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07/11/2013

FOR INTÉRIEUR: HUIT LECTEURS EN QUÊTE D'AUTEUR « JE N'AI PAS DE PATRON »

 

FOR INTÉRIEUR
HUIT LECTEURS EN QUÊTE D'AUTEUR

(13’52’’)
« JE N'AI PAS DE PATRON »


Ça pourrait être un jeu : huit personnes lisent un texte qu'elles ne connaissent pas. L'une d'entre elles en est l'auteur. De qui s'agit-il ? Et de quoi parle ce texte que chacun comprend à sa manière ? Ça peut aussi être une fenêtre ouverte sur l'esprit du lecteur : à quoi pense-t-on quand on lit ? Réponses dans "For intérieur".

 

Enregistrement : février-mars 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch & Arnaut Forest
Réalisation : Claire Hauter

15/10/2013

LASSITUDE DE DÉFROQUÉS

 

NUIT.jpg

 

LASSITUDE DE DÉFROQUÉS

 

Dans le clair-obscur d'un monde qui disparaît,

Il tente de recueillir quelques couleurs

Pour ne pas se retrouver entièrement seul.

 

Des traits de lumière communiquent dans la nuit

Et le guide dans cette obscurité qui peu à peu s'installe

A travers la petite fenêtre qui lui reste sur l'extérieur,

Comme au travers des nuages lorsqu'il pouvait encore les voir

Gronde toujours cette présence inquiétante

Que lui présentent d'étranges miroirs

Dans lesquels il plonge sans retenue restrictive.

 

Univers obscur, inutile et cependant redécouvert,

Débordant de scènes authentiques et cocasses

Où déambulent des lassitudes de défroqués

Et les chagrins d'une ribambelle de vaincus.

 

P. MILIQUE

19/08/2013

LEO FERRE: "NI DIEU, NI MAÎTRE"


LEO FERRE

"NI DIEU, NI MAÎTRE"

 

Extraits du DVD de Léo Ferré "Sur la scène" (1972/1973)

12/07/2013

LEO FERRE: "NI DIEU NI MAÎTRE"

 

LEO FERRE

"NI DIEU NI MAÎTRE"

"Et si vraiment Dieu existait, il faudrait s'en débarasser!" (Bakounine)

Extraits du DVD de Léo Ferré "Sur la scène" (1972/1973)

28/04/2013

UNE SI BELLE INCONNUE 1

au magma present de l'ecriture,

 

UNE SI BELLE INCONNUE

1

 

J'étais assis face à elle dans la solitude surpeuplée de ce train anonyme en route pour nulle part.

J'aurais pu être, comme il m'arrive souvent de l'être, en état d'indifférence totale. Mais telle n'étais pas le cas. Elle s'était montrée si belle dans l'abandon serein d'un sommeil installé. Sommeil que j'espérais secrètement interminable pour faire durer encore l'instant délicieux d'une contemplation qui, sans lui, ne serait sans nul doute pas acceptée.

Son visage reposait comme il pouvait sur son épaule, à demi calé entre elle et le bord inconfortable de la fenêtre, tressautant au rythme des vibrations régulières du convoi. Cette femme possédait cette élégance ultime qui tient souvent à peu de choses. Elle était vêtue d'un chemisier à motifs discrets et d'une jupe à peine fendue masquant, en une retenue presque chaste, des jambes étrangement longues aux chevilles fines. On aurait pu croire ces vêtements là directement dessinés sur elle avec une précision dans la coupe tout ce qu'il y a de remarquable. Pour préciser, ils n'en finissaient pas de laisser envisager la réalité d'une plastique irréprochable.


(A SUIVRE...)

16/01/2013

LA TOTALE : Coup de malchance à Marseille « J'ai du shit à vendre » (3’39’’)

 

LA TOTALE

Coup de malchance à Marseille
« J'ai du shit à vendre »

(3’39’’)

 

L'histoire vraie d'un Marocain du Rif, débarqué à Marseille avec deux kilos de cannabis et des rêves de fortune... "Histoires vraies" : des récits authentiques aussi forts que des fictions. Des histoires drôles ou terribles où le quotidien bascule dans l'extraordinaire. Sans exotisme parfumé à l'huile d'olive, des récits recueillis dans treize ports de Méditerranée par l'écrivain François Beaune pour Marseille 2013.


Enregistrements : Mai 12
Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet
Réalisation : François Beaune

16/11/2012

AMER CONSTAT

CREPUSCULE.jpeg

 

AMER CONSTAT

 

Entre deux obscurités l'éclair crisse solaire,

Éclat d'or dans une fenêtre couleur de nuit

Illuminant le crépuscule exaspéré

De sa lumière stridente de fin du monde.

 

Chante alors l'aurore chagrine de la chair mortelle

Son amère mélodie, assaillante et tristement vraie...

 

P. MILIQUE

14/03/2012

AMER CONSTAT

ECLAT D OR.jpg

 

AMER CONSTAT

 

Entre deux obscurités l'éclair crisse solaire,

Éclat d'or dans une fenêtre de nuit

Illuminant le crépuscule entier

De sa lumière stridente de fin du monde.

 

Chante alors l'aurore de la chair mortelle

D'une mélodie assaillante et tristement véridique...

 

P. MILIQUE