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29/06/2013

FEDERICO GARCIA LORCA, «GACELA DE L'AMOUR IMPREVU» suivi de "GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE"

 

FEDERICO GARCIA LORCA

«GACELA DE L'AMOUR IMPREVU»

LU PAR LAURENT STOCKER

suivi de

"GACELA DE L'AMOUR DESESPEREE"

LU PAR ADELINE D'HERMY

 

Poèmes extraits du recueil «  DIVAN DE TAMARIT » Gallimard.

Traduction de Claude COUFFON et Bernard SESE


 

Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.

 

Choix de Baptiste Guiton

Réalisation : Marguerite Gateau

Prise de son et mixage : Bernard Lagnel

Montage : Manon Houssin

Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé

27/06/2013

FEDERICO GARCIA LORCA, «NU» suivi de "A MALAGA" (1925)

 

FEDERICO GARCIA LORCA

«NU»

Suivi de

"A MALAGA"

Lus par Nazim Boudjenah

Extraits du recueil « Eros avec Bâton » (1925), Chansons,  Gallimard.


 

Traduction d’André BELAMICH


Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.

 

Choix de Baptiste Guiton

Réalisation : Marguerite Gateau

Prise de son et mixage : Bernard Lagnel

Montage : Manon Houssin

Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé

FEDERICO GARCIA LORCA, EXTRAIT DE«PLUIE» (1919)

 

FEDERICO GARCIA LORCA

EXTRAIT DE

«PLUIE»

(1919)

Lu par Adeline d'HERMY

 

Extrait du recueil Livre de poèmes (1921),  Gallimard.

Traduction d’André BELAMICH


 

Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.

 

Choix de Baptiste Guiton

Réalisation : Marguerite Gateau

Prise de son et mixage : Bernard Lagnel

Montage : Manon Houssin

Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé

25/06/2013

FEDERICO GARCIA LORCA, « MADRIGAL D'ETE» (1920)

 

FEDERICO GARCIA LORCA

« MADRIGAL D'ETE»

(1920)

Lu par Félicien JUTTNER

Extrait du recueil Livre de poèmes (1921),  Gallimard.

Traduction d’André Belamich

 

Federico Garcia Lorca naît en 1899 au sein d'une famille andalouse aisée et libérale. Il s'intéresse très tôt aux différents domaines des arts et emprunte la voie de la poésie dès 1921 avec Canciones puis Romancero gitano (1928). En alliant modernité et folklore populaire, Garcia Lorca emporte rapidement la reconnaissance du public. Ses nombreux voyages, notamment sur le continent américain, ont approfondi et enrichi ses oeuvres (Poète à New York, 1934). Dès 1935, Garcia Lorca bifurque légèrement vers le chemin dramatique. Il fonde la Barraca, sa propre compagnie théâtrale et met en scène de grands classiques. Il peut alors y représenter ses pièces Noces de sang (1933), Yerma (1935) et la Maison de Bernarda (1936). Cette trilogie tragique reste l'une de ses oeuvres majeures. Federico Garcia Lorca est fusillé par les franquistes en 1936.

 

Choix de Baptiste Guiton

Réalisation : Marguerite Gateau

Prise de son et mixage : Bernard Lagnel

Montage : Manon Houssin

Assistante à la réalisation : Pauline Ziadé

07/05/2013

UNE SI BELLE INCONNUE 8

au magma present de l'ecriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


UNE SI BELLE INCONNUE

8



Au comble de ma jubilatoire observation, je me rendis soudain compte qu'elle venait, comme incidemment, de prendre conscience de ma présence là. Dans le subtil jeu d'ombres et de lumière ambiants se mit en place , suffisamment discret pour paraître l'être, un inévitable échange de regards silencieux. Ce faisant, j'ai tout de suite senti la réalité émouvante d'une petite mélodie déjà entendue en mon tréfonds. Quelque chose d'impalpable prenait place qui tenait de l'inexplicable, et dont je ressentais les ondes émises avec émotion. Cela tenait tout autant de la fulgurance sensorielle, que de l'essentiel. C'est ainsi s'initia le lent cheminement d'un sentiment puissant réservé, d'ordinaire, à deux soupirants qui se comprennent à demi-mots. Dommage, il ne s'agissait-là que la traduction de ce que mon regard avait cru traduire en la voyant. Ma propre interprétation quoi. Malheureusement, dans le sien, il était très clair que rien de tel ne se manifestait. Pas plus qu'il ne prévoyait de le faire. A bien y regarder, seul était déchiffrable que l'évidence d'une froide désinvolture au reflets acérés de blessante indifférence.

(A SUIVRE...)


P.  MILIQUE

27/04/2013

HOME SUISSE HOME : LES DOUCEURS DE L'EXIL (FISCAL)

 

HOME SUISSE HOME
LES DOUCEURS DE L'EXIL (FISCAL)
  " Je vais profiter de ce petit problème technique "

(3’35’’)


Notre reporter est à Genève pour une conférence de saison : "Quel avenir pour la fiscalité des Francais en Suisse ?" Traduction : comment préserver les sous des exilés fiscaux. Autour de petits fours, des représentants de BNP Paribas, CIC, UBS, Ernst & Young, le cabinet Oberson ou encore le cabinet Tirard-Naudin. L'animation de cette sauterie est confiée à Philippe Kenel, avocat suisse spécialiste en droit fiscal et en médias, et au cabinet français Lefebvre, incontournable sur ces questions. L'évasion fiscale représente 40 à 50 milliards de perte par an pour la France. Autant de budget en moins pour l'éducation, la sécu, la justice...

 

Enregistrement : 26 février 13
Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch
Réalisation : Pascale Pascariello

23/04/2013

LUDOVIC JANVIER: "RESPIRER MIS A PART... RESPIRER MIS A PART", "SUR QUEL MOI DANSER"

 

LUDOVIC JANVIER

"RESPIRER MIS A PART... RESPIRER MIS A PART"

"SUR QUEL MOI DANSER"

 

Respirer mis à part… respirer mis à part

Poème de Ludovic JANVIER

Lu par Antoine FORMICA

Extrait de Une poignée de monde, Gallimard, 2006

 

Suivi de

 

Sur quel moi danser, extrait

Poème de Ludovic JANVIER

Lu par Grégory GADEBOIS
Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987

 

Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.

 

C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.

 

À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :

 

 

Respirer mis à part

le plus clair de ta vie

passe à chercher les mots

qui diront comme ils peuvent

le plus clair de ta vie

respirer mis à part

 

 

Poèmes choisis par Sophie NAULEAU

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE

Réalisation: Marguerite GATEAU

22/04/2013

LUDOVIC JANVIER: "NEGRO SPIRITUEL"

 

LUDOVIC JANVIER

"NEGRO SPIRITUEL"

 

Lu par Hervé PIERRE

Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987.

 

Lu par Clément HERVIEU-LEGER

Extrait de La mer à boire, Gallimard, 1987

 

Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.

 

C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.

 

À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :

 

 

Respirer mis à part

le plus clair de ta vie

passe à chercher les mots

qui diront comme ils peuvent

le plus clair de ta vie

respirer mis à part

 

 

Poèmes choisis par Sophie NAULEAU

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE

Réalisation: Marguerite GATEAU

21/04/2013

LUDOVIC JANVIER: "TENTATIVE"

 

LUDOVIC JANVIER

"TENTATIVE"

 

Lu par Clément HERVIEU-LEGER

Extrait de La mer à boire

Gallimard, 1987

 


 

Ludovic Janvier, d’ascendance haïtienne et française, est né à Paris en 1934. Il y vit depuis le plus clair de son temps. L’envie d’écrire est chez lui très ancienne, remontant à l’adolescence. Le parcours public commence par une réflexion sur le Nouveau Roman (Une parole exigeante, 1964) et surtout deux essais consacrés à l’œuvre de Samuel Beckett (Pour Samuel Beckett, 1966, et Beckett par lui-même, 1969) avec lequel il traduit de l’anglais D’un ouvrage abandonné (1967) et Watt (1968). En somme, une lente préface à la vie d’écrivain.

 

C’est avec La Baigneuse, roman (1968), qu’il s’engage tout à fait dans l’écriture de la parole. S’ensuivront deux fictions cruciales : Naissance et Monstre, va. Puis son goût pour l’écart et sa passion de l’instantané le conduisent vers le poème (La mer à boire, Doucement avec l’ange, Une poignée de monde) et la nouvelle (Brèves d’amour), deux formes plus fidèles à la vitesse de l’émotion.

 

À partir de là, conscient d’écrire pour la voix et de situer son travail hors les genres, il continue son va-et-vient entre prose et poésie. Avec pour mot d’ordre cette poignée de vers :

 

 

 

Respirer mis à part

 

le plus clair de ta vie

 

passe à chercher les mots

 

qui diront comme ils peuvent

 

le plus clair de ta vie

 

respirer mis à part

 

 

 

Poèmes choisis par Sophie NAULEAU

 

Prise de son, montage: Serge RISTIC, Manon HOUSSIN

 

Assistant à la réalisation: Guy PEYRAMANCE

 

Réalisation: Marguerite GATEAU

17/03/2013

ARRÊT SUR LE PRESQUE RIEN

CIEL GRIS.jpeg

 

 

ARRÊT SUR LE PRESQUE RIEN

 

Que se passe-t-il dans le suspendu d'une phrase?

Que devient-elle dans le tendu du silence?

Qui succède à cet intriguant point d'interrogation?...

 

Arrêt sur le presque rien qu'on écrit sans vraiment l'écrire,

Pour tenter de comprendre le sens de cette étrange énergie

Qui fait que ce qu'on aurait pu traduire

Soudain ne peut plus être poursuivie.

 

Écrire, c'est parfois côtoyer les ondes du silence,

C'est porter le confus du langage à sa limite,

Le laisser s'égarer, devenir provocateur et aérien,

C'est éprouver, enfin, un ciel s’égayant de ses mots

Jusqu'à identifier... les énigmatiques points de suspension.

 

P. MILIQUE

11/01/2013

C'EST MON ECHARPE, C'EST CA ? Culture Foot et Besoins Sexuels non Satisfaits

 

C'EST MON ECHARPE, C'EST CA ?

7
Culture Foot et Besoins Sexuels non Satisfaits
« Une question de souci de soi »

(6'21")

 

Un feuilleton original de Jean-Charles Massera conçu pour les nouveaux modes d'écoute (podcast, smartphone, écouteurs). Chaque semaine vous recevez un appel, en voiture, à table, au boulot. Jte dérange ? Non non. C'est votre ami ou votre amoureuse qui vous parle : d'argent, de désir, d'une écharpe du PSG... Une voix qui renouvelle la fiction radio. 7. C'est mon écharpe, c'est ça ? (avec Guillaume Hincky)


Enregistrements : 7 juin 12
Interprète : Guillaume Hincky
Assistante réalisation : Sara Monimart
Texte : Jean-Charles Massera
Réalisation : Arnaud Forest & Jean-Charles Massera

30/10/2012

CHARLY 18

PHOTO CHARLY.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

CHARLY

18


Seulement voilà, quoi que j'y fasse, je n'y parviens pas. Mon écriture est trop volatile, trop approximative pour que je puisse la contraindre à mes souhaits. Elle n'est, au travers de ce qui devrait être un grand ruissellement de l'imaginaire, qu'apparition incontrôlée de noirs sujets et d'obscures méditations sans fin qui ne m'entraînent le plus souvent que dans d'invraisemblables tourbillons psychédéliques traduits, comme tu le sais, en crises d'errance existentielle longue durée.

 

Prisonnier, à mon corps défendant, de ce temps renouvelé d'impitoyable isolement, je n'ai d'autre option que de crier ma vérité alors que je ne possède même pas la première once de l'implacable et poétique précision indispensable au maniement des mots.

Ainsi naît le suintement de ridicule qui accompagne chacune de mes tentative de mise en mots. Quelle horreur qu'une sensibilité humiliée!

A ce moment-là s'installe fréquemment l’impérative nécessité du silence. Donc, je hurle dans le grand silence exigé. Avec cette certitude advenue peu à peu au fil du temps: la vie, il faut prendre garde de ne pas l'étouffer. C'est ce que faisons le plus souvent.

Et c'est une transcendantale connerie.

(A Suivre...)