétise chaque infime de quotidien. Mais je suis pauvre pour le dire, je m'en rends bien compte, et je n'y parviens pas vraiment...
Ne te fatigue pas! Sans vouloir aucunement t'offenser, le fil de ma réflexion m'aurait conduit à la même conclusion!
Cependant, et pardonne-moi d'insister avec quelque lourdeur, tu n'as pas vraiment, si je ne m'abuse, répondu à ma question. Pour le coup, la seule qui soit réellement importante. Parce qu'elle les contient toutes.
Ah ça Eliott, tu me connais mal! Je ne suis pas Ours à me défausser. Je n'ai aucune envie d'esquiver ta requête. Pas même l'intention. Mieux, j'éprouve une grande nécessité à y répondre. Si je ne le faisais pas, cela pourrait rester une zone mystérieuse prompte à engendrer malentendus et quiproquos. Et ça vois-tu...
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
15:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, jaillissement continu, alimentation, onde, force, positif, eéinstaller, chemin, épanouissement, égarement, émerveillement, fait, éternel, recommencement, tirage, délectation, première, sensoriel, vérité, aimer, miteux, matérialiser, fulgurance, extatique, potentiel créatif, poétiser, chatte, infirmer, quota, pauvreté, rendre compte, perfectionnement, fatigue, vouloir, aucun, offenser, fil, réflexion, conduire, conclusion, pardonner, insister, lourdeur, abuser, répondre à la question, imprtance, contenir, défausser, envie, esquiver
29/11/2015
UN BRÛLANT MAL D'EXISTER
UN BRÛLANT MAL D'EXISTER
Elle concentrait ses blessures
En son tréfonds, bien cachées,
Arrosant ses atroces brûlures
De whiskies chevaleresques.
Et si ces étranges estafilades
La déterminaient excentrique,
C'est que de secrètes tortures
Trop souvent la déchiquetaient.
Elle transpirait le mal de vivre!
Elle transpirait le mal d'exister!
L'avez-vous un jour comprise?
Avez-vous essayé de le faire
Avant que tout cela ne finisse
Par faire d'être cet être brisé?
Pour ma part, je me reprocherai
Toujours de ne pas m'y être aventuré!
Si ton âme nous chaperonne Janis,
Pourras-tu jamais nous pardonner?
Tu n'étais pas vraiment belle, non,
Mais tu étais tellement plus que ça!
Tu étais l'exceptionnelle, l'unique,
Simplement parce que tu étais toi.
P. MILIQUE
12:45 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, janis joplin, brûlure, mal d'exister, contnance, blessure, tréfonds, cachette, arrosage, atrocité, whiskies, chevaleresque, étranger, estafilade, déterminisme, excentricité, secrétion, torture, sourdine, déchiqueter, transpiration, mal de vivre, compréhension, tentative, finition, être brisé, partitionreproche, essayer, âme, chaperonner, pardonner, belle, exceptionnelle, unique, simplifier, concentration, aventurre
01/04/2015
MORTELLE DÉCADENCE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
MORTELLE DÉCADENCE
2
Il veut encore apaiser ses sens aux seins des femmes libérés
Sous la fine dentelle, s'émouvant à chaque frisson de vent léger,
Et voir l'été pardonner à l'hiver ses fonds d'âme mélancoliques
Ainsi que, pourquoi pas, affirmer l'état d'indépendance initial
Rudement acquis par nos ancêtres pour défier, engeance vitale,
La faillite des biens personnels obscènes, logiquement évaporés.
Oui, parfois il y songe, si cette raisonnable utopie pouvait être!
Depuis quelques jours, je parle à nouveau aux peupliers.
Mais ils ne m'accordent jamais aucune attention bien sûr:
Absorbé par l'éternité, ils ont tellement mieux à faire.
Eux écoutent, mélomanes ancestraux, la mélodie du vent.
(FIN)
P. MILIQUE
09:38 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, momifier, décadaire, immortaliser, ancrage, apaiser, sensoriel, seins, libération, féminine, fine dentelle, s'émouvoir, chanter, frisson, ventilateur, négrier, voyance, été meurtrier, pardonner, hiver, fond, armateur, mélancolique, porquerolles, affirmatif, état indépendant, initialiser, rudoyer, acquisition, ancêtre, défier, engeance, vital, faillite, biens, personnifier, obscène, logique, évaporation, parfaire, songe d'été, raisonnable, utopiste, nouveau, peuplier, accorder, attention, sûreté, absorber, éterniser
04/03/2015
MANSUÉTUDE SUGGÉRÉE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
MANSUÉTUDE SUGGÉRÉE
2
Toi qui m’observe émerger du néant, je fais confiance à ta mansuétude.
Tu sauras me pardonner cet assèchement de moi que je ne maîtrise pas.
Au centre de cet insupportable chaos qui m’a projeté dans l’inéluctable,
Je me retrouve désemparé comme devant un amoncellement de pierres
Qui, avant d’être contraint de devenir un éboulis informe et désordonné,
Constituait un mur incertain certes, mais qui semblait tout à fait fiable.
La désillusion m’afflige. Je me découvre empreint d’une nouvelle fragilité.
Les mots déserteurs désormais ne répondent plus. Mais le combat continue.
Parce qu’il en est de la plus brûlante et de la plus impérieuse des nécessités.
(FIN)
P. MILIQUE
10:11 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, mansarde, sujet, observation, émerger, néant, faire confiance, mansuétude, saurien, pardonner, celte, assèchement, maîtrise, centriste, insupportable, chaos, projection, inéluctable, retrouver, désemparé, devancer, amoncellement, pierre, contrainte, devenir, éboulis, informe, désordonné, constitutif, mural, incertitude, certifier, sembler, fiabilité, désillusion, affliger, découvrir, empreinte, nouvelle, fragilité, féserteur, désordre, répondre, le combat continue, brûlure, impérieux, nécessité
26/06/2014
FRAGILITÉ DÉBUSQUÉE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
FRAGILITÉ DÉBUSQUÉE
2
Quand la folie des jours balaie les illusions,
Il l’éprouve parfois le front rougi de honte
Et d'anxiété parce qu'il ne s'autorise jamais,
Ni ne se pardonne, la moindre des faiblesses
Ni le plus bref abandon, aussi furtif soit-il.
Qui, dans ces conditions, peut imaginer
Le prix exorbitant exigé d'un sourire?
Des pensées-paysages exaltent les jours
De grand soleil dans une campagne brûlante
Qui aurait pactisé avec un souffle profond
Dans la troublante insouciance d'un rire.
FIN
P. MILIQUE
09:31 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, folie, jour, balayer, illusioniste, éprouver, front, rougir, honte, anxiété, s'autoriser, pardon, pardonner, amoindrir, faiblesse, bref, abandon, furtif, conditionnel, imaginaire, orageux, prix exorbitant, corail, fleur, exifence, le rouge et le noir, ville rose, maurane, gascon, pensée, paysage, exulter, soleil, campagne, brûler, capitole, pactiser, pacte, ventouse, souffle, prfondeur, troublant, insouciance, luxure, rire, avion, canal du midi
17/06/2014
LE PARDON 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
LE PARDON
2
Elle a pardonné bien sûr. Cela n'aurait pu être différent : c'est tellement rationnel le pardon.
Le mot, dès qu'il est évoqué, remue tant de souffrances. Fouille tant de rancœurs peut-être. Cet état cadenasse toute possibilité d'échanges. Il devient alors nécessaire de dépasser l'amère frustration éprouvée, pour ne plus avoir à se soumettre dans l'infime d'une quelconque durée, à son intolérable servitude. Tout ce qui tourmente au cœur ayant la fâcheuse propension à entraîner les pensées dans le cercle vicieux d'incantations pesantes, il convient de l'éradiquer avec la plus grande fermeté.
C'est un bel acte que celui de pardonner. C'est l'irruption, sur la scène du jour, de ce que l'on croyait impossible. Et aussi, cela provoque une rupture définitive dans l'amère chaîne du ressentiment. Il est important de se battre contre la réalité et il se trouve que certaines injonctions y sont plus favorables que d'autres. Car enfin, le passé qui encombre n'est que du passé, n'est-il pas ? Et en tant que tel, il ne peut exister au présent. Cela peut se révéler obsédant certes, exaspérant peut-être, mais à quoi peut bien rimer de poursuivre une lutte contre ce qui n'est plus ? C'est quoi un destin sinon un chapelet d'erreurs ? Et puis, est-il vraiment indispensable de comprendre pour accepter ce qui est ? Il est autrement plus important d'être dans le non-jugement et de consentir au présent. Non ?
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, pardonner, sûreté, différence, tellurique, rationel, mot, évocateur, remuer, souffrance, fouiller, rancoeur, étatique, cadenasser, possibilité, échange, devenir, nettoyer, dépasser, amer, frustration, éprouver, avancer, soumettre, infirme, quelconque, durée, intolérable, servitude, tourment, coeur, fâcheux, propension, entraîneur, ênsée, cercle vicieux, incantation, pesant, convenir, éradication, fermeté, beauté, actualiser, irruption, scène, croyance, proposer, tupture, définitif, âcre
16/06/2014
LE PARDON 1
LE PARDON
1
Ses yeux lui ont parlé et elle a senti levé en elle un souffle nouveau : celui de la réception. Sa conscience a capté l'évidence imposée par la noirceur de l'ombre se déposant sur la limite du devenir. C'est qu'il convient de bien prendre garde à ne pas faire sauter trop de mailles dans le tricot du temps. Et surtout, à laisser les mots flâner à la source jusqu'à ce qu'ils parviennent à dire l'essentiel : je t'aime. Y compris à la vie.
Son regard à lui s'est posé sur elle, non pas pour la dernière fois mais, semble-t-il, pour la première ! Il a ce faisant ouvert en grand sa porte aux anges de passage.
Ceux-ci lui demandaient assistance pour la grande traversée. Et sollicitaient son pardon.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
11:05 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, pardon, pardonner, oeil, yeux, parler, sentir, lever, souffle, nouveau, réception, conscience, cpteur, évidence, imposant, noirceur, ombre, déposition, limite, devenir, convenance, prison, gardien, faire sauter, maille, tricoter, temps, laisse, motivation, flâner, sourcier, parvenir, essentiel, aimer, compréhension, virus, regard, postier, dernier, foie, sembler, primeur, facile, ouverture, grandeur, porteur, anfe, passage, demander, assistance
08/03/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 24/02/2014
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
24/02/2014
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, : au magma présent de l'écriture, ciel, nuremberg, glacier, altitude, approcher, remarque, forme humaine, coucher sur le ventre, randonneur, mode, gendarme, autriche, déterrer, sexe masculin, jonc tressé, veste, fourrire, estimation, confier, fatal, poumon, se perdre en conjectures, spectacle, majestueux, altier, perçant, périscopique, foudre, hiératique, divinité, flageoller, principe, précaution, vexer, teigneux, pardonner, faux-pas, minuscule, vigneron, correctionnel, libre arbitre, négliger, enjoindre, insecticide chimique, destructeur, mortel, vigne, faveur
13/02/2014
CHARLOTTE DELBOT: "ENVOI"
CHARLOTTE DELBOT
"ENVOI"
Poèmes lus par
CLOTILDE DE BAYSER
Références in: "MESURE DE NOS JOURS" © Minuit 1971
Charlotte Delbo naît en 1913 à Paris. Elle adhère à la Jeunesse communiste en 1932 et rencontre Georges Dudach en 1934, qu'elle épouse. Assistante de Louis Jouvet, de 1938 à 1941, jusqu'au départ du comédien, en mai 1941, pour une tournée en Amérique latine. Avec son mari, elle entre dans la Résistance en 1941 et fait partie du « groupe Politzer », responsable de la publication des Lettres françaises dont Jacques Decour était rédacteur en chef. Ils sont arrêtés le 2 mars 1942 et Georges Dudach sera fusillé au Mont Valérien, le 23 mai 1942, à l'âge de 28 ans. D'abord incarcérée à la Santé, à Paris, elle est transférée à Romainville, le 24 août 1942, avant d'être déportée à Auschwitz, par le convoi du 24 janvier 1943 - un convoi de 230 femmes dont elle racontera le destin, après la guerre. Elle est l'une des 49 femmes rescapées de ce convoi et portera, le reste de sa vie, le numéro 31661 tatoué sur le bras. Par la suite, elle est envoyée à Ravensbrück le 7 janvier 1944. Libérée par la Croix-Rouge le 23 avril 1945, elle est rapatriée en France en passant par la Suède. Après la guerre, Charlotte Delbo travaille pour l'O.N.U. puis, à partir de 1960, au C.N.R.S., devenant la collaboratrice du philosophe Henri Lefebvre. Elle mourut à Paris en 1985.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt Prise de son Djaisan Taouss Montage Anne-Laure Chanel
00:24 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : : au magma présent de l'écriture, marie richeux, thomas vinau, polaroid, son of dave, signature, plumage, passer en revue, bâtard, côtoyer, tordre le cou, montreur d'ours, réjouissance, rendre familier, wiels, espace d'art contemporain, bruxelles, fermeture, librairie, publication, vaut le détour, bonheur, caractériel, informatif, complémentaire, supplémentaire, binome, connaissance, prière, pardonner, muscle, vêtir, tumultueux, squelette, quinconce, explorateur, hommage, avignon, mourir, mendiant, salut, aurore, aube, livide, mont valérien, sang, trio espérenza
10/02/2014
CHARLOTTE DELBOT "MESURE DE NOS JOURS"
CHARLOTTE DELBOT
"MESURE DE NOS JOURS"
"CE POÈTE..."
(il s'agit non pas du titre mais des premiers mots du poème)
Poèmes lus par
CLOTILDE DE BAYSER
Références:
IN
"MESURE DE NOS JOURS"
© Minuit 1971
Charlotte Delbo naît en 1913 à Paris. Elle adhère à la Jeunesse communiste en 1932 et rencontre Georges Dudach en 1934, qu'elle épouse. Assistante de Louis Jouvet, de 1938 à 1941, jusqu'au départ du comédien, en mai 1941, pour une tournée en Amérique latine. Avec son mari, elle entre dans la Résistance en 1941 et fait partie du « groupe Politzer », responsable de la publication des Lettres françaises dont Jacques Decour était rédacteur en chef. Ils sont arrêtés le 2 mars 1942 et Georges Dudach sera fusillé au Mont Valérien, le 23 mai 1942, à l'âge de 28 ans. D'abord incarcérée à la Santé, à Paris, elle est transférée à Romainville, le 24 août 1942, avant d'être déportée à Auschwitz, par le convoi du 24 janvier 1943 - un convoi de 230 femmes dont elle racontera le destin, après la guerre. Elle est l'une des 49 femmes rescapées de ce convoi et portera, le reste de sa vie, le numéro 31661 tatoué sur le bras. Par la suite, elle est envoyée à Ravensbrück le 7 janvier 1944. Libérée par la Croix-Rouge le 23 avril 1945, elle est rapatriée en France en passant par la Suède. Après la guerre, Charlotte Delbo travaille pour l'O.N.U. puis, à partir de 1960, au C.N.R.S., devenant la collaboratrice du philosophe Henri Lefebvre. Elle mourut à Paris en 1985.
Poèmes choisis par Lorette Nobécourt
Prise de son Djaisan Taouss
Montage Anne-Laure Chanel
18:28 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, marie richeux, thomas vinau, polaroid, son of dave, signature, plumage, passer en revue, bâtard, côtoyer, tordre le cou, montreur d'ours, réjouissance, rendre familier, wiels, espace d'art contemporain, bruxelles, fermeture, librairie, publication, vaut le détour, bonheur, caractériel, informatif, complémentaire, supplémentaire, binome, connaissance, prière, pardonner, muscle, vêtir, tumultueux, squelette, quinconce, diversité, buste, châpeau, roturier, boire aux terrasse, épouser, pulitzer, promesse, rosier, âpre, mentir, exigence, amour, polytechnique