Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/10/2015

VIVRE L'IMPLICITE

au magma présent de l'écriture,

 

VIVRE L'IMPLICITE

Il existe tout un artifice psychologique
Pour montrer l'envers dégradé de l'amour.

Subtilité extrême sans parenthèses explicatives
Autorisant à se complaire dans l'implicite vécu,
Dans l'évidence crue de l'insatiable désir disparu
Qui, un jour, forcera l'autre à se révéler totalement.

P. MILIQUE

 

 

24/06/2015

LA CHAIR ÉCORCHÉE 1

au magma présent de l'écriture,

 

LA CHAIR ÉCORCHÉE

1

Le compte à rebours a débuté, mortellement épuisant...

L'individu n'est pas injuste parce qu'il a décidé de l'être,
Simplement, il le devient parce que cela lui est nécessaire.

Dès lors, il retrouve l'itinéraire acéré de sa mémoire:
Ce n'est pas un endroit de chimères ou de fantasmes
Où l'intime se trouverait dépouillé de toute singularité,
Plutôt un long couloir peuplé de somnambules
Au cœur d'un espace accaparé par des bribes de banal.

Il lui est important d'agir de manière quasi organique
Avec ces petits bouts d'ordinaire saturés de quotidien,
Et contourner l'émotion d'une contenance pudique.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

04/06/2015

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

A L’ÉPICENTRE DE NOS RÊVES

2

 

La joie s'instaure parfois par inappétence envers les circonstances dont elle se refuse d'être tributaire.

En prenant ainsi le contre-pied d'accablantes contraintes, elle jaillit toute entière du malheur ainsi conjuré.

Cela participe d'une étonnante trajectoire mentale.

La pensée, amie du silence et des jours de misère, est une substance d'une grande fluidité.

Sa présence obstinée génère une nécessaire abstraction au masque d'oubli.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

02/09/2014

A L'INSTAR DE L'AMOUR 1

au magma présent de l'écriture,

 

A L'INSTAR DE L'AMOUR

1

 

S'exacerbent parfois une conscience et un désarroi

Insolubles dans les artifices en charge de les atténuer.

Il ne sert à rien de fréquenter les allées frivoles de l'insouciance

Si une ténébreuse amertume s'impose ombre fidèle.

 

Pourquoi le bonheur est-il si triste ?

Une sagesse pesante expose souvent aux risques de l'ennui

Et met en lumière un postulat qui n'a rien de réjouissant.

De fait, comment ne pas exprimer de la défiance envers l'avenir

Alors même que si le besoin de bonheur existe,

C'est bien parce que la vie est une désolation !

Nous sommes nombreux à nous émouvoir ainsi de la douleur de vivre.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

 

27/01/2014

LA BÊTE IMMONDE

au magma présent de l'écriture,

 

LA  BÊTE  IMMONDE

 

Il est de la responsabilité personnelle de chacun

De veiller à ne pas céder à ces vilaines pulsions

Qui portent à proférer des mots trop aisément proches

D'expressions injurieuses à fort potentiel dégradant.

 

Nous devons y prendre garde et nous préserver du mal

Qui traite l'Autre en inférieur et rend la vie absurde,

Na pas tolérer ces propos qu'aucune démocratie ne saurait tolérer,

Jeux de mots odieux qui ne servent qu'à humilier cyniquement,

A s'acharner un peu plus encore envers ceux qui déjà subissent,

Ombre d'horreur projetée sur une fraternité qui cependant s'impose.

 

Épris d'universalité en nos esprits soucieux de douceurs,

L'exigence est là d'indispensables rapprochements

Dont le désir de chacun relayera le puissant écho

Afin que l'immonde bête ne puisse renaître de ses cendres.

Jamais!

 

P.  MILIQUE 

08/06/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER: 21/01/2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

21/01/2013