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04/10/2016

DUPES DE RIEN 5

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

DUPES DE RIEN

5

 

   On peut ainsi la concevoir tel un art au service de la vérité, une sorte de théâtre de la contrefaçon, ou de pur cinéma exhausteur d'invraisemblances légitimes.

Qu'importe après tout de savoir que tout cela n'est pas vraiment!
Au nom de quoi faudrait-il sacraliser la conformité?
Et puisque le réel n'a pas de limites...

     Alors, plutôt que s'astreindre au diktat du plausible, laissons-nous aller à contempler l'illusion.

A se délecter de chaque vision, odeur, saveur ou consistance proposées, sans trop disséquer ou intellectualiser le concept, sans s'ériger en censeur. Sans juger, donc.

En cela, comme en tout, sachons raison garder.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

09/07/2016

LABYRINTHE PRIMAIRE 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LABYRINTHE PRIMAIRE
2

 

L'esprit doit-il se frustrer pour assouvir son besoin récurrent, quasi viscéral, d'adapter le monde à ses besoins?
A celui de s'accoutumer à toutes les complications populacières qui le rassurent?


Ces questions, ainsi posées de manière aussi abrupte, pour le moins désarçonnent.

Mêmes si elles restent à portée d'intelligence courante, il n'en demeure pas moins qu'elles échappent à toute forme de compréhension spontanée.
Il faut dire qu'elles ne servent guère, du moins de prime abord, le juste cause d'un quelconque lieu commun.
Dès lors, il devient pour le moins complexe de s'extraire d'un tel labyrinthe.
Les faits sont accablants qui intercèdent pour un facile à vérifier: pour atteindre à la simplicité, il est plus efficace d'avoir d'abord  commencé par elle.
C'est bien ce qui rend difficile l'art complexe de faire simple.

Et en même temps, c'est ce qui tranquillise tout un chacun: car nous le savons, tout labyrinthe sécrète en lui les germes mêmes de sa propre issue.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

20/10/2015

AU RÉCONFORT DE LA NUIT 3

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

AU RÉCONFORT DE LA NUIT

3


Il se complaît à exercer cet art de funambule dans la clarté presque froide de ses phrases répétitives. Elles donnent vie à à une écriture du fragmentaire, du provisoire. Il ne peut qu'en convenir: manque de subtilité, de finesse pénétrante et bienvenue qui donne à réfléchir. Parce que, c'est vrai, les mots les plus simples ne suffisent pas toujours.

La réalité est là. Son acte d'écrire semble se dissoudre dans l'ordinaire. Sa créativité affleure à peine la lumière naissante des rayons du jour. Sa respiration lexicale ne reprend peu à peu vie qu'au souffle attendu du crépuscule fertile.
Alors, au réconfort enthousiaste de la nuit, dans ces cahiers en totalité noircis de sa plume, il arpente le texte en tous sens le texte enfin démasqué de ses inquiétudes et de ses envies. De ses infinis déséquilibres aussi.

(FIN)

P. MILIQUE

12/04/2015

POÉSIE BLANCHE ET RÔDEUSE 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

POÉSIE BLANCHE ET RÔDEUSE

2


Une intense fusion d'effervescence préside aux destinées de certains.
Il leur arrive d'être pris en flagrant délit d'un viscéral grondant de rumeur fondamentale.
Fluctuations intimes aux tentations hasardeuses.

Il faudrait pouvoir réfuter la possibilité de demeurer immobile là où, dans la saisie passionnée du monde sensoriel, l'éblouissement formel de vivre au souffle instantané des demains prometteurs l'emporte.
Au cœur d'un maintenant de poésie blanche et rôdeuse, les instants de vie défilent et cultivent l'art d'un silence douloureusement inutile.

La vie, lorsqu'elle est offerte, doit être sans cesse célébrée.
Elle monte par vague de désirs, de joies et de chagrins parfois.
Elle peut donc, avec un orgueil assumé, revendiquer la multiplicité dans le considérable et l'inexpliqué.

(FIN)

P. MILIQUE

29/03/2015

UN MAGICIEN DES MOTS 1

au magma présent de l'écriture,

 

UN MAGICIEN DES MOTS
1

C'est l'écriture flamboyante du magicien qu'il sait être.
Une approche poétique, un style, un univers et, magistral,
Cet art précieux de donner vie et souffle à des perceptions.

Mon imaginaire est exalté par l'entière méconnaissance du lieu,
Et je me laisse volontiers transporter par l'invitation généreuse
A l'exploration souveraine d'une saga érudite et vagabonde,
Incité à la plus grande attention par l'expérience nourricière
De la fugue, l'âme grande ouverte, dans l'espace sauvage proposé.
Longue balade aux travers des sables brûlants et iridescents
Ou bien dans le lunaire minéral d'une dune battue par les vents.

Apaisement de l'errance née de chaque nuit. Passionnant voyage qui confirme
L'absolue certitude de l'essentielle place occupée par chacun dans le bel univers.
 
(A SUIVRE...)
 
P. MILIQUE

 

15/10/2014

TROUBLE ENFIÉVRÉ 3

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

TROUBLE ENFIÉVRÉ

3

Pour cela, ton passé d'homme de théâtre s'est révélé séduisant,
Permettant de rester fidèle à qui tu es, mais à le révéler autrement.
C'est exprimer le non-dit avec des mots que tu n'as pas prononcés.
C'est, stimuler par le jeu, s'évader de son rôle d'homme simple mortel.
C'est porter le masque distinctif et le costume inhérent au protagoniste.
C'est arpenter, vie féconde des artistes, le plateau du rêve et de l'illusion.
C'est atteindre à l'immanence que l'art en son entier s'efforce de restituer.

S'il ne s'agit de théâtre, il te faut, a minima, avoir recours à un supplétif,
Parce qu'il est indispensable que tu inities la fuite de ton cercle habituel.
Seule cette perception saura activera l'essentiel processus de sublimation.
Il s'agit d'une phase intermédiaire et nécessaire. Une phase de libération.
Celle qui, au cœur infime de chaque instant, te fait si cruellement défaut.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

25/11/2013

LA SIMPLICITÉ 2

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LA SIMPLICITÉ

2

L'esprit doit-il se priver pour assouvir son besoin, quasi viscéral, d'adapter le monde … à ses besoins? A celui de s'accommoder de toutes les complications ordinaires qui le rassurent? Ces questions posées... pour le moins désarçonnent. Mêmes si elles restent à portée d'intelligence courante, elles échappent néanmoins à toute forme de compréhension spontanée. Car elles ne servent guère, qu moins de prime abord, le juste cause d'un quelconque lieu commun. Il devient dès lors bien compliqué de s'extraire d'un tel labyrinthe. Les faits sont accablants qui plaident pour ce facile à vérifier: pour en venir à la simplicité, il convient d'abord de commencer par elle. C'est ce qui rend difficile l'art complexe de faire simple. Et c'est en même temps ce qui tranquillise: car tout labyrinthe sécrète en lui les germes mêmes de sa propre issue.

C'est quand tout s'explique qu'on ne comprend plus rien. Il s'agit-là d'une réflexion d'apparence anodine et commune. Elle porte pourtant en elle quelque chose d'irrécusable. D'un point de vue strictement pratique, il n'est nul besoin d'entretenir des relations étranges ou conflictuelles avec la réalité pour en arriver à cette conclusion: la certitude des apparences accompagnent toujours le mensonge ultime de la vérité.

(A SUIVRE...)

P. MILIQUE

10/11/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "L'HOMME ÉLECTRONIQUE"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"L'HOMME ÉLECTRONIQUE"

 

Il était une fois… et peut-être pas qu’une fois… un homme
Auquel on a ôté les racines et les ailes
Plus d’identité. Ni d’excès de zèle.
Plus de confusion entre droit du sol et droit du sang
Rien qu’un corps pour servir de décor… et réconcilier la vie, la mort.
Et nous rappeler que tout maître est serviteur d’abord
Que même le plus brave est un peu esclave sur les bords
Car m’indiqua le chirurgien : se soumettre est un art… plastique avant d’être dramatique.
Dire toujours : Oui, pardon, merci, y a pas mieux pour venir à bout de l’envie ou de l’ennui.

L’homme que j’ai sous les yeux… obéit… et ne fait rien d’autre qu’obéir
On l’a opéré en agissant sur son cortex cérébral
Pour qu’il cesse d’être volant, sautant, rampant comme animal
Et qu’il devienne chose idéale… un animal idéal.
Un dessein… avec un i , animé.
Vous avez dû en entendre parler sur Radio J
Dans l’émission : sciences et vies… avec deux S…
Je veux parler de l’ablation du Moi… oui la circoncision de l’âme
Plus de moi-je en jeu… dehors lego ! L’orgueil au frigo!
Ne survit qu’une pulsion de vie au service d’autrui
Je… je suis… je suis autrui.
J’ordonne et il obéit…

Une fleur, s’il vous plaît
Et il me fait la fleur de m’offrir une fleur
Pour moi la fleur, pour lui le plaisir de me l’offrir… artificielle… comme le ciel !
Deux fleurs, s’il vous plaît
Et d’un simple geste, il réalise mes deux vœux… deux en un
Ça percute… ça répercute… et puis ça exécute
Pas besoin de lutte, la servitude, là est A.U.T.O.M.A.T.I.Q.U.E.
C’est magique, ce pouvoir discrétionnaire.

Après la cigarette électronique, voici venu le temps de l’homme électronique
Ecce homo… mirage pour tous et mariage pour personne.
Ni affreux, ni sale, ni méchant… notre homme est juste « vertueux », privé de vice, autrement dit : castré.
C’est un modèle prisé par les intégristes politiques ou religieux cette façon d’utiliser la science pour subtiliser notre conscience… et nous imposer un sens…
C’est glorieux … et juteux par dessus le marché… songez à la main d’œuvre bon marché. Léonarda ! Léonardo! Les idoles des ados…
Je le lis dans vos yeux, vous aimeriez bien copier-coller le modèle et l’emporter.
Je vous comprends… surtout ceux dont le moi n’est pas maître chez soi.
Pour les sceptiques, tôt ou tard, vous en conviendrez qu’obéir est l’avenir de l’homme
Obéir au doigt et à l’œil… au lieu de se mettre le doigt dans l’œil.

Trois fleurs s’il vous plaît !
Et en deux temps, trois mouvements: je reçois trois missives à domicile.
Mais comme je ne me suis pas levée du bon pied, je peste et proteste :
Je vous ai demandé des fleurs pas des roses, Ducon!
Et tout à coup une étrange envie me prend à la gorge
L’envie de le buter
Mais ce n’est pas lui que tu as buté ?
Bien sûr que non, j’ai buté seulement celui qui m’a envié.

01/11/2013

BRODER LE TEMPS

au magma présent de l'écriture

 

BRODER  LE  TEMPS

 

Dans ce sentiment d'urgence qui donne parfois de l'audace,

Coule sans cesse un flot d'observations surprises

Qui encouragent l'ardente confrontation des idées

Et brassent avec énergie la matière brute de la vie.

 

Démonstration débridée mais remarquablement ajustée

De battements intérieurs aux discours toujours relancés

Au cœur accueillant d'une relation de désir qui tresse les voix,

Créant ainsi une atmosphère douce mêlée de mystère.

 

Dans ce sentiment d'urgence, s'impose l'évidence nue

Qui sublime l'art de broder le temps de paroles vives.

 

P.  MILIQUE

26/10/2013

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER 02/10/2013

 

LA CHRONIQUE DE PHILIPPE MEYER

  02/10/2013

15/10/2013

A FAIRE SAIGNER LE BLEU DU CIEL 3

au magma present de l'ecriture

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

 

A FAIRE  SAIGNER  LE  BLEU  DU  CIEL

3


Tous mes écrits sont dans la noirceur absolue,

Sans chaleur aucune, sans aucun avenir.

Ils sont la douleur d'une écriture qui se dégrade dans la solitude.

Jusqu'à la brisure.

Je possède en moi l'art morbide de faire saigner le bleu du ciel,

Un ciel saturé de cris et de fureurs

Que rien ne sauvera jamais de l'oubli ni de l’indifférence.

Une écriture tendue, abrupte, torrentielle,

Arrachée aux entrailles d'une lucidité impitoyable.

 

Comme j'aimerais, dans une effervescence de tous les instants,

Savoir dire le charme ombré d'énigmatique

De certains mots transparents, cristallins et fugaces !

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

17/09/2013

LE JOURNAL DE PERSONNE: "LA QUADRUPLE RACINE DU MAL"

 

LE JOURNAL DE PERSONNE

"LA QUADRUPLE RACINE DU MAL"


 

Pour communiquer un message comme celui que je m’apprête à vous

 

communiquer…

 

il faut un émetteur et un récepteur qui disposent du même code ou d’un décodeur pour que le message ne soit pas brouillé.

 

Mais il en faut bien davantage si on cherche à faire passer un message d’une manière efficace…

 

Autrement dit si on cherche à influencer ou avoir une influence sur le récepteur qui peut être électeur ou consommateur.

 

Ce n’est pas à la portée de n’importe qui en effet, de vendre n’importe quoi.

 

C’est un long apprentissage, un art, une science, toute une technique qui n’a pas d’autre but que de vous subordonner, vous soumettre, vous faire voter ou vous faire acheter ce qui lui plait ou ce qui correspond à ses intérêts.

 

 

 

Je suis le fusil, vous êtes les pigeons.

 

Et ne croyez surtout pas que ça tire à blanc. Tous les experts en communication pourront vous l’attester ou vous le confirmer : tout s’achète et tout se vend : y compris votre propre avis, votre jardin secret, votre journal intime… s’achète et se vend comme une vulgaire lessive.

 

Les maîtres mots de toute « com » c’est larguer, fourguer, vendre bons et mauvais objets, bonnes et mauvaises idées, bonnes et mauvaises actions.

 

Vendre… tout le monde est vendeur… peut être parce que tout le monde est à vendre…

 

Je ne connais pas d’autre loi pour le marché que la loi qui nous fait marcher.

 

L’offre qui crée la demande. Faussement… artificiellement…

 

Ce ne sont pas des marchandises parmi lesquelles vous avez à choisir mais des choix qui vont s’imposer à vous comme allant de soi.

 

Cela est une pipe, dit le peintre en bâtiment.  Ceci n’est pas une pipe, répond l’artiste peintre. Pas la peine de tout dramatiser, le monde le fait pour vous.

 

Ils choisissent pour vous le type de carrière, le type de conjoint et le type de cercueil.

 

C’est cela même le monde impitoyable de la com, de la communication, ce qui nous est commun à tous: devant l’étalage d’un magasin, sur un écran de télévision ou à travers des échanges sur le net… C’est un cercle vicieux qui nous empêche d’agir et de réfléchir par nous-mêmes.

 

 

Un vrai mensonge qui a une quadruple racine :

 

 

En premier : la pub : la publicité qui lave plus bleu, plus blanc, plus rouge

 

En deuxième : les publics relation, les relations publiques qui vous font croire que vous êtes une VIP , une very importante personne… y compris sur le site de rencontre sur lequel vous avez eu droit à votre premier coup de foudre.

 

En troisième : la presse qui vous entretient sur machin jusqu’à le rendre compatible avec votre machine à enregistrer et à relayer le mensonge.

 

 

Et en dernier : le marketing dit stratégique parce qu’il sait comment faire pour vous transformer en pigeon, en client, en simple agent d’exécution d’un tout autre dessein que le vôtre.

 

Voici le fameux cercle infernal! Voilà où se situe le mal politique et commercial.

 

Comme vous pouvez le remarquer, vous y êtes pieds et poings liés.

 

Non ?

 

Vous plaisantez j’espère!

 

Vous avez étudié dans l’école qu’on vous a indiquée.

 

Fréquenté les milieux qu’on vous a conseillé.

 

Épousé la femme qu’on vous a présenté.

 

Et voté contre celui qu’on vous a déconseillé.

 

Vous êtes fait comme un rat.

 

Plutôt quatre fois qu’une !

 

En deux mots : vous vous êtes raté Monsieur.

 

Un seul remède à vos quatre maux :

 

Quitter immédiatement ce cercle… et sans vous retourner…

 

Qu’est-ce que vous attendez ?

 

Une bonne retraite ?

 

Vous serez mort avant de l’avoir perçu.