04/10/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 16/09/2013
LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER
16/09/2013
13:02 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, calciner, diable, invoquer, dieu, personne, nommer, patronne, prophète, vertieux, équation, proclamer, formidable, victime, complice, mâle, maléfice, taliban, démon, ordinaire, faire taire, lit, cible, cruel, ôter, dentelle, brûlant, émoi, ordonner, appeler, dissonance, assonance, brigand, entre les cuisses, putain, prêtre, sans foi ni loi, prêtresse, borgia, la maman d'hitler, julette nourredine, demoiselle, abandonner, soubresaut, soupir, crime, bassesse, encourager le vice, laisser faire, tourment
21/09/2013
TOMBENT LES MASQUES 2
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
TOMBENT LES MASQUES
2
Au premier abord, cela se dérobe à toute compréhension.
Mais à fouiller un peu plus le ressac vertigineux des signes...
Il lui a bien fallu un jour tailler dans le vif des controverses,
Pointer du doigt les désaccords et les incohérences flagrantes,
Ne pas s’accrocher plus qu’il ne faut à des émotions passées
Pas plus que sanctifier davantage des bonheurs obsolètes,
Ne pas subir l’ennui majuscule d’un exceptionnel devenu banal.
Un jour tombent les masques de ce qu’il avait cru savoir nommer,
Ce qui installe d’emblée une désespérante sensation de frustration
Tant le malentendu éprouvé est réel et l’histoire mouvementée.
Il n’en peut plus de ces modifications successives,
De cette suite ininterrompue de décalages obscènes,
De ce silence qui au fur et à mesure s’épaissit davantage,
De ces inexorables dégradations qui encombrent le cœur
Et l’insupportable répétition de leurs symptômes avérés.
Marre de cette lamentable parodie d’harmonie illusoire
Et de toute cette médiocrité ordinaire aux effets négatifs
Fondues dans l’intermittence de paradoxes amplifiés.
(A SUIVRE)
P. MILIQUE
09:03 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, premier abord, dérober, compréhension, fouiller, ressac, vertigineux, signe, un jour, tailler dans le vif, controverses, pointer du doigt, désaccord, incohérence, flagrance, s'accrocher, émotion, passer, sanctifier, aventure, bonheur, obsolete, subir, ennui, majuscule, exceptionnel, devenir, ba, al, le jour tombe, croire, savoir, nommer, installer d'emblée, désespérant, sensation, frustration, malentendu, éprouver, réel, histoire, movementé, modification, succession, suite, ininterrompu, décaage, obscène, silence, au fur et à mesure
20/09/2013
AYO - MUSIC SESSION - "FIRE"
AYO
- MUSIC SESSION -
"FIRE"
"Joy Olasunmibo Ogunmakin, de son nom de scène Ayọ, née le 14 septembre 1980 à proximité de Cologne, est une chanteuse allemande d'origine nigériane et tzigane, d'expression anglaise dont le style se situe entre soul, folk et reggae. Son nom de scène – Ayọ – signifie « joie » en yoruba."
(Source Wikipédia)
05:08 Publié dans MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma présent de l'écriture, ayo, music, session, fire, feu, incendie, joy olasunmibo ogunmakin, nommer, scène, proximité, cologne, chanteuse, allemand, origine, nigérian, tzigane, expression, anglais, style, situer, soul, folk, reggae;siginification, signifier, joie, yoruba, orange, source, wikipédia
04/09/2013
LA BOÎTE A LETTRES: EMILIE DU CHÂTELET A CLAUDE THIRIOT
LA BOÎTE A LETTRES
ÉMILIE DU CHÂTELET A CLAUDE THIRIOT
Dans le domaine des sciences, les femmes sont assez souvent oubliées, tant les hommes ont tendance à monopoliser l’esprit quand il s’agit de cette discipline. Pourtant, parmi le nombre très conséquent de femmes scientifiques, Gabrielle-Émilie Le Tonnelier de Breteuil, marquise du Châtelet, fait figure de pionnière. Amie de Voltaire et du philosophe Saint-Lambert, élève des mathématiciens et physiciens Maupertuis et Clairaut, la vie de la « divine Émilie » comme la nommait Voltaire, est aussi dense que les travaux de Newton qu’elle contribua à faire connaître en France à travers une excellente traduction. Mathématicienne de génie et amoureuse éperdue, le Musée des Lettres et Manuscrits accueille donc les manuscrits de la plus savante des femmes et de la plus coquette des savantes !
01:17 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, émilie du châtelet, claude thiriot, domaine des sciences, femme, oublier, homme, tendance, monopoliser, esprit, s'agir, discipline, nombre, conséquent, conséquence, femme scientifique, gabrielle-émilie tonnelier de breteuil, marquise du châtelet, faire figure, pionnier, ami, voltaire, philosophe, saint-lambert, élèvenmathématicien, physicien, maupertuis, clairaut, vie, divinité, nommer, dense, travail, newton, contribuer, faire connaître, france, travers, excellent, traduction, génie, amoureuse éperdue, musée des lettres et des manuscrits, accueillir, savante, coquetterie, coquet, coquetier
08/07/2013
LA PARISIENNE LIBEREE : "MA TIERCE"
LA PARISIENNE LIBEREE
"MA TIERCE"
Paroles et musique : la parisienne libérée
Elle a préparé mes biberons
Et mes tartines quotidiennes
A répondu à mes questions
Jusqu’à ce que je comprenne
Elle m’a fait réciter mes leçons
M’a emmenée faire des balades
Elle est restée à la maison
Quand j’étais malade
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on la nomme
Ma co-parente présumée
Mon tiers n’est pas un homme
Il n’y a pas de doute, elle me connaît
Mais j’aimerais qu’elle me reconnaisse
Maman dit qu’elle est sa moitié
Moi je dis qu’elle est ma tierce
Ma polygame, mon incestueuse
Ma pédophile, ma cannibale
C’est l’encyclopédie haineuse
Le dico des mots qui font mal
Je me suis battue à la récré
Je ne sais pas ce qui m’a pris tout à coup
Contre une copine qui m’a traitée
De fille de goudou
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on la nomme
Ma co-parente présumée
Mon tiers n’est pas un homme
Il n’y a pas de doute, elle me connaît
Mais j’aimerais qu’elle me reconnaisse
Maman dit qu’elle est sa moitié
Moi je dis qu’elle est ma tierce
Adolescente, j’ai rugi
Ma mère n’avait que des lacunes
Mais quand vient l’heure du conflit
Deux mamans valent mieux qu’une
Pourtant tu n’es pas une seconde mère
C’est ça que les gens ne comprennent pas
Je ne te prends pas non plus pour un père
Mais heureusement que t’es là
Ma maman bis, ma maman B
Un jour faudra bien qu’on te nomme
Ma co-parente présumée
Bien que tu ne sois pas un homme
Il n’y a pas de doute, tu me connais
Mais j’aimerais que tu me reconnaisse
J’espère que la loi va changer
Avant que tu ne sois grand-tierce !
05:44 Publié dans GOUTTES d'ÂME, MUSIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, tierce, préparer le biberon, tartiner, quotidien, répondre aux questions, compréhension, réciter ses leçons, emmener, faire des balades, rester à la maison, maladie, nommer, présumer, pas de doute, aimer, reconnaissance, polygamie, incestueux, pédophile, cannibale, encyclopédie, haineux, dictionnaire faire mal, se battre à la récré, copine, fille de goudou, adolescence, rugir, lacune, l'heure du conflit, seconde mère, comprendre, père spirituel, homoparentalité, être à la hauteur
17/06/2013
CESAR VALLEJO : "HIVER PENDANT LA BATAILLE DE TERUEL"
CESAR VALLEJO
"HIVER PENDANT LA BATAILLE DE TERUEL"
Lu par Thierry Hancisse
Extrait de Poèmes humains, éditions du Seuil, 2011
Traduit de l’espagnol par François Maspero
Extraits choisis par Philippe Garnier
Cesar Vallejo est né à 3000 mètres d’altitude dans les Andes péruviennes en 1892, onzième enfant d’une famille pauvre où se mêlent les sangs espagnol et indien. Il a connu les plantations sucrières et le travail des mines, il a vu de très près l’exploitation qui confine à l’esclavage. Très vite il met le langage sous tension et invente un humanisme violent, sans aucune trace de sentimentalité, parsemé d’images à la force hermétique. Ses premiers recueils le situent d’emblée dans l’avant-garde des années 20. Communiste, fuyant la police péruvienne, il vivra et mourra dans le dénuement à Paris en 1938. Les plus intenses de ses textes ont été écrits pendant la Guerre d’Espagne, dans le recueil Espagne, éloigne de moi ce calice.
Prise de son, montage : Julien Doumenc et Pierre Henry
Assistante à la réalisation : Laure-Hélène Planchet
Réalisation : Michel Sidoroff
17:16 Publié dans GOUTTES d'ÂME | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, patrick milique, césar vallejo, poèmes humain, françois maspero, philippe garnier, andes péruviennes, pauvreté, mêler les sangs, indien, chilien, plantation, sucrier, travail des mines, exploitation, esclavagisme, langage, sous tension, inventer, humanisme, ambiance, parsemer, hermétisme, avant-garde, communisme, police, péruvien, dénuement, mourir, guerre d'espagne, hantise, hanche, offrande, fair el'amour, épauler, nudité, ortie, crachat, chocolat, parfum, baiser, dessein, creux, maintenir, ruelle, à reculons, nommer
11/11/2012
LES PRIX LITTERAIRES: "André Stil chez les Goncourt "
ANDRE STIL CHEZ LES GONCOURT
JA2 dernière
31/03/1977 - 02min04s
André STIL est nommé académicien Goncourt : "Depuis longtemps j'ai beaucoup d'amis dans l'académie, cela n'a pas été vraiment une surprise. Les raisons de mon élection sont avant tout littéraires. Même lorsqu'on écrit des choses politiques, quand c'est un aboutissement il y a un tas de choses qui n'ont rien a voir avec la politique."
Production
Générique
18:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, prix littéraire, académie goncourt, andré stil, dernier, nommer, académicien, longtemps, amitié, surprise, raison, élection, écritur, la chosepolitique, aboutissement, un tas de choses, générique, patricia coste, option, publication, participer
17/10/2012
CHARLY 7
A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...
CHARLY
7
(CHARLY)
--Tu sais, moi, ce que je t'en dis! Mais fait attention tout de même car, à force de s'appliquer à n'employer que les plus intègres et pertinent, il arrive parfois qu'ils en deviennent redoutables. On ne se méfie jamais assez des mots, de leur pouvoir silencieux... Tu ferais mieux de m'expliquer, si toutefois cela t'est possible, le besoin que tu éprouves d'assouvir sans cesse une passion qui, au premier abord, paraît plutôt frigide, et qui de plus ne te paye pas vraiment en retour!
(MOI)
--Ça y est, tu vois tu remets déjà ça! Tu ne peux donc pas t'en empêcher, c'est plus fort que toi! Tu pourrais au moins faire un effort pour comprendre, non? Moi qui croyait que ton intelligence s'était raffinée à mon contact, je m'aperçois avec effarement que tu persistes, non sans lourdeur, à faire cohabiter avec la naïveté confondante qui caractérise ton esprit cette autre étonnante tare que je nommerais, si je ne craignais de te vexer une fois de plus: superficialité!
Mais, comme il est vrai que sur ce coup précis, on peut estimer que je te dois quelques explications, et bien ma foi, reste-là je vais t'en donner. Mais je t'en prie, cesse de t'agacer ainsi. D’abord parce que tu vas inutilement décoiffer ta si belle iroquoise et ensuite, tu seras ainsi plus à même d'apprécier ce qu'est la formidable sensation d'un soulagement éprouvé.
(CHARLY)
--OK d'accord, c'est bien parce que c'est toi! Je fais provisoirement abstraction de tes éternelles provocations verbales, et je te suis tout ouïe!
Vas-y, évoque. Je resterai quant à moi aussi placide et immobile que faire se peut.--
(MOI)
--Certainement pas, il n'en est pas question Charly! Je serais terriblement frustré et malheureux si tu me laissais me débattre seul avec mon stock d'images et de croyances. Tu sais bien que j'ai un réel besoin de ton écoute attentive!
(A suivre....)
10:09 Publié dans GOUTTES d'ÂME, NOUVELLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : au magma present de l'ecriture, charly, faire attention, s'appliquer à n'employer, intégrité, pertinence, devenir redoutable, se méfier, rester silencieux, s'expliquer, possibilité, éprouver, assouvir, une passion, au premier abord, paraître frigide, payer en retour, remettre ça, empêcher, plus fort que soi, faire l'efford, compréhension, intelligence, raffinement, contacter, s'apercevoir avec effarement, persistance, lourdeur, naïveté confondante, caractéristique, spirituel, étonnement, tare, nommer, craindre, vexer, superficialité, coup précis, estimer, explication, agacement, décoiffer, iroquois, appréciation, sensation, soulagement