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06/07/2013

LEO FERRE: "LA MEMOIRE ET LA MER"

 

LEO FERRE

"LA MEMOIRE ET LA MER"


La marée, je l'ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe

 

24/05/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : HOMMAGE A GEORGES MOUSTAKI

 

 

CHRONIQUE DE

PHILIPPE MEYER

HOMMAGE A

GEORGES MOUSTAKI

06/05/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 15.10.2012

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

15.10.2012

23/04/2013

LOURDE DE CHAGRIN

au magma present de l'ecriture,

 

LOURDE DE CHAGRIN

 

Dans la mémoire fatiguée et lourde de chagrin

Murmure ce disparu tant aimé qui hante ses nuits.

 

C'est un conditionnement psychologique aride

Qui ne porte pas à une lucidité de nature

A coordonner avec efficacité de quelconques initiatives.

 

Au centre tourmenté d'une dense vie quotidienne

Prise en tenaille entre l'angoisse et la dépression,

Il confie ses torturantes craintes au grand vent de la plaine

Qui n'a jamais prétendu dévoiler la part de mystère

Contenue dans la réponse à la question qui l'obsède.

Dans sa mémoire fatiguée et lourde de chagrin

Murmure ce disparu tant aimé qui hante ses nuits

Et oppresse son esprit délabré à force de manquer de soleil.

 

P. MILIQUE

31/03/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 20.03.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

20.03.2013

16/11/2012

AMER CONSTAT

CREPUSCULE.jpeg

 

AMER CONSTAT

 

Entre deux obscurités l'éclair crisse solaire,

Éclat d'or dans une fenêtre couleur de nuit

Illuminant le crépuscule exaspéré

De sa lumière stridente de fin du monde.

 

Chante alors l'aurore chagrine de la chair mortelle

Son amère mélodie, assaillante et tristement vraie...

 

P. MILIQUE

13/05/2012

LASSITUDE DE DEFROQUES

OBSCURITE.jpg

 

 

LASSITUDE DE DEFROQUES


 

Dans le clair-obscur d'un monde qui disparaît,

 

Il tente de recueillir quelques couleurs

 

Pour ne pas se retrouver entièrement seul.

 

 

Des traits de lumière communiquent dans la nuit

 

Et le guide dans cette obscurité qui peu à peu s'installe

 

A travers la petite fenêtre qui lui reste sur l'extérieur,

 

Comme au travers des nuages lorsqu'il pouvait encore les voir,

 

Gronde toujours cette présence inquiétante

 

Que lui présentent d'étranges miroirs

 

Dans lesquels il plonge sans retenue restrictive.

 

 

Univers obscur, inutile et cependant redécouvert,

 

Débordant de scènes authentiques et cocasses

 

Où déambulent des lassitudes de défroqués

 

Et les chagrins d'une ribambelle de vaincus.

 

P. MILIQUE