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10/08/2013

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "UN HOMME ET UNE FEMME"

 

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE

"UN HOMME ET UNE FEMME"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

09/08/2013

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME QUI AVAIT UNE RESIDENCE SECONDAIRE"

 

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME QUI AVAIT UNE RESIDENCE SECONDAIRE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

07/08/2013

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "LA FEMME QUI ETAIT PASSIONNEE PAR SON TRAVAIL"

 

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE

"LA FEMME QUI ETAIT PASSIONNEE PAR SON TRAVAIL"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

06/08/2013

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE: "L'HOMME LA FEMME QUI AVAIT UNE FILLE"

 

A VOTRE ECOUTE COÛTE QUE COÛTE

"L'HOMME LA FEMME QUI AVAIT UNE FILLE"

 

À votre écoute, coûte que coûte est une dramatique radio quotidienne écrite et jouée par Zabou Breitman et Laurent Lafitte et diffusée sur France Inter entre le 16 janvier 2012 et le 29 juin 2012. D'une durée de sept minutes, elle est diffusée à 12 h 23, entre Les Affranchis et Carnets de campagne.

L'émission est une parodie présentée comme une émission de libre antenne sur la santé. Deux acteurs jouent un couple de spécialistes composé de Margarete de Beaulieu, psychothérapeute et son mari Philippe de Beaulieu, médecin ; ils répondent aux questions de faux auditeurs, en débitant « les pires des clichés racistes, homophobes, sexistes  et réactionnaires.


Source Wikipédia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal

03/08/2013

APOLLINAIRE: A LA CONTESSE LOUISE DE COLIGNY-CHÂTILLON

 

 

APOLLINAIRE

A LA CONTESSE LOUISE DE COLIGNY-CHÂTILLON
© Musée des Lettres et Manuscrits)

 

Le 21 avril 1915 

Mon Lou, mon Lou chéri,  adoré,  je suis content, content. Des tas de lettres de Nîmes qui sont de toi et une lettre où tu dis être chez moi. Hier et avant-hier à cheval pas pu t’écrire de lettre ai pas rencontré de boite aux lettres ni de poilu pour me renseigner, et étais pressé, pressé.  […] Ta lettre du vendredi Saint est un amour, ta lettre du 3 avril approuve l’idée du bouquin je le continuerai donc et beaucoup de ce qui est et sera dans mes lettres quotidiennes en fera partie. N’ai pas peur aucune indiscrétion gênante ne fera jamais partie d’aucun bouquin de moi. J’aime trop ton cher vice pour en parler et quant aux deux douzaines en question, dans le livre on réduira ça à 2 ou 3 ou même 4 unités ? Mais rien qui puisse être une indiscrétion sur notre cher roman à nous ma chérie. Ce serait un sacrilège épouvantable et je t’adore. Tu es ma muse mais bien plus que cela encore. Je t’embrasse partout et te serre à te briser et suis chérie excité à l’instar de la tour Eiffel !  Ta lettre du 5, mon Lou, est extraordinaire et l’ayant lue , ayant lu 20 fois les mots si singulièrement spécieux qui la composent, cher petit Lou, mon âme depuis ce temps tremble et s’étonne […] Je te prends…  comme tu le veux et je t’aime tout plein, raide comme un 75 mon amour ; c’est une situation adorablement épouvantable. […]  Dans le bois ai relu tes lettres.  Le 75 aurait bien épousé menotte mais ai résisté quoi que bien envie. […] Demain jeudi je retourne aux tranchées. Parmi les impressions oubliées l’autre jour il y a celle des betteraves. J’en ai goûté une. Ca a exactement le goût d’un morceau de sucre avec la consistance du radis noir. T’ai-je dit la nudité des tranchées? C'est extraordinaire. La nudité est toujours peu excitante et c'est un de tes charmes les plus exquis que même à poil tu restes excitante, mais la nudité des tranchées à quelque chose de chinois, d'un grand désert asiatique, c'est propre et désolé très silencieusement.  […] Mon Lou très chéri je te prends de toutes mes forces et je t’embrasse longtemps, longtemps. Ta langue dure comme un poisson de mer parcourt ma bouche et m’affole. Tes yeux chavirent comme deux grands Dreadnought touchés par un sous-marin.

Puis ma chérie je te console et je te courbe et vergette l'adorable cul de mon petit garçon pas sage. Tu le hausses et l'abaisses ma Lou exquise en t’écartant comme un bel ange qui respire au paradis. Alors, c’est dit ma grande gosse, tu es à moi pour toujours et t’auras plus de secrets pour moi. " […] A demain petit Lou adoré, je t’embrasse tout plein et te prends toute, toute de toutes les façons. C’est le moment des morilles, on va en chercher le matin et on en mange deux fois par jour, ça a la saveur chérie de ta bouche. […] Je t'aime, je t'aime et je veux toujours t'aimer. Le front ne fait plus mal. On fume du tabac américain qu’on a distribué en surplus […]  le campement a l'air d'un campement de chercheurs d'or en Californie. […]

Je t’aime ma chérie et te caresse doucement bouche dans ma bouche

Ton Gui

22/07/2013

ALEXANDRE SOLJENITSYNE: A PROPOS DE SA DETENTION

 

ALEXANDRE SOLJENITSYNE

A PROPOS DE SA DETENTION

09 mars 1976 

02min 25s


Guy DARBOIS questionne Alexandre SOLJENITSYNE sur les plus durs moments de sa détention dans les camps soviétiques. L'écrivain russe évoque (en russe, traduction simultanée) notamment le choc qu'il a ressenti en arrivant dans le camp, in puis off sur des images du standard SVP et de la pièce où les présentateurs trient les questions des téléspectateurs.


  • Emission
  • Les dossiers de l'écran
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Antenne 2
  • Générique
  • réalisateur
    Labourasse, Guy
  • participant
    Soljenitsyne, Alexandre
  • présentateur
    Darbois, Guy

07/05/2013

Jérémie BOSSONE : Festiv'Art LAVELANET 13 Août 2011

 

Jérémie BOSSONE

"FESTIV'ART"

LAVELANET

13 Août 2011


 

Somptueuse découverte au Festiv'Art de Lavelanet (Ariège) le 13 Août 2011 ...

 

ATTENTION  TALENT ! 

La seule vraie question reste celle-ci : comment va bien pouvoir s'y prendre la médiocre médiacratie pour le soustraire encore longtemps à nos oreilles en attente ?


23/04/2013

LOURDE DE CHAGRIN

au magma present de l'ecriture,

 

LOURDE DE CHAGRIN

 

Dans la mémoire fatiguée et lourde de chagrin

Murmure ce disparu tant aimé qui hante ses nuits.

 

C'est un conditionnement psychologique aride

Qui ne porte pas à une lucidité de nature

A coordonner avec efficacité de quelconques initiatives.

 

Au centre tourmenté d'une dense vie quotidienne

Prise en tenaille entre l'angoisse et la dépression,

Il confie ses torturantes craintes au grand vent de la plaine

Qui n'a jamais prétendu dévoiler la part de mystère

Contenue dans la réponse à la question qui l'obsède.

Dans sa mémoire fatiguée et lourde de chagrin

Murmure ce disparu tant aimé qui hante ses nuits

Et oppresse son esprit délabré à force de manquer de soleil.

 

P. MILIQUE

15/02/2013

BLESSURES AFFECTIVES

REGARD DE PIERRE.jpeg

 

BLESSURES AFFECTIVES

 

 

Au pays de la tristesse comme à celui de l'ennui,

Le temps semble suspendu au rien.

 

Lui qui vivait dans un monde forclos

Au centre aride de son désert

S'est laissé prendre au vilain mirage de l'ailleurs.

 

L'avancée précautionneuse rythmée d'oscillations

N'a pu éviter tout à fait le puissant effet miroir

Des chocs émotionnels intenses découverts avec stupeur.

 

Profitant de la confusion, les questions identitaires ont émergé

Quand, au souvenir cruel des blessures affectives,

Est apparu l'impératif latent du mieux se connaître.

 

Le regard minéral, mort sur le certain à construire,

Affronte avec dédain les événements à venir,

A la chair de cette vie ne proposant plus que l'ordinaire

Qui le renvoie, sans ménagement, à son insoutenable banalité.

 

P. MILIQUE

 

27/01/2013

NICOLAS BLUES DU MONDE EN INTERVIEW

 

NICOLAS BLUES DU MONDE EN INTERVIEW


Vous qui êtes habitués de ces lieux, vous ne pouvez que connaître cet artiste somptueusement hors-norme !


Ce garçon déborde de tout : de talent, d'humanité, de culture, d'humour, etc...
De plus, il possède à mes yeux cette rare qualité -- celle-là même qui devrait être la mieux partagée par tous ! -- d'avoir vécue sa vie là où il savait côtoyer sa propre vérité : dans la marge!

Si j'ajoute que ce type-là m'a fait l'amitié de venir magnifiquement emblueser, pour le plus grand plaisir de participants drastiquement trié sur le volet, la célébration récente d'un anniversaire commun à un important Blue-Boy de mes Amis et à moi-même...


Une question...

Toi qui ne connait-pas encore Nicolas, tu attends quoi au juste?

14/06/2012

A L'UNI DE L'IMPROBABLE

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A L'UNI DE L'IMPROBABLE

 

Le souci amoureux d'une langue dilatée, distendue,

Remue l'ombre et les échos enfouis aux forces obscures

D'un texte de presque rien aux fissures majeures,

A la fois inscrites dans le furtif et l'inexpugnable.

 

Bercer cette parole lumineuse! La question est vive

De justifier l'apport de nouvelles sensations....

Le paradoxe dans l'écriture est qu'il existe parfois

Un réel manque de mots pour l'exprimer.

 

Le temps de la poésie est lent tandis que le présent urge,

A tisser la solitude d'une beauté ou bien d'une disgrâce

Noircies à l'écriture aigre du dessaisissement

De ces vies silencieuses jusqu'à être invisibles,

Unissant parfois l'improbable du stable et du mouvement.

 

Alors, tenter une prose émouvante comme une musique,

Quintessence d'un temps modulé au fil d'un réel réfuté,

Et user de la puissance de rassemblement du langage

Dans l'entrelacs indéfini des sensations, des odeurs et des sens,

Qui seuls autorisent les mots, impudiques, à faire l'amour à la page...

 

P. MILIQUE

02/06/2012

L'HUMAINE CRUAUTE

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L'HUMAINE CRUAUTE


 

A intervalle régulier se ravive la troublante question

D'un passé semblant condamné à se répéter continument

En une chronique banale de l'humaine cruauté.

 

C'est l'arrière-monde que l'on découvre ébaubi

Traversé par quelques-un des secrets inouïs

Les plus inavouables d'une expérience philanthrope.

 

Seule la solidité et la réciprocité avérée

Confèrent à l'individu cette confiance en soi

Qui, poésie irradiante d'une sphère d'amour,

Tissera serré le solide de liens affectifs

Avec, pour seule finalité revendiquée,

L'acquisition longue à venir du respect de soi.

 

P. MILIQUE