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28/10/2017

DÉFLAGRATION SILENCIEUSE

au magma présent de l'écriture,

 

 

DÉFLAGRATION SILENCIEUSE

 

Quelques mots pour te dire l'amour intense

Et l'incroyable paroxysme de ce sentiment-là.

Il monte en moi comme une ample musique.

Déflagration silencieuse, assourdissante aussi,

Arc-en-ciel magnifié de sa célébration ultime.

 

Comment pourrais-tu savoir combien tu es en moi?

Comment pourrais-tu imaginer l'importance prise

Par l'accueil de tes mains, de tes yeux, de tes lèvres?

Je t'éprouve si fort en moi, tellement là de tout ton être.

 

Lorsque chaque aube naît, je te souris déjà mon amour.

Je veux m’échouer à la présence de tes doigts assidus,

Je veux respirer au rythme paisible que tu m'insuffles,

Je veux t'aimer dans l'immensité d'un temps sans limite.

 

P. MILIQUE

14/11/2016

SUR LES AILES DU RÊVE 4

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

SUR LES AILES DU RÊVE

4

 

Le sentiment d'être trompé par les apparences est un leurre.

La perception de cela peut certes se révéler confuse, elle en est néanmoins largement suffisante pour susciter un début de défiance.

C'est pour cela qu'il convient de ne pas verser dans l'irrationnel et de percevoir les choses telles qu'elles sont, pas plus, pas moins.

 

Il convient aussi de conserver par-devers soi un minimum de lucidité pour repousser la toute-puissance revendiquée des situations dont on a objectivement  le plus grand mal à discerner l'essence originelle.

Il est inutile de rester figé plus que ça sur l'attente illusoire d'une construction robuste puisqu'elle n'est que fragmentée par l'insaisissable roi.

L'attitude à adopter tient de celle-ci: il faut se refuser à croire ce qui est dit puisque cela n'aboutit aucunement à découvrir ce qu'on ignore.

Les apparences ne font, on le voit bien, que détourner de ce qu'elles prétendent énoncer et révéler.

Par conséquent elles sont, au final, beaucoup moins trompeuses parce que vite démasquées, que peut l'être le légitime sentiment d'être trompé par elles.

Car elles ne peuvent induire une erreur qu'en renseignant ouvertement sur le subterfuge proposé. Aussi n'ont-elles pas pour exact souci de rester évasives, quitte à revendiquer même un goût certain pour l'exagération.

Et c'est peut-être cette démesure-là qui nous sauve de quelques mortels conformismes ambiants.

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

24/11/2015

IRRÉFRAGABLE UNICITÉ 7

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

IRRÉFRAGABLE UNICITÉ

7

Au final, il convient de considérer l'identité comme l'image un peu aléatoire, un peu trompeuse, d'une conscience de soi appelée à s'émousser au fil du temps. La pensées même qu'elle puisse être définitive ne peut être qu'intangible. Ce n'est qu'un songe irrationnel au large d'un espace que contredit la durée.

A force de nous adapter au plus près du mouvement sans ne plus connaître vraiment qui nous sommes, il ne nous reste plus dès lors, avec l'espoir fou niché au cœur d'atteindre un jour à une quelconque éternité, qu'à choisir de devenir pour ne pas demeurer.

(FIN)

P. MILIQUE

08/09/2014

GERMINATION FÉCONDE 2

au magma présent de l'écriture,

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

GERMINATION FÉCONDE

2

Leur singularité complice ouvre le cœur plus large et agrandit l'instant
Au souffle impérieux d'un répertoire né de l'imaginaire en habit d'idées.
Insatiables scrutateurs de vie, ils gravent l'infini de traces indélébiles
Nuancées de pastels divins d'où sourd le respir d'un Théâtre omniscient.

En instance de murmure, ils revendiquent l'ailleurs et en perpétue le feu.

Ce sont de Belles Âmes! Ils sont nos Chers Cousins, nos Chers Amis aussi,
Passerelles d'absolu qui convoient du pur bonheur et en prolonge la vague.

Pour vous remercier, ces quelques piètres mots graphés à l'alphabet du cœur.

(FIN)

P. MILIQUE

25/06/2014

FRAGILITÉ DÉBUSQUÉE 1

au magma présent de l'écriture,

 

FRAGILITÉ DÉBUSQUÉE

1

 

 

Ce jour-là il l'a perçu fatigué, soucieux,

Désabusé, peut-être même désemparé,

Un peu triste et sombre, et pire encore.

Quelque chose comme pas heureux.

Il l'imagine passager clandestin du destin.

Tout semble délétère aux larges alentours.

Il sait qu'une volée de questions brutales

Grésille dans sa pensée tourmentée,

Cherchant au brasier de l'obstination

A trouver un sens possible à toute chose.

 

C'est un souffle vif qui embrase tout

Porteur des cataclysmes passés et à venir.

La cruauté de la vie rend sensible au monde

Rythmée par la récurrence folle des thèmes

Monomaniaques d'une infinie mouvance,

Tournoie jusqu'au vertige en dérivant,

Sceptique, au sein du grand étonnement.

 

Comment discerner la vérité caché

Dans sa fragilité ainsi débusquée?

(A SUIVRE...)

 

P. MILIQUE

19/06/2014

LE PARDON 4

au magma présent de l'écriture,

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...

 

LE PARDON

4

 

Désormais, grâce à cette rencontre enfin formelle, elle va pouvoir musarder sur les chemins de la vie, et contempler la toile profonde du ciel. Car elle vient de comprendre ça : tout ce qui nous est soustrait s'ajoute à l'espoir et incite à s'agrandir au monde. Ainsi, l'amour s'enrichit le déclic des choses et porte au plus large le sourire des rêves.

Au sortir d'un temps infini, elle comprend que le noir, à son insu peut-être, n'a toujours préparé que la lumière. Celle, cosmique et ancestrale, de son Père !

(FIN)

 

P. MILIQUE

05/12/2013

GÉRER SA HONTE 1

ORPAILLEUR.jpg

 

GÉRER SA HONTE

1

 

Si tu m’aimes, comme tu n’as de cesse de le répéter au vent,

Accepte, le cœur large ouvert, ce modeste geste de contribution.


Accepte-le, cela me redonnera le courage de croiser ton regard,

Accepte-le afin que je revive auprès de toi l’inespéré de toujours,

Qui, au fil décanté des jours, m’aidera à oublier le rien devenu.

 

Certes, il est de notoriété publique que l’amour ne saurait se résumer

A de basses manœuvres de logistique ordinaire riches d’aucune valeur

Même si tout un chacun sait à combien d’obscènes guerres querelleuses,

D’actions perturbatrices et destructrices elles peuvent s’abaisser parfois.

 

Et voilà que tout d’un coup je m’éprouve reprendre place auprès de toi.

La maladie outrancière, l’épuisement, l’irréfragable combat morphinique,

Aura fait de moi, je m’en rends bien compte, un être confus et incohérent.

(A SUIVRE...)


P. MILIQUE

23/11/2013

UN DÉCHIRANT SOLEIL NOIR

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UN DÉCHIRANT SOLEIL NOIR

Lorsqu’il ne reste plus rien pour colmater
Les brèches de l’existence et compenser le désert de jours,
S’impose alors comme unique alternative
La fréquentation ambiguë des couches épaisses de la nuit.

Dans ces nuits de désespérance
La mélancolie est là, insidieuse,
Prompte à ouvrir en grand les bras
De ses larges zones dépressives,
A l’intérieur desquelles existe le sentiment diffus
D’une terrible méprise qui,
Au cœur de cauchemars mouvants,
Nous laisse vacillants au bord du gouffre.

C’est une situation extrême
Qui nous rend incapable d’ordonner notre pensée,
De retrouver l’improbable sérénité.
Avec l’affreuse sensation d’un cœur qui rétrécit,
Et s’assèche d’une vie qui crève en silence
Dans l’oubli d’un perpétuel naufrage.
Emmurés dans la solitude et le chagrin,
On se perd dans des brumes de détresse
Jusqu’à souhaiter être suffisamment lâche
Pour plonger de manière délibérée dans le néant,
Afin de nous immerger dans les affres du vide
Et y rencontrer le calme mérité d’un apaisement sensoriel.
Enfin !

L’abîme, dans certaines conditions,
Est peut-être un réel moment d’hypnose.
C’est en tout cas un déchirant soleil noir,
Un pur fragment d’angoisse.

De tels abysses de tristesse peuvent-ils vraiment exister ?
Oui !
Mais c’est inacceptable…



P. MILIQUE

   
 

16/08/2013

L'UNIQUE RÉPONSE

ARC EN CIEL.jpg

 

L'UNIQUE RÉPONSE

 

Résolue, la route du destin m’a transporté

Sur le chemin vigoureux d’une sublime amitié

Dont l’existence s’est révélée être joyau précieux

Tant elle est douce, patiente et lumineuse.

 

La femme un jour rencontrée exalte une personnalité

Très largement pourvue de solides qualités humaines.

Elle propose au présent une telle richesse d’être

Et une si étonnante aptitude à propager l’immense,

Que son aura diffuse très au-delà de la chose écrite,
  Répandant, de fait, une mélodie d’arc-en-ciel en moi.

 

Nulle interrogation existentielle n’est plus alors de mise

Tant elle ne pourrait qu’enfanter d’une unique réponse :

Si prodigieux et enivrant poète il n’avait été,

Jamais cette amitié obsidienne n’aurait existé !

 

P. MILIQUE

24/06/2013

LA PARISIENNE LIBEREE : "NOIR OUTREMER"

 

LA PARISIENNE LIBEREE 

"NOIR OUTREMER"

Paroles et musique : la Parisienne Libérée


[citation Public Sénat]

Ils ont trouvé du pétrole
Et les appétits s’affolent
Ils ont trouvé de l’or noir
Sur un de nos territoires
Mais leurs barils sont profonds
Et pour forer, faut des fonds
Ainsi font les marionnettes,
Géants de la creusette

[citations P. Roméo – audition au Sénat]
« Je ne sais pas si vous connaissez la société Shell, mais lorsque vous vous intéresserez de près au sujet vous vous apercevrez que nous sommes une société exemplaire. Donc je n’ai aucun, absolument aucun doute sur le fait que nos engagements sociétaux historiques justifieront très largement la confiance que nous accorde le gouvernement. »

Les cétacés, les tortues
Adorent qu’on leur fore dessus
Il n’y a pas plus écologique
Qu’une petite campagne sismique
Au fond qu’à cela ne tienne
Si au large de Cayenne
Il y a des espèces menacées
On a tout planifié

« Le planning d’acquisition sismique est très largement calqué sur les tortues. Evidemment, pourquoi voulez-vous que je fasse des activités au moment où ça a le plus d’impact sur les tortues ? Je n’ai aucune raison de le faire. […] Ah mais nous serons ravis de protéger beaucoup de poissons. Comprenez bien qu’il n’y a pas d’antagonisme entre moi et les poissons, pas du tout. Notre rôle, c’est d’avoir un impact minimum et nous sommes d’ailleurs les meilleurs observateurs des espèces puisque nous sommes présents et travaillons là. Alors là je peux vous dire que les – je ne sais pas quel est le terme – les gens qui observent les poissons les plus passionnés sont chez nous, vous savez. »

Et pourquoi demanderait-on
L’avis des populations
On a déjà l’appréciation
D’un bureau de prestations
Des réunions informantes
Une étude indépendante
Le tout pris sur nos deniers
Doutez-vous de nos données ?

« D’abord, Monsieur le Sénateur, nous essayons de travailler avec des données. Pas des sentiments, des données. […] Ça c’est de la donnée, de la donnée scientifique elle est là, et je suis très heureux qu’elle soit plutôt dans ce sens que dans l’autre […] Et ce sont des faits, ce ne sont pas des choses que j’invente donc [soupir] on veut être rassuré mais faut aussi… Alors je sais qu’on n’a pas confiance dans l’expert ni dans les données, mais à ce moment là ça devient très difficile. En tout cas nous avons les données, nous avons les expertises indépendantes qui nous conduisent à proposer dans nos déclarations [mot manquant] les activités qui nous paraissent avoir l’impact minimum. » 


On rejettera, bien sûr
Des déblais un peu crados
Imbibés d’hydrocarbures
Mais c’est pas pire que de l’eau

« Et je suis très fier de vous dire qu’on va utiliser des fluides synthétiques de forage qui nous avaient été interdits il y a un an […] Il est biodégradable, il est pas bioaccumulable, etc., etc. On a vingt ans de recherches derrière qui démontrent que l’effet de ces fluides est de l’ordre de grandeur de l’effet de l’eau. »

Pour pouvoir nous arrêter
Faudrait nous indemniser
Mais c’est pas dans vos moyens
Vous comprenez ? C’est bien !

« Les services de l’Etat ont considéré qu’effectivement notre approche était la meilleure donc ils l’ont supportée. » 


Il n’y aura jamais de plage polluée
Pas de mangrove engluée
Les courants sont nos amis
Ils font tout ce qu’on leur dit
A l’horizon des eaux profondes
Juste une tache sur la mappemonde
Non, l’enfer n’est pas vert
Il est noir outremer (bis)

[citation : conférence de presse N. Vallaud-Belkacem ]
« Sur les forages pétroliers en Guyane, quel est l’arbitrage final ? Est-ce qu’ils vont reprendre lundi ou pas ?
– Euh écoutez à ma connaissance les forages reprennent, oui…
[…]
– Vous confirmez qu’ils reprendront bien lundi ?
– Je confirme qu’ils ont été autorisés, en effet. D’autres questions ? »

23/06/2013

ANNA DE NOAILLES "LUMINEUX MATIN"

 

ANNA DE NOAILLES

"LUMINEUX MATIN"

Lu par Véronique VELLA et Sylvia BERGE

 

Poétesse française née en 1876 à Paris, Anna de Noailles était d’origine grecque et roumaine. Largement influencée par les Parnassiens, Jean-Jacques Rousseau, et plus que tout par Victor Hugo, son œuvre est marquée par un ardent panthéisme.

 

Prise de son : Pierre Minne

Montage : Sylvain Dangoise

Assistante à la réalisation : Delphine Lemer

Réalisation : Myron Meerson

18/10/2012

CHARLY 8

PHOTO CHARLY.jpeg

 

A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.
Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter)  le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...


 

CHARLY

8


(CHARLY)

--Bienheureux de t'entendre l'admettre! Mais moi tu sais, cela fait bien longtemps que je suis plus que méfiant envers les idées des hommes!

Aussi, exprime-toi largement, sans crainte et sans haine, je tenterai de ne pas me départir de mon calme, quoi que tu en dises, légendaire!



(MOI)

 

--Bien! Alors voilà la raison pour laquelle tu me trouves régulièrement installé devant une page, crayon à la main, à cette heure avancée de la nuit.

C'est parce que la nuit, vois-tu, c'est mon refuge, mon lieu de consolation quotidien, et aussi, celui de mon ressourcement. Mon lieu de vie en quelque sorte.
Et je voudrais la coucher sur le papier la vie, tu comprends?

 

Je sais bien: elle est confusion et souffrance. Elle est aussi solitude. Tout cela je le sais! Mais j'éprouve l'irrépressible besoin de communiquer par l'écriture afin d'exprimer le fracas des silences, espérer un sens à l'inexprimable ou fixer les vertiges.

 

Certes, il s'agit là d'une vision plutôt utopique que de croire être capable de le faire, moi qui ne possède aucun don d'exception! Mais je prétends, moi, que même la normalité est utopique, alors...

Alors je m'essaie, tout en dérivant sans discontinuer sur le fleuve du temps, à défricher de nouveaux espaces, à ouvrir des volumes non encore fréquentés. C'est viscéral, oui, et passionnant d'être ainsi une sorte de naufragé de la réalité.


 

(CHARLY)

-- Hou-la la, qu'est-ce que tu peux être alambiqué quand tu t'y mets! Tu dis dériver? Je confirme, et même que c'en est limite inquiétant. Tu pourrais peut-être choisir entre le cynisme et la futilité, non?

(A suivre...)