01/04/2017
FIÈVRES PERNICIEUSES
FIÈVRES PERNICIEUSES
Espace indéfiniment saturé de vibrations immobiles
Dans la stupeur grandissante d'images brouillées
Qui s'affichent aussi fragiles que vulnérables.
Dans les ruines ombrées d'un désastre annoncé,
Fermente le souffle chargé de fièvres pernicieuses
Qui, dans l'anarchique mouvement d'une dérive maussade,
Considère peu le voile subtil et pervers exhibé
Dans l'indifférence cruelle d'une excoriation,
Représentation absolue et souveraine de la souffrance.
P. MILIQUE
09:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, fièvre, pernicieux, espace, indéfiniment, saturé, vibration, immobilité, stupeur grandissante, image brouillée, s'afficher, fragile, vulnérable, ruines, ombres, désastre annoncé, fermenter, le souggle chargé, movement anarchique, dérive maussade, peu de considération, volie subtil, pervers exhibitionniste, cruelle indifférence, excoriation, représentation, absolue, souffrance souveraine
27/04/2015
AU BRASIER DU MYSTÈRE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
AU BRASIER DU MYSTÈRE
2
Jusque-là, ses confessions prenaient quelques risques.
Mais à trop exposer ses faiblesses nées de blessures affleurantes,
Il a extirpé de l'ombre opaque l'ineffaçable traumatisme
Et se retrouve cantonné à la charnière même de la désolation.
Si vulnérable, si fragile, le silence alors se désintègre
Lorsque ses mots tristes éclatent en sanglots
Plus obscurs encore que la clarté muette d'un couchant d'hiver.
A se trouver ainsi placé, par sa faute, sous le regard de l'autre,
Et parce qu'il n'existe pas de petites hontes inutiles,
La voilà qui s'instille en lui, cristaux liquides et transparents.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, justicier, confession, prière, carcasse, risque, tropisme, exposition, faiblaisse, naître, blessure, affleurer, extirper, ombre, opacifier, ineffaçable, traumatisme, retors, cantonner, charnière, désolation, vulnérable, fragile, sitcom, désintégration, tristiunet, éclater, sangloter, obscurcir, jamais, clarifier, mutisme, couchant, hiver, torpeur, placer, fautif, soustraire, regarder, autre, exister, pastiche, petitesse, honte, inutile, instiller, luir, cristaux liquides, transparence
12/11/2014
EN MODE SURVIE 1
EN MODE SURVIE
1
Un nuage est passé et tout a obscurci.
Désormais il pleut, il fait froid, le vent souffle et le ciel est gris.
Le ciel s'éprouve vulnérable de mélancolie et de vague à l'âme.
Nous vivons au centre même d'un temps morose
Qui annihile jusqu'à l'envie de bouger.
Il est devenu impossible de mêler l'éclat de nos rires
Aux chaudes larmes de nos délires.
Le spleen s'est abattu au vif des états d'âme
Obligeant à rester là, terré au creux de son lit,
A façonner l'amertume en perles de dégoût,
A errer dans un champ de ruines amères
Disposées en mode survie
Dans laquelle la rage éprouvée envahit tout.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
09:57 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, tristesse, nuage, passoire, totaliser, obscurcir, désordre, pleuvoir, factieux, froid, ventiler, souffler, ciel, gris, céleste, éprouver, vulnérable, mélancolie, vague à l'âme, vivre, au centre, momifier, tempête, morosité, annihiler, cadavre, envie, bouger, devenir, impossible, en grève, mêler, éclat de rire, chaud, larme, délire, spleen, abattre, état d'âme, obligation, rester, las, terroir, creuser, literie, façonner, amertume, perle, dégoût
21/05/2014
AU BRASIER DU MYSTÈRE 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
AU BRASIER DU MYSTÈRE
2
Jusque-là, ses confessions prenaient quelques risques.
Mais à trop exposer ses faiblesses nées de blessures affleurantes,
Il a extirpé de l'ombre opaque l'ineffaçable traumatisme
Et se retrouve cantonné à la charnière même de la désolation.
Si vulnérable, si fragile, le silence alors se désintègre
Lorsque ses mots tristes éclatent en sanglots
Plus obscurs encore que la clarté muette d'un couchant d'hiver.
A se trouver ainsi placé, par sa faute, sous le regard de l'autre,
Et parce qu'il n'existe pas de petites hontes inutiles,
La voilà qui s'instille en lui, cristaux liquides et transparents.
(A SUIVRE...)
P. MILIQUE
10:48 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, confession, prendre, risque, exposer, faiblesse, naître, blessure, affleurer, extirper, ombre, opaque, ineffaçable, traumatisme, retrouver, cantonner, charnière, égal, désolation, vulnérable, fragile, silence, désintégrer, triste, éclater en saglots, obscur, clarté, muet, couchant, hiver, trouvère, placier, fautif, regard de l'autre, existence, petitesse, honte, inutile, instiller, cristaux liquides;transparence
09/04/2014
FIÈVRES PERNICIEUSES
FIÈVRES PERNICIEUSES
Espace indéfiniment saturé de vibrations immobiles
Dans la stupeur grandissante d’images brouillées
Aussi fragiles que vulnérables éthers....
Dans les ruines probables d’un désastre annoncé
Fermente le souffle éphémère de fièvres pernicieuses
Qui, dans l’inéluctable d’une dérive maussade
A jamais taillée pour le malheur avide,
Considère le voile subtil et pervers qu'exhibe
L’absolue souveraineté d'une souffrance en acmé
Dans l’indifférence cruelle de l'excoriation.
P. MILIQUE
09:37 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, fièvre, pernicieux, espace, indéfiniment, saturation, vibration, immbile, stupeur, grandissant, image, brouillard, fragile, vulnérable, éther, ruine, probable, désastre, annonciateur, ferment, souffle, éphémère, inéluctable, dérive, maussade, tailler, malheur, avidité, considérer, voile, subtil, pervers, exhibition, absolunsouveraineté, souffrance, acmé, indifférence, cruel, excoriation
29/01/2014
FIÈVRES PERNICIEUSES
FIÈVRES PERNICIEUSES
Espace indéfiniment saturé de vibrations immobiles
Dans la stupeur grandissante d’images brouillées
Aussi fragiles qu'incertains et vulnérables éthers....
Dans les ruines probables d’un désastre annoncé
Fermente le souffle éphémère de fièvres pernicieuses
Qui, dans l’inéluctable d’une dérive maussade
A jamais taillée pour le malheur avide,
Considère le voile subtil et pervers qu'exhibe
L’absolue souveraineté d'une souffrance en acmé
Dans l’indifférence cruelle de l'excoriation.
P. MILIQUE
09:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, fièvre, pernicieux, espace, indéfini, saturer, saturation, vibratoire, vibrer, immobilitser, stupéfaction, stupeur, stupre, grandir, imager, brouillard, brouiller, fragiliser, fragile, incertain, vulnérabilité, vulnérable, éther, ruine, probable, désastre, annonciateur, fermentation, fermenter, souffle, éphémère, inéluctable, dérivatif, maussade, tailler, vider, considération, considérer, voie, subtil, pervers, persité, s'exhiber, exhibition, absolu, souverain, souveraineté, souffrance, acmé, acnée
19/11/2013
FIÈVRES PERNICIEUSES
© Maxime Desmettre pour NVArt Nvidia / CGSociety
FIÈVRES PERNICIEUSES
Espace indéfiniment saturé de vibrations immobiles
Dans la stupeur grandissante d’images brouillées
Aussi fragiles que vulnérables.
Dans les ruines probables d’un désastre annoncé
Fermente le souffle éphémère de fièvres pernicieuses
Qui, dans l’inéluctable d’une dérive maussade
A jamais taillée pour le malheur avide,
Considère avec une moue inquiète
Le voile subtil et pervers exhibant
Dans l’indifférence cruelle d’une excoriation,
L’absolue souveraineté de la souffrance.
P. MILIQUE
17:32 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fièvre, espace, vibration, stupeur, fragile, ruine, désastre, éphémère, pernicieux, dérive, malheur, pervers, exhibition, cruel, souffrance, spatial, indéfiniment, saturation, saturé, vibratoire, immobile, stupéfier, superfétatoire, grandissant, amplifier, image, oeus brouillés, broiller, brouillade, fragilité, vulnérable, ruines, probabilité, désastre annoncé, ferment, fomenter, fermenter, souffle, éphéméride, inéluctable, dérivation, déviation, déviant, maussade, taller, avide
15/11/2013
LE PARFAIT RIDICULE
LE PARFAIT RIDICULE
J’ai tant de difficultés à cautériser la moindre blessure !
Je n’en peux plus de m’éprouver tellement vulnérable,
Je m’épuise en incursion répétée au cœur du ridicule,
Je n’en peux plus, non, de mon grotesque foisonnant.
Qu’il est donc erroné en moi ce concentré d’orgueil
Si mal dissimulé au centre d’une humilité maladive.
Je suis assujetti à l’insupportable d’une situation délétère
Non affranchie d’un irrépressible sentiment d’inconfort,
Et je vis sans discernement ma dure réalité d’humanoïde.
Pour le médiocre que je suis, écrire c’est tromper l’absence.
Alors, au cœur tourbillonnant de mon insatisfaction, j’écris !
P. MILIQUE
09:33 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, parfait, ridicule, difficulté, cautériser, amoindrir, blessure, éprouver, tellement, vulnérable, s'épuiser, incursion répétée, au coeur du ridicule, grotesque, foisonnant, érroné, concentré, orgueil, mal dissimulé, au centre, humilité, maladif, assujettir, insupportable, situation, délétère, affranchir, irrépressible, sentimental, inconfortable, vivre, sans discernement, écrire, tromper, absence, insatisfaction, dure réalité, humanoïde
12/11/2013
INCOHÉRENCES PRIMITIVES
INCOHÉRENCES PRIMITIVES
Dans l'expression d'une énergie universelle,
L'instinct et l'intuition se mêlent à l'appétit d'absolu,
Pour faire de ses états émotionnels une source infinie de créativité.
Cependant, dans sa capacité qui subsiste
A ressentir les incohérences primitives
De cette violence qui l'unit parfois à ce monde animal
Qui offre de donner contour à une réalité
Hantée d'ombres secrètes et silencieuses,
Il s éprouve durement à la merci de sa vulnérabilité,
Dans l'assourdissante cacophonie de désirs et de peurs,
De désastres et de métamorphoses
Qui contient le mystère opaque
D'une mort déroutante qui immobilise.
P. MILIQUE
05:15 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : source, créativité, univers, violence, animal, ombres, secret, vulnérable, cacophonie, désir, peur, désastre, métamorphose, mort, cibler, correspondance, observer, amazon, être dans la mouvance, argument, argumenter, affabuler, affabulation, généraliser, technologie, assurer, rapport, vendre des rêves, fonctionnement, travailleur, à l'insu de mon plei gré, standart, garantie, logiciel, liberté, amour, chiffres romains, gastro, arnaque, ruines, maître du monde
10/10/2013
ACCEPTER L'EPHEMERE
ACCEPTER L’ÉPHÉMÈRE
Un soir d'adolescence désespérée qui se dissout dans un inévitable chaos.
L'impact émotionnel le propulse aux limites extrêmes de la détresse. Le moment de la rupture, la rupture même, lui est douloureusement insupportable et il aspire à se venger de la terre entière. Cataclysme. Destruction totale. La leur. Ou la sienne. C'est pareil. Une façon comme une autre d'exprimer sa révolte.
La mort ! Une idée inexorable. Une sorte de logique fatale induite par des tensions négatives beaucoup trop intenses. Dans un état de confusion totale et comme asphyxié par l'angoisse qui sourd de partout en lui. A bout de souffrances psychologiques, il retourne contre lui le potentiel d'une violence qu'il ne se connaissait pas. L'ultime violence d'un désespoir animalement humain.
Par bonheur, cela n'a pas été suffisant !
Alors il doit reprendre sa route.
Et on le retrouve abattu par l'infinie tristesse et traumatisé par l'exploration éreintante et incessante des territoires jusque-là obscurs et inconnus de sa nuit intérieure.
Tout son jeune univers a subitement basculé. Ses certitudes ont vacillé. Désormais, il doit affronter le vide moral, le manque de perspectives, l'omniprésence de l'inacceptable, l'horreur répulsive des faits avérés. Il se sent tellement abandonné, tellement vulnérable face à cette réalité impossible à modifier. La blessure est profonde. Terriblement profonde. Trop peut-être !
Parce que l'absence de l'absente lui est insoutenable et que cela le dessèche encore et encore.
Parviendra-t-il un jour à sublimer son chagrin ?
Le voilà, lui que j'ai aidé à grandir, devenu lui aussi un écorché de la vie.
Il sait désormais que certaines circonstances peuvent anéantir la beauté des êtres et faire saigner le bleu de n'importe quel ciel.
Mais, existe-t-il une autre alternative sur cette terre que d'accepter l'éphémère ?
P. MILIQUE
13:00 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, bonheur, insuffisance, reprendre, tailler la route, retrouver, abattre, infini, tristesse, traumatisé, exploration, érintant, incessant, territoire, obscur, inconnu, nuit intérieure, jeune, univers, subitement, acquis, basculer, certitude, vaciller, affronter, vide moral, manque de perspectives, omniprésence, inacceptable, horreur, répulsif, faits avérés, se sntir abandonné, vulnérable, face à face, réalité, impossible, modifier, blessure, profondeur, absence, insoutenable, déssècher, parvenir, sublimer, chagrin, justice, aider, grandir, devenir
08/05/2012
TRISTESSE
TRISTESSE
Un nuage est passé et tout a obscurci.
Désormais il pleut, il fait froid, le vent souffle, le ciel est gris.
Et l’on s’éprouve vulnérable de mélancolie et de vague à l’âme.
Nous vivons au centre même d’un temps morose
Qui annihile jusqu’à l’envie de bouger.
Il est devenu impossible de mêler l’éclat de nos rires
Aux chaudes larmes de nos délires.
Le spleen s’est abattu au vif des états d’âme
Obligeant à rester là, terré au creux de son lit,
A façonner l’amertume en perles de dégoût,
A errer dans un champs de ruines amères
Disposées en mode survie
Dans laquelle la rage éprouvée envahit tout.
Parfois la tristesse est une enfant
Qui, en descendant sur l’esprit, se pose comme la nuit.
Ou alors, redondante voyageuse solitaire,
Elle s’affirme telle l’ultime fleur
D’un vieil arbre décharné et agonisant.
Un long chemin de pluie sous un immense ciel gris
Sur lequel la tristesse flâne, nonchalante.
On a beau aimer entendre la nuit tomber,
Le froid et l’humidité ralentissent tout de même nos envies.
Et l’on tangue, désarticulé, au roulis du chagrin
Qui est en nous telle une barque qui flotte
Toute en ondulations chevauchant les remous.
Ce faisant, le moral lui aussi est à la pluie et à la brume
Et la tristesse semble prendre un malin plaisir
A toujours se déposer sur les points déjà sensibles
Et, lorsque l’on est accablé, on ne voit plus bien sûr
Que la face lasse et sombre de chaque chose.
Après la pluie vient le beau temps assure-t-on!
Cela tombe bien, demain est un autre jour.
Joie prévisible de l’alternance.
D’ailleurs, tout n’était sûrement que de la fatigue…
Une petite lueur existe toujours lorsque la déprime se déploie
Et profite de l’occurrence pour faire de cette tristesse
Un pont insoupçonné autorisant à l’autre rive
Et à certaines réalités de prime abord opposées,
De tout de même cohabiter sur les vagues d’opiniâtreté.
Faisant fi des préoccupations de chacun,
Il convient alors de s’autoriser à lâcher les armes.
Finie l’oppressante contrainte des nostalgies!
Le temps est venu de prendre le taureau par les cornes
Et de s’appliquer, chaque jour, à relever la tête
En appréciant les instants de joie nouvelle
Qui maintenant émergent et renvoient au sourire intérieur.
Mais après la pluie … le soleil, l’espoir, la vie enfin !
Intégrant les souvenirs d’un passé en voie de disparition,
La nuit s’éclipse peu à peu au profit du soleil.
Les larmes s’écoulent, douces et brûlantes,
Emportant au plus loin le chagrin, jusqu’à ce qu’il se dissipe.
Comme les oiseaux migrateurs enfin de retour,
Le jour se lève et les premières lueurs de l’astre apparaissent
Dans le lit d’ombre où sommeillait la lumière.
Un nouvel état plus serein émerge, rayonnant,
Apportant soulagement et douceur dans un écrin d’harmonie.
La tristesse… c’est la vie pense-t-on !
Cependant, il est utile de savoir qu’elle n’aime pas trop être dérangée.
A cause de cela, encourageons sans retenue chacune des volontés
Incitant à l’envi l’inconscient de songes illuminés.
Chauds les cœurs camarades!
Est venu le temps de s’ouvrir en grand au bonheur de vivre
Et de prendre le temps d’écouter chaque pulsation
Excédant l’absolu soleil des lendemains
Et de ramasser, indigné par leur chute,
Les feuilles mortes pour en étudier l’unique beauté.
P. MILIQUE
05:43 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, tristesse, nuage, obscurité, pleuvoir, geler, le vent souffle, le ciel est gris, s'éprouver, vulnérable, mélancolie, vague à l'âme, vivre, centre, temps morose, annihiler, envie de bouger, impossibilité, éclat de rire, chaud, larme, délire, spleen, s'abattre, vif, état d'âme, obligation, terrer, au creux, façonner, amertume, perle, dégoût, errance, champs de ruines, disposer, en mode survie, la rage prouvée, envahir, esprit, redondance, voyageur solitaire, s'affirmer, ultimatum, fleuriste, décharné, agonisant