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23/03/2013

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 19.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

19.02.2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : ALAIN COLAS

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

ALAIN COLAS

05 août 1974


Jacques CHANCEL s'entretient avec Alain COLAS, navigateur : - Sa victoire dans la traversée de l'Atlantique en solitaire. - Ses sentiments pendant une course. - Sa passion pour la vie. - La fragilité de l'homme face à la mer. - Conseils aux jeunes.

L'HARMONIE DU MONDE

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L'HARMONIE DU MONDE

 

L'excès du savoir érudit de maîtrise

Rend les choses quelquefois bien difficiles.

 

L'homme se transforme en un être compact

Face aux vives pulsions noires de l'horrible vie.

Mais l'acuité hors norme de son regard intérieur

L'ouvre au soleil nostalgique d'un certain humanisme.

 

Cela ne relève pas de l'explication, plutôt de l'énigme !

Au centre d'une existence, comme confusément désaccordée,

Une forme supérieure d'intuition et de perception

Lui permet, dans un éclat de dépouillement sublime

D'approcher, au plus radiant de la clarté nocturne,

De cet état plus heureux qui redonne harmonie au monde.

 

P. MILIQUE

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : " VISITONS LA FOIRE AUX CACTUS "

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE  

" VISITONS LA FOIRE AUX CACTUS "

03 mars 1984  01min 52s


L'hymne mexicain trouve son origine à la foire aux cactus de Mexico.


  • Emission
  • La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Agence, Paris : France 3
  • Générique
  • réalisateur
    Fournier, Jean Louis
  • interprète
    Desproges, Pierre ; Valadie, Dominique

22/03/2013

VICTOR HUGO : LES CONTEMPLATIONS « Après l’hiver »

 

VICTOR HUGO 

LES CONTEMPLATIONS 

« Après l’hiver »

(Juin 1843)

 

Lu par Gilles David

 

Poème issu du recueil « Les Contemplations »

Choix d'Hélène Bleskine

 

« S’arrimer à la poésie de Victor Hugo, comme on s’arrime à une voile par grand vent. Le souffle est fort, il se prolonge, il invente une grande traversée, océan en mouvement grâce à sa plume alerte, l’histoire, les états d’âme, le 19ème siècle, quel bonheur d’être soi-même un peu encore romantique. Retrouver des poèmes appris à l’école, en découvrir d’autres, force et légèreté de la vague, précision incroyable de celui qui tient la barre. Ou bien, une autre métaphore, gravir la montagne Victor Hugo, passer par les sentiers entre les rochers, s’abriter sous les sapins, trouver des clairières, avancer vers les sommets. Il nous réconcilie avec nous-mêmes parce qu’il semble que rien ne lui fait peur. Merci cher Victor Hugo. » Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Claude Niort, Pierre Henry

Réalisation : Anne-Pascale Desvignes

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 18.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

18.02.2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : MICHEL POLNAREFF

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

MICHEL POLNAREFF

16 janv. 1970 

48min 31s


Jacques CHANCEL s'entretient avec le chanteur Michel POLNAREFF : Il explique pourquoi il se présente comme un personnage androgyne, il attribue peu d'importance à son personnage extérieur; Il considère qu'il fait du "guignol pour adultes", il crée son propre univers et l'offre au spectateur. Pourquoi il compose en anglais. Le spectacle est une tricherie qu'il faut faire avec sincérité. Quelques mots rapides sur son enfance et sa famille, ses débuts dans la musique. Ne renie pas son passé mais n'aime pas en parler devant un micro. Evoque son spectacle du moment. Ses rêves d'enfant. Son passage au conservatoire. Les autres arts qu'il aime. Sa rencontre avec Jean Louis BARRAULT. C'est parce qu'il pense avoir du talent qu'il a choisi ce métier mais rêve de faire beaucoup mieux tout en manquant de confiance en lui. Ses goûts en matière de musique, notamment en musique classique. Ses projets artistiques. Ce qu'il pense des fans. Considérations sur la politique, le service militaire, sa vision de la religion, voit la messe comme un "spectacle total". Sa discothèque idéale. Sa vision de l'amour, de l'amitié, du bonheur. Ce qu'il pense de la drogue.

JAILLISSEMENTS PROVOQUES

OR ET EBENE.jpeg

 

JAILLISSEMENTS PROVOQUES

 

C’est pour tenter d’échapper à un passé qui le poursuit

En donnant l’oppressante sensation de vivre dans l’ombre

De ce monde où tout se dresse, obstacle, refus,

De cet univers décadent où l’humanité est un souvenir,

Qu’il s’attache à effacer la poussière saupoudrant de lumière noire

Le drapé du repli temporel en cache au chevet de l’impossible.

 

Il veut, la conscience au repos,

Amorcer le beau d’une autre histoire,

S’appliquer à être toujours, à l’intérieur de ce voyage en vertige,

Cet enfant aux yeux de merveille ouverts

Sur l’incroyable régénérescence d’un temps

Qui réinvente d’inexistantes lumières.

 

Jusqu’aux jaillissements provoqués d’autres clartés envoûtantes,

Aux bandes minérales alternées d’or et d’ébène.

 

P. MILIQUE

LES DESCHIENS : " ZIZI "

 

LES DESCHIENS 

" ZIZI "

 

Cette série de sketches courts met en scène toute une galerie de personnages interprétés par les comédiens de la troupe de Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff. Les Deschiens ont un style très personnel et reconnaissable

PERSONNAGES:

M. Morel : C'est le personnage principal de la série. Il est extrêmement rationnel, attaché à la vie quotidienne, et n'entend jamais utiliser la technologie moderne. C'est le stéréotype du Français « moyen » et il est hermétique à la culture (principalement aux livres).

M. Saladin : C'est un ami de M. Morel avec lequel il discute de toutes sortes de sujets. Il est la plupart du temps dans l'ombre de M. Morel et il cherche toujours à exprimer ses idées, bien qu'il ait du mal à les faire clairement comprendre. Les discussions qu'il entretient avec M. Morel sont souvent des quiproquos sur une expression à double sens (cyber café, bibliothèque, souris, cd-"rhum"...).

Mme Saladin (interprétée par est une femme autoritaire, soucieuse des apparences. Elle apparaît souvent comme commerçante, parfois comme professeur de langues étrangères.

Bruno Lochet: Un client de M. Morel qui a du mal à suivre ses explications.

Yolande : La femme de M. Morel. Elle suit souvent les préceptes de son mari sur l'éducation de leurs enfants. Elle représente elle-aussi un stéréotype : celui de la femme au foyer inculte.

Olivier : Le fils de M. Morel. Il essaye sans cesse de se cultiver en lisant des ouvrages de littérature classique (Gide, Yourcenar...) au grand dam de ses parents qui l'obligent à avoir des activités moins intellectuelles.

Atmen "Atomen" Kelif : Atmen Kelif, joue l'arabe de service qui se fait maltraiter verbalement et physiquement par M. Morel et M. Dusquesne.


SOURCE UNIQUE DE CES PROPOS-LA:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Deschiens


21/03/2013

LEO FERRE : " LE VENT " LU PAR DANIELLE LEBRUN

 

LEO FERRE 

" LE VENT "

Lu par

Danièle Lebrun

 

 

Né en 1916 à Monaco, Léo Ferré est mort en juillet 1993 en Italie, ce poète, auteur-compositeur et anarchiste a été l’un des plus prolifiques chanteurs français. Il met en musique de nombreux épisodes de sa vie, intime, contemplative, politique, engagée, qui dessinent avec plus de 40 albums en 46 années d’activité, un personnage attachant, un poète et un musicien populaire.

 

Poèmes choisis par Laurence Courtois

Prise de son, montage : Manon Houssin

Assistant à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

Réalisation : Juliette Heymann

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 15.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

15.02.2013

LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL : MARIE MAURON

 

LE GRAND ECHIQUIER JACQUES CHANCEL 

MARIE MAURON

17 févr. 1976

 

Marie MAURON, écrivain : la déshumanisation de la vie, ses origines modestes, pour elle le malheur le plus terrible est l'appauvrissement de l'homme, ses débuts d'institutrice, ses parents, la langue occitane, ses débuts en littérature, son attachement à la provence.

(Entretien avce Jacques CHANCEL)