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24/03/2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : MARGUERITE DURAS

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

MARGUERITE DURAS

28 déc. 1969


Jacques Chancel s'entretient avec Marguerite DURAS : son enfance en Indochine, ce qu'elle pense du communisme, de la critique, du "gauchisme", des gens de droite, du gaullisme, des événements de mai 1968. Pourquoi elle fait des films. Remarques sur ses films "Hiroshima mon amour" et "Détruire, dit-elle". Les films qu'elle aime, sa conception du bonheur ; la difficulté de la destruction. Ses projets, ses rapports avec l'argent.

LA BELLE AU BOIS DORMANT : Mariage gothique au Liban « Ses os tenaient encore un peu de chair »

 

LA BELLE AU BOIS DORMANT
Mariage gothique au Liban
« Ses os tenaient encore un peu de chair »

(1’58’’)


A Beyrouth, Omar raconte une histoire macabre et fantastique. Une parodie de mariage touchée par l'ange du bizarre, dans un village chrétien du Mont-Liban. "Histoires vraies" : des récits authentiques aussi forts que des fictions, où le quotidien bascule dans l'extraordinaire. Des récits recueillis en Méditerranée par l'écrivain François Beaune pour Marseille-Provence 2013.


Enregistrements : septembre 12
Mise en ondes & mix : Charlie Marcelet
Réalisation : François Beaune

23/03/2013

ITO NAGA, « Je sais que la pensée est par moments comme un fleuve... »

 

ITO NAGA

« Je sais que la pensée est

par moments comme un fleuve... »

Lu par Léonie Simaga

Poème extrait du recueil Je sais, publié chez Cheyne Editeur

 

Réalisation : Marguerite Gateau 

Prise de son : Olivier Dupré

Montage : Aveline Carmoi

Assistant : Marie Plaçais

Choix des poèmes : Jean-Pierre Jourdain

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 19.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

19.02.2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : ALAIN COLAS

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

ALAIN COLAS

05 août 1974


Jacques CHANCEL s'entretient avec Alain COLAS, navigateur : - Sa victoire dans la traversée de l'Atlantique en solitaire. - Ses sentiments pendant une course. - Sa passion pour la vie. - La fragilité de l'homme face à la mer. - Conseils aux jeunes.

L'HARMONIE DU MONDE

CLARTE NOCTURNE.jpeg

 

L'HARMONIE DU MONDE

 

L'excès du savoir érudit de maîtrise

Rend les choses quelquefois bien difficiles.

 

L'homme se transforme en un être compact

Face aux vives pulsions noires de l'horrible vie.

Mais l'acuité hors norme de son regard intérieur

L'ouvre au soleil nostalgique d'un certain humanisme.

 

Cela ne relève pas de l'explication, plutôt de l'énigme !

Au centre d'une existence, comme confusément désaccordée,

Une forme supérieure d'intuition et de perception

Lui permet, dans un éclat de dépouillement sublime

D'approcher, au plus radiant de la clarté nocturne,

De cet état plus heureux qui redonne harmonie au monde.

 

P. MILIQUE

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE : " VISITONS LA FOIRE AUX CACTUS "

 

LA MINUTE NECESSAIRE DE MONSIEUR CYCLOPEDE  

" VISITONS LA FOIRE AUX CACTUS "

03 mars 1984  01min 52s


L'hymne mexicain trouve son origine à la foire aux cactus de Mexico.


  • Emission
  • La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède
  • Production
  • producteur ou co-producteur
    Agence, Paris : France 3
  • Générique
  • réalisateur
    Fournier, Jean Louis
  • interprète
    Desproges, Pierre ; Valadie, Dominique

22/03/2013

VICTOR HUGO : LES CONTEMPLATIONS « Après l’hiver »

 

VICTOR HUGO 

LES CONTEMPLATIONS 

« Après l’hiver »

(Juin 1843)

 

Lu par Gilles David

 

Poème issu du recueil « Les Contemplations »

Choix d'Hélène Bleskine

 

« S’arrimer à la poésie de Victor Hugo, comme on s’arrime à une voile par grand vent. Le souffle est fort, il se prolonge, il invente une grande traversée, océan en mouvement grâce à sa plume alerte, l’histoire, les états d’âme, le 19ème siècle, quel bonheur d’être soi-même un peu encore romantique. Retrouver des poèmes appris à l’école, en découvrir d’autres, force et légèreté de la vague, précision incroyable de celui qui tient la barre. Ou bien, une autre métaphore, gravir la montagne Victor Hugo, passer par les sentiers entre les rochers, s’abriter sous les sapins, trouver des clairières, avancer vers les sommets. Il nous réconcilie avec nous-mêmes parce qu’il semble que rien ne lui fait peur. Merci cher Victor Hugo. » Hélène Bleskine

 

Prise de son, montage : Claude Niort, Pierre Henry

Réalisation : Anne-Pascale Desvignes

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER : 18.02.2013

 

CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 

18.02.2013

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL : MICHEL POLNAREFF

 

RADIOSCOPIE JACQUES CHANCEL 

MICHEL POLNAREFF

16 janv. 1970 

48min 31s


Jacques CHANCEL s'entretient avec le chanteur Michel POLNAREFF : Il explique pourquoi il se présente comme un personnage androgyne, il attribue peu d'importance à son personnage extérieur; Il considère qu'il fait du "guignol pour adultes", il crée son propre univers et l'offre au spectateur. Pourquoi il compose en anglais. Le spectacle est une tricherie qu'il faut faire avec sincérité. Quelques mots rapides sur son enfance et sa famille, ses débuts dans la musique. Ne renie pas son passé mais n'aime pas en parler devant un micro. Evoque son spectacle du moment. Ses rêves d'enfant. Son passage au conservatoire. Les autres arts qu'il aime. Sa rencontre avec Jean Louis BARRAULT. C'est parce qu'il pense avoir du talent qu'il a choisi ce métier mais rêve de faire beaucoup mieux tout en manquant de confiance en lui. Ses goûts en matière de musique, notamment en musique classique. Ses projets artistiques. Ce qu'il pense des fans. Considérations sur la politique, le service militaire, sa vision de la religion, voit la messe comme un "spectacle total". Sa discothèque idéale. Sa vision de l'amour, de l'amitié, du bonheur. Ce qu'il pense de la drogue.

JAILLISSEMENTS PROVOQUES

OR ET EBENE.jpeg

 

JAILLISSEMENTS PROVOQUES

 

C’est pour tenter d’échapper à un passé qui le poursuit

En donnant l’oppressante sensation de vivre dans l’ombre

De ce monde où tout se dresse, obstacle, refus,

De cet univers décadent où l’humanité est un souvenir,

Qu’il s’attache à effacer la poussière saupoudrant de lumière noire

Le drapé du repli temporel en cache au chevet de l’impossible.

 

Il veut, la conscience au repos,

Amorcer le beau d’une autre histoire,

S’appliquer à être toujours, à l’intérieur de ce voyage en vertige,

Cet enfant aux yeux de merveille ouverts

Sur l’incroyable régénérescence d’un temps

Qui réinvente d’inexistantes lumières.

 

Jusqu’aux jaillissements provoqués d’autres clartés envoûtantes,

Aux bandes minérales alternées d’or et d’ébène.

 

P. MILIQUE

21/03/2013

LEO FERRE : " LE VENT " LU PAR DANIELLE LEBRUN

 

LEO FERRE 

" LE VENT "

Lu par

Danièle Lebrun

 

 

Né en 1916 à Monaco, Léo Ferré est mort en juillet 1993 en Italie, ce poète, auteur-compositeur et anarchiste a été l’un des plus prolifiques chanteurs français. Il met en musique de nombreux épisodes de sa vie, intime, contemplative, politique, engagée, qui dessinent avec plus de 40 albums en 46 années d’activité, un personnage attachant, un poète et un musicien populaire.

 

Poèmes choisis par Laurence Courtois

Prise de son, montage : Manon Houssin

Assistant à la réalisation : Laure-Hélène Planchet

Réalisation : Juliette Heymann